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Seven dead flowers ,

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Seven dead flowers ,

Le club le plus branché de Tisnada n'était plus à présenter.
Le seul endroit à rassembler en son sein les plus grandes personnalités de la ville.
La musique battait à son plein, des filles à moitié dénudées dansaient frivolement, collées à des barres en acier blanc brillant, l'odeur de whisky mêlée au rhum se propageait dans le moindre espace qui leur était donné d'envahir, dans les cabines privatif, aux extrémités opposées au bar, il n'était pas fortuit d'entendre des gémissements, des complaintes luxurieuses témoins des ébats, enchantements dont chaque client particulier était bénéficiaire.

Au find fond d'un couloir interminable, se trouvait un carré VIP : Sugar free ; un endroit assez spécial où certains services moins réglementés par la loi s'effectuaient.
L'espace Sugar free, était le lieu de rencontre des femmes les plus influente de Tisnada. Elles s'aventuraient en ce lieu pour acheter et assouvir leurs désirs les plus libidineux, aussi immorale qu'outrageant.
La plus part étaient mariées et d'un certain âge. Femmes de ministre, amante de sénateur ou simple femme d'affaire.
Au Sugar free, il n'y avait pas de place pour la mendicité, la pauvreté ou même la laideur.
Cet espace intime accueillait uniquement des jeunes hommes aux faciès irréprochables, un visage délicieux était l'un des critères primordiaux d'embauche.

Cette vie peu glorieuse aux récompenses toutefois alléchantes, tentait bien plus d'un. Mais, lui, il ne l'avait pas choisi. Du jour au lendemain, il était devenu un Sugar boy. Les derniers événements dont il se souvenait et qui lui était impossible d'oublier étaient : la mort de son père, la venue des huissiers à leurs domicile, la saisi de tous leurs bien et son entretien avec cette femme... cette fameuse propriétaire du Seven dead flowers.
Il n'avait que seize ans à l'époque. Et lorsqu'elle était venue à lui, elle lui avait dit ceci :

« Ton père me devait une somme d'argent s'élevant à 100 million de cuyas. T'es pas mal pour un gamin, tu as un très beau visage et je suis certaine que tu sais bien te servir de ce que la nature t'as gracieusement donné... je te propose donc de travailler pour moi. Tu travaillera à mon bar jusqu'à payer la totalité de la dette. Ou sinon tu peux toujours choisir de crever en prison. À toi de choisir... mon mignon »

À ce moment là, il n'avait pas la maturité nécessaire et n'avait qu'une seule envie : survivre. Et ce, peut importe les moyens. Il s'était donc contenter de hocher la tête, et avait signé un papier — dont le contenant — lui échappait un peu à présent.

_ Aah Naruto toujours aussi extraordinaire mon garçon respira bruyamment la quarantenaire tout en mettant la tête du jeune homme entre ses jambes

Le visage inexpressif, Naruto se contentait de faire ce que l'on attendait de lui. D'un coup langue adroit et précis, il travaillait à procurer ce plaisir orale à sa cliente du jour.
L'intimité de la quarantenaire au premier contact aride — dû sans doute au début de ménopause— s'humidifiait au rythme donné par les coup de langues du garçon aux cheveux ambrés.

_ Awwwh Naruto c'est si bon ! Continue, ne t'arrête pas gémissait la quarantenaire en tenant fermement la chevelure cuivrée de Naruto

Du dégoût . Du mépris .
Le jeune homme d'à peine vingt ans, se sentait sale à chaque fois qu'il devait fricoter avec l'une des clientes du Sugar free.
Il n'éprouvait aucun plaisir à faire ce qu'il faisait.
Depuis quatre années passé dans cet enfer, et il n'avait même pas remboursé la moitié de ce qu'il devait à la patronne du Seven dead flowers.
En plus d'être le jouet sexuel de chaque femmes immorales qui passait le seuil du Sugar free, il devait également s'occuper du bon plaisir de Lady Tsunade ; la patronne des lieux, le Seven dead flowers.

Écœuré.
S'il devait mettre un mots sur la sensation, le sentiment qu'il ressentit lorsque, en plein orgasme, la cyprine de la quarantenaire se glissa entre ses lèvres afin de se tapir sur sa langue, ce serait bien ce sentiment là : l'écœurement.

_ je n'ai jamais autant pris mon pied qu'aujourd'hui. Tu es décidément magique mon petit Naruto fit la cougar en caressant le haut de tête du blond

Tandis que la quarantenaire s'habillait après avoir pris une douche, Naruto s'était précipité dans la salle de bain.
Un doigt au fond de la gorge, la paume sur la main, il se fit vomir ; tout en crachant ses intestins, Naruto n'arrêtait pas de se maudire intérieurement.
L'eau qui coulait sur sa peau hâlée ne risquait pas d'effacer ces caresses répugnantes que lui offraient toutes ces femmes.
Une fois sa douche prise, il s'habilla puis se rediriger vers la chambre.

_ Mon petit Naruto. Je ne suis décidément jamais insatisfaite de ton travail. Me faire jouir rien qu'avec ta langue ? J'avoue avoir lancé ce défi mais je ne savais pas que tu le réussirait aussi bien ! Tiens voici pour toi ! La vieille brune posa l'enveloppe plein de billet sur la table en face d'elle

Le visage toujours impassible, ses cheveux blond ramené en un chignon négligé, Naruto prit en sa possession l'enveloppe posé sur la table ; il y compta 300 000 cuyas. Il comptait comme d'habitude prendre 100 000 cuyas pour lui et ramener le reste à Lady Tsunade dans l'espoir d'alléger ses dettes et de quitter enfin ce milieu dans lequel il a été forcé d'entrer.

_ ne pars pas tout de suite mon petit Naruto. J'ai une proposition à te faire débuta la quarantenaire que dirais-tu si je t'annonçais que je suis capable de payer ta dette entièrement ? Dis moi juste le montant et je le ferais. La seule chose que je te demande est simple, soit à moi pour toujours.

SUGAR BOY  [ + 16  ]Hikayelerin yaşadığı yer. Şimdi keşfedin