𝙙𝙞𝙚𝙘𝙞

210 12 31
                                    

𝐆𝐢𝐚𝐝𝐚 𝐌𝐚𝐧𝐠𝐢𝐧𝐢, juillet 2020

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou télécharger une autre image.

𝐆𝐢𝐚𝐝𝐚 𝐌𝐚𝐧𝐠𝐢𝐧𝐢, juillet 2020

Milan, Italie

Ma tête posé contre le torse de l'autre imbécile, on regardait une série sur la télé de ma chambre.

Mattia : Elle est bonne, elle.

Moi : Trop, je vendrais ma mère pour avoir ses fesses. Il pouffait de rire.

Mattia : C'est un bien pour un bien du coup.

Moi : Non quand même pas. Il me lançait un regard avant que je n'explose de rire. J'ai été crédible à la base ?

Mattia : Non pas du tout.

Moi : Mince, moi qui voulais devenir actrice.

On se re concentrait sur la série italienne, en réalité le programme était très nul mais on avait rien à faire, il était impossible de sortir avec la chaleur qui faisait donc on devait se débrouiller comme on pouvait pour ne pas s'ennuyer.

Mattia : C'est nul, tu veux pas mettre des dessins animés ?

Moi : J'attendais que tu proposes.

Je mettais alors une chaîne pour enfant où était diffusé Miraculous, à mon plus grand bonheur. Malgré mon grand âge je suivais ce dessin animé mais j'étais surtout tombé sous le charme de Chat Noir.

Mattia : C'est lui là que tu kiffes ?

Moi : Oui ! D'ailleurs saches que s'il existait vraiment je t'aurais jamais calculé. Il levait les yeux au ciel.

Mattia : Au moins t'es honnête.

Moi : Toujours. Sa main s'abattait contre mon front me faisant grogner. Idiot.

Mattia : Idiote.

J'allais finir par l'enterrer vivant celui-là.

Il m'attrapait par les hanches pour me tirer vers lui, je me mettais à califourchon sur lui alors qu'il remontait ses mains jusqu'à ma chute de rein. Mes lèvres s'écrasaient contre les siennes.

Mattia : Tu m'aimes trop toi, c'est fou ça.

Moi : Fais pas genre, toi aussi tu m'aimes trop. Il souriait de coin.

Mattia : Peut-être bien, ouais. Je souriais comme une enfant.

Je le serrais contre moi, ma tête était enfouit dans son cou et ses bras entouraient mon corps. J'embrassais sa joue à plusieurs reprises avant de déposer une nouvelle fois mes lèvres sur les siennes.

Moi : T'es beau. Il pouffait de rire.

Mattia : T'as quoi aujourd'hui ? Je haussais les épaules. Toi aussi t'es belle. Il replaçait une mèche de cheveux derrière mon oreille.

Du bout des doigts j'attrapais l'une des chaînes qui ornait son cou et lui enlevait pour la mettre autour de mon cou, comme je faisais à chaque fois qu'il la portait.

Moi : Elle est mieux ici.

Mattia : Pour une fois t'as pas tord.

Chacun de nos moments partagés ensembles faisaient redoublés nos sentiments et nous rendait totalement niait mais mon Dieu qu'est-ce que j'aimais ça en réalité. Je me sentais vivre pour de vrai.




Ce jour-là, je m'étais donné à lui pour la première fois de ma vie, il avait été le premier et dernier homme à avoir touché mon corps.




























instagram : @ladif.sw ; @gigimangini

𝘀𝗵𝗲'𝘀 𝗳𝗿𝗼𝗺 𝗶𝘁𝗮𝗹𝗶𝗮 ; rondodasosaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant