CITEȘTI

Mission Tchèque

Acţiune

La DGSE découvre que le Ministre des Affaires Étrangères, Christian Vasseur, est menacé par des terroristes. En effet, leur chef, Gabriel Sanchez, un trafiquant d'armes, veut utiliser l'objet le plus précieux en possession du Ministre pour déclench...

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Chapitre 15

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de HBcineaste2003

de HBcineaste2003

Fontainebleau, 15h34,

Le lendemain, Sanchez, Horáková et ses hommes sont en route pour l'échange. Depuis leur arrivée en France, Sanchez a conservé la clé sur lui et ne l'a même pas réouverte. Il s'adresse à ses hommes : - "On s'en tient au plan".

Pour se préserver en toute discrétion, Mallet a eu la bonne idée de prendre sa voiture, la Peugeot 208. Il s'est garé à 1km du lieu de l'échange.
Dans la voiture, nous pouvons retrouver à l'avant côté passager Édouard. Et à l'arrière, Alexandre, Carine et Jeanne. Carine se plaint. En effet, ils sont serrés à l'arrière. Alexandre lui aussi. Ils auraient dû prendre une voiture plus spacieuse.

Mallet leur explique qu'il fallait une petite voiture pour se cacher dans la végétation. Sa voiture lui convient très bien et elle est simple à conduire.
Jeanne, à son tour, rajoute qu'elle ne peut plus respirer. Mallet s'énerve et leur dit de se taire.

À ce moment précis, les équipes de terrains arrivent avec Louise. Mallet planifie l'embuscade. Les agents doivent être positionnés autour du lieu de l'échange, prêts à intervenir avant que Sanchez procède à la transaction. Édouard et Alexandre seront présents également, et les filles seront en retrait.

Jeanne voit arriver Sanchez et prévient les agents. Tout le monde se met à couvert. Sanchez descend de la voiture avec Horákovà. Ils attendent Youssorof.
La DGSE les observe de loin.

Youssorof arrive à son tour. Sanchez l'accueille et lui serre la main. Par politesse, il lui demande s'il a fait un bon voyage. Youssorof lui répond qu'il est parti de Moscou par temps orageux et qu'il arrive en France par une belle journée.

Youssorof demande s'il a bien la clé USB. Sanchez lui répond par l'affirmative, il demande à Horáková d'aller la chercher dans la voiture.
Youssorof le félicite et le remercie pour sa parfaite collaboration. Mais Sanchez n'aurait pas refusé une telle offre. Horáková s'avance vers lui et ouvre la mallette.

Quand soudain, Mallet donne le signal et les équipes de terrain tirent sur les hommes de Sanchez et de Youssorof.

Sanchez prend la fuite et va dans le chantier de construction, Édouard se lance à sa poursuite laissant Alexandre s'occuper des autres malfaiteurs.

Édouard pénètre dans le chantier, Sanchez tire. Il se met à couvert et monte jusqu'au dernier étage, là où se trouve Sanchez.

Une fois arrivé là-haut, Édouard pointe son arme sur lui et dit : - "C'est fini Sanchez, mains en évidence". Sanchez se retourne, et dit : - "Ah, Édouard, on se retrouve". Édouard lui dit que son petit jeu est terminé. Sanchez lui dit qu'il a failli apporter la paix dans le monde. Édouard rajoute : - "Non, tout ce que vous avez failli faire, c'est déclencher une guerre".

Sanchez renverse la situation et est persuadé que c'est Édouard qui est venu faire foirer son plan.
Il pointe son arme sur lui, cela lui rappelle là-fois où le narcotrafiquant qu'il suivait en Colombie s'est suicidé devant lui afin de ne pas se faire prendre.

Édouard cours et se jette sur lui. Sanchez tombe et Édouard le retient.
Sanchez est pris d'angoisse, il demande à Édouard de le relever.

Édouard le lâche mais il n'est pas mort. Il s'en tire seulement avec une douleur au dos, les agents de terrain l'encerclent.

Une fois une partie des hommes abattus, Gabriel Sanchez, Dimitri Youssorof et Petr Horáková capitulent.

Édouard observe Sanchez menotté dans une des voitures de police. Sanchez confesse que, dans le passé, il avait suivi des études et passé son diplôme en économie ; il voulait rentrer au Ministère de l'Economie mais il avait échoué au concours. Édouard est surpris, est-ce ceci qui l'a poussé à faire ce coup ? Etait-ce une vengeance ? Sanchez répond un "oui, on peut dire ça comme ça".

Sanchez dit à Édouard : -"On se reverra Édouard". Étant donné qu'il est menotté, il ne peut pas fermer sa fenêtre, alors il demande au chauffeur de la remonter pour lui.

Jeanne et Carine observent Édouard, elles reconnaissent qu'il a été courageux. Carine interroge Jeanne. Envisage-t-elle de se remettre avec Édouard après cette folle aventure ? La jeune femme est bien évidemment amoureuse et accorde une seconde chance à cette nouvelle belle histoire.

Alexandre s'approche d'elles et embrasse Carine, Jeanne et Édouard se dévisagent souriant.