Club 27... [Levi x Male!Reader]

Chapitre 2 : Club Chaos...

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Dans le dinner.
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Le (c/c) n'arrivait pas à détourner les yeux de l'homme en face de lui, malgré le fait qu'il ait déjà rangé sa carte de paiement. Celui-ci s'assoit à côté de lui et soupire :

— T'as pas l'air frais.

— Pourtant je suis plus sexy que Miss Univers ! S'exclame l'homme torché.

— ...C'est encore pire que je pensais... Connie ! Apporte lui un verre d'eau froide !

— Oui Caporal !

Le guitariste tombe contre son sauveur et passe un doigt sur son torse avant de se faire sauvagement jeter au sol.

— Oh~ Le Caporal mystérieux se fait difficile, roucoule-t-il en se relevant.

— Arrête tes conneries (T/p). T'es pas assez frais pour draguer quiconque.

— Mais je t'ai dit qu-

— Mais pas dans ce sens là pauvre sous-merde.

— Pas très patient le Caporal...mais très sexy !

Connie se retient de rire en apportant le verre d'eau pendant que Sasha — sa collègue — hésite à immortaliser le moment. Une assiette de frites finit sous le nez du musicien, qui se rassoit difficilement sur son tabouret. Le Caporal le balance sur un des fauteuils du dinner et pose son plat devant lui, gardant un seau pas loin.

— Mange, ordonne-t-il.

— Les frites dans mon assiette ou la frite entre vos jambes Caporal...?

Le brun hausse un sourcil et se craque les doigts, donnant le ton de sa réponse à la prochaine connerie du toxicomane. Celui-ci commence à savourer ses frites et son verre d'eau, ne réalisant pas à quel point il avait faim.

Avant de tout vomir dans le seau quelques minutes plus tard.

— C-Caporal-chef Levi...? Tout va bien...? Bégaye de fatigue Jean, un des serveurs.

— Je vais m'en sortir. Vous, restez a l'affût de chacune de ses réactions et amenez lui de l'eau.

— Vous pourrez pas le ramener chez lui là...

— Pas grave. Il dormira ici.

— Sur le fauteuil ?

— Tu veux l'amener chez toi ?

— ...J'apporte une couverture.

Jean part vite pendant que Sasha change le seau de (T/p), lui volant ses frites restantes au passage.

— Putain elles étaient bonnes en plus ! Se lamente-t-elle en partant.

Connie tend une serviette humide à l'homme mal en point, qui se lave le visage comme si sa vie en dépendait. Levi le fixe, attendant de voir s'il est encore conscient de ce qui l'entoure. Le (c/c) se remet lentement de ses émotions, réveillé par un ventre qui gargouille et une tête qui lui insulte ses morts. Il laisse tomber son front contre la table en grognant :

— Caporal-chef... J'ai des choses à faire demain...

— Tu vas clairement pas bouger d'ici tant que tu n'es pas en état.

— Mais Caporal... J'ai fini mon assiette...

— Et tu l'as dégueulé. Donc tu vas manger, dormir et demain on avisera de toi.

— C'est noble de votre part...

— Sûrement. Maintenant, pionce.

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Le matin.
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