Cela fait 2 ans que Bakugo a perdu la trace de Deku après le lycée. Néanmoins, ils finissent par se retrouver lors d'une soirée. Mais tout ne se passe pas du tout comme prévu et cela mènera à des situations plus que critique.
TOME 1 ( fini ) ET TOME...
ATTENTION - Ce chapitre contient des scènes et descriptions pouvant heurter la sensibilité de certain/e ! Cela peu donc réveiller certains traumatismes. Si des situations similaires vous arrives, pour pouvez appeler ou envoyer un message à un numéro d'aide. Faites attention a vous et bonne lecture ‹3
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PDV Izuku
Je courrais du plus vite que je pouvais. Le temps était compter et je ne pouvait me permettre de le perdre. Rien ne m'assurais qu'as l'heure qu'il était, Kacchan n'était pas déjà parti, qu'il n'avait pas déjà sauter, mais mon instinct et mon espoir m'aidais à me dire qu'il n'était pas trop tard.
Je me faisais dévisager par les gens dans la rue. Ce n'était pas habituel de voir quelqu'un courir en larme sur les trottoirs. Je n'en pouvait plus mais je courrait encore. Mes mollets me brûlaient, si je continuais à ce rythme j'allais me déchirer les muscles mais je m'en battait bien les couilles. Je ne supporterais sa perte...
PDV Bakugo
J'était au bord d'un pont sur une route peu fréquenter, en fait il y avait jamais personne dessus. La pluie bâtante trempait mes vêtements et le casque que j'avais sur les oreilles. Le pont était assez haut pour que, quand je saute, je me claque contre l'eau et que je crève. Et si jamais sa marchais pas, je me laisserais couler...
Vous allez vous dire que le grand Bakugo ne se suiciderais jamais ! Eh bah si... de toute façon je suis pas si grand que ça...jsuis une sous merde. Un abrutis de première... Je préfère ne plus faire face a Deku que de devoir supporter son départ loin de moi. Je ne supporterai pas de le voir à la télé, ou possiblement le voir avec moi pendant le taff. La ville ne perdrais pas grand chose si je mourrait...
Le vide était presque sous mes pieds, mais sauter directement était trop simple et pas assez kiffant. J'enclencha alors une musique que je décida d'hurler bien fort avant de partir dans un autre monde, peut être pire, ou peut être meilleur. ( enclenchez le média )
Les instrument jouaient un air à la fois mélancolique et à la fois fort et enrager. Les paroles commençaient...je les hurlaient à plein poumons.
- Can you hear the silence? Can you see the dark? Can you fix the broken? Can you feel, ...can you feel my heart?
J'hurlais au bord du pont, en extériorisant et en utilisant toute mon âme.
- Can you help the hopeless? Well, I'm begging on my knees Can you save my bastard soul?
Je commençais à pleurer...
- I'm sorry, brothers, so sorry, lover Forgive me, father, I love you, mother Can you hear the silence? Can you see the dark? Can you fix the broken?
Can you feel my heart?
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