Hanakotoba (Langage des fleurs)

Dahlia (Tenjikubotan)

Je me vois chez toi un vendredi soir, rentrant d'une dure journée. Toi dans le salon profitant de la soirée, faisant ce qui t'amuse pour te détendre, pendant que moi, emplis d'amour je prépare un petit plat délicieux, la pièce est enfumée mais accompagnée d'une odeur envoûtante, tu me jette des coups d'œils de hâte comme un petit chat qui attend son bol.
Quelque chose t'interpelle, mon sourire. Il n'est pas enjôleur mais en coin, ça n'annonce rien de bon ~
Je joue le grand jeu, petite nappe pendante, petite assiette servie, bougie clichée et ta boisson préférée.

Tu viens en hate une fois assise tu ne comprend pas pourquoi seulement une assiette est servie ni même pourquoi qu'une moitié de la table est dressée.
Au moment de demander pourquoi, je me glisse sous la nappe et te dis en rigolant « Bon appétit ~ »

Tu soupir de ma bêtise et tu me sens écarter tes cuisses, tu prend un grand souffle et sert à plaine poigne tes couverts.
Tu commence à manger histoire de, pendant que mes baiser tapisse tes cuisses jusqu'à ton entre jambe ~
Une bonne semaine mérite bien une belle gaterie ~

Tu fais l'effort de jouer le jeu, d'essayer de savourer ton plat mais je te savoure d'avantage et les sensations t'empêche de faire deux choses à la fois, tout ce que tu saisie, tu l'émpoigne, la nappe, ton verre, les couvert, tout de pleine force ~

Tes cuisses trembles, tu poses le regard là où tu peux pour supporter les sensations de ton bas ventre qui font palpiter ton cœur à vive allure, rien de mieux pour passer .. au « plat » c'est ce que tu m'entend dire en tout cas..
Je t'exaspère mais tout mes efforts font qu'après tout.. Tu me supporte et ça en vaux le coup, tu me vois sortir de dessous la nappe, le visage luisant et humide avec un sourire niais et comblé, tu me demande si c'est bon?
Et sans un bruit, je te prend par la main, te relève t'amène du coter de la table qui n'est pas dressé, te couche dessus, saisi ta chevelure au dessus de la nuque et de l'autre main je glisse ma queue entre tes cuisses ~
Tu griffe le glacis du bois qui couvre la table, je commence des vas et viens, tout en caressant ton dos le long de tes courbes jusqu'à claquer et empoigner ta fesse ~
L'acte ce continue, tu n'arrive pas à prendre le temps de comprendre ce qui ce passe mais Erf.. Osef tu kiff et c'est l'essentiel.
Quand ton dos a nue c'est refroidie, je viens couvrir de baiser ton dos accompagner de profond et violent coup de rein, la vaisselle chante et la table grince mais peut importe la casse, les risques et le plaisir passe maintenant avant tout, tu me gémis de continuer, tu tire la nappe de toute tes forces, ton visage couvert de cheveux le laissant dans un étouffant brouillard de luxure ~
Tu me supplie de passer à la conclusion que subtilement tu appel « le dessert »
Dans ma betise je répond « Au plaisir mademoiselle » je glisse mes deux bras sous les tient puis accroche mes deux mains à tes cheveux.
Bloquant tes deux bras à ton dos et te courbant de force. Mes coups de reins sont si profond, sec, et régulier que tout déborde, tombe et grince.
Tu savoure mes gémissements au milieu de tes cris, tu mord même la nappe mêler à tes cheveux jusqu'à ce que 3 coups de queue immense, irrégulier me laisse jouir en toi.
Je ne te lâche qu'à la dernière goute~

Je me retire un instant et part te prendre une robe de chambre, t'aide à marcher, ce qui me fait rire discrètement, je te rassois sur ta chaise encore humide.
Je replace la table et te sert une nouvelle assiette, et te sert un nouveau verre « C'est mieux quand c'est pas cassé.. Eheh »
Oui tu le sais, je suis idiot, à mon tour je me sert une assiette pour me poser face à toi d'un regard niais plein d'amour.
Ton corps ce détend et ta peau dégele sous la douceur de la robe et la chaleur du plat, tu es épuisée certes, mais tu dois admettre que tu es détendue et combler, ce qui moi~ me satisfait.
Suite à ça notre soirée ce termine sous une douche langoureuse à deux et un film ou tu t'endormira en salivent partout au bout d'une quinzaine de minutes ~ un grand classique, un plan encore conclu à merveille.