Chapitre 11/L'heure du Test

29 5 20
                                    

Point de vue d'Amandine

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou télécharger une autre image.

Point de vue d'Amandine

« Veuillez m'écouter, chers élèves ! Martis, se tiendra finalement le test d'aptitude de milieu d'année. Suite aux récents événements, dont je ne citerai pas le nom... »

Elle regarda un groupe d'enfants.

« Nous commencerons à huit heures précises. Que ce soit pour les premières ou les deuxièmes années, le test théorique sera prévu le matin tandis que l'après-midi sera dédié au test pratique. Bien, vous pouvez retourner en salle d'études ou dans vos chambres afin de réviser pour demain. Bonne fin d'après-midi ! »

La directrice et les professeurs présents retournèrent à leurs occupations.

Un brouhaha de mécontentement se fit entendre. La troupe des cinq se retira avec le plus de discrétion possible, le sentiment de culpabilité les habitait à cet instant. De leur faute, certains allaient probablement redoubler. Cet examen de milieu d'année est comme une barrière interdisant ceux aux connaissances et aux pouvoirs limités de passer.

Grey, Jack, Simon et Amandine les virent passer :

« Ils doivent s'en vouloir...

— Ce n'est pas leur faute, ils se font insulter alors qu'ils sont arrivés ici par hasard.

— En effet. La directrice a encore enfoncé le couteau dans la plaie.

— Exactement ! Ce n'est pas ce qu'est censé faire un chef d'établissement.

— Venez, on va les suivre pour rester ensemble et on révisera en même temps. »

Les trois êtres élémentaires partirent en douce de cet attroupement de personnes mécontentes. Ils ne prirent pas la peine de toquer à la porte pour rentrer en trombe et s'installer là où ils le pouvaient.

« Ben, ils sont où ? demanda Jack.

— Hé ho ! Il y a quelqu'un ? » s'écria Amandine.

Alicia claqua la porte de la salle de bain. Elle avait l'air d'humeur colérique, un peu comme un lion qui essayait tant bien que mal de faire fuir quiconque s'approchait. Néanmoins, on avait plus envie de rire de la tête qu'elle tirait que de prendre la poudre d'escampette.

« Hum, Alicia ? Ça ne va pas ?

— Foutez-moi la paix ! »

Les trois se regardèrent, très surpris par ce changement d'humeur si soudain.

« Vous devriez la laisser ruminer dans son coin, elle a toujours eu des sautes d'humeur comme ça, sans raison particulière. Ça va passer, ne vous inquiétez pas, elle va probablement se...

Ils se retournèrent pour voir ce qui se passait derrière eux. Quelle surprise ils eurent en voyant Alicia se défouler sur un pauvre cousin qui n'avait rien demandé.

Élémentaire mais pas que ...T1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant