MAFIA

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-Une profonde colère m'habite et je meurs d'envie de me punir de t'avoir pousser à douter de moi. Non attend laisse moi finir.

Pronnonça t-il avant même que je n'ai le temps de prononcer le moindre mot. L'accalmie qui avait précédé mon soulagement avait été de courte durée lorsque Vassili avait comprit ce que signifiaient les doutes que j'avais exprimée. C'est le regard emplit d'amertume et la voix transparaissant la culpabilité qu'il répliqua.

-Je m'en veux parce que Vassili l'impitoyable t'as laisser croire que je ne voudrais pas de cet enfant ou que j'en ferais le digne successeur de cet empire mais que Dieu m'en sois témoin, jamais Seigneur jamais je ne ferais une telle chose. Mon amour tu es la plus belle chose qu'il me sois arriver dans la vie. Lorsque j'ai posé les yeux sur toi la première fois je n'aurais jamais cru qu'en quelques mois à peine tu aurais comblé le trou béant qui se trouvait dans ma poitrine. Tu m'as tellement apporté que je sais ne jamais arriver à me faire pardonner les chagrins que j'ai pu te causer. Elena je sais que je ne suis pas le fervent prince charmant, j'en suis conscient mais et même si dans l'histoire je suis plutôt le méchant rien n'y personne ne pourrait combattre l'amour que j'ai pour toi. Je vais être honnête ma passion envers toi était si dévorante qu'étonnamment je n'ai jamais penser aux enfants. Cependant aujourd'hui je réalise que tout ce que tu pourrais m'apporter ne me rendrait que plus éperdument amoureux et Dieu sait à quel point c'est infaisable. Avoir un enfant n'a jamais étais une de mes priorités. Dans ce monde je n'en rêvais pas et surtout je n'ai jamais rencontré quelqu'un qui m'en donnerait envie. Aujourd'hui j'ai trouver cette personne, Elena, être le père de notre enfant ferait de moi l'homme le plus heureux du monde.

Toucher au plus profond de mon cœur c'est sans pouvoir parler que je fondis dans ses bras. Notre étreinte se fit plus dur alors qu'enfin je le retrouvais. Me laissant aller je rejetais toutes mes craintes et mes angoisses à jamais. Les paroles de Vassili n'avait pas eut le seul mérite de me réjouir, non. En plus de faire de moi la femme la plus heureuse au monde il venait à tout jamais de mettre un point final au malheur et à la déception. Balayant d'un revers de la main mes préoccupations il venait à l'instant de tourner une nouvelle page. A présent dans une ère de renouveau je promis silencieusement, proscris contre l'homme que j'aimais que tous les jours je remercierai le ciel de l'avoir mis sur mon chemin. Et comme si un bonheur n'arrivait jamais seul. C'est élégamment que Vassili décida de commencer ce nouveau chapitre, que dis-je, ce nouveau livre de nos vies. Se reculant, il vint s'agenouiller face à moi. D'une main experte il vint attraper une boîte et dans la seconde qui suivit une bague sertie d'un saphir renversant me fis face. Un saphir? Un émeraude? Les larmes qui me brouillaient la vue ne me permis de le confirmer. Le souffle court c'est tremblotante que je compris.

-Evidemment je pensais le faire dans d'autres conditions mais comme tu viens de me le prouver il n'y a que l'instant présent qui compte et pour être tout à fait honnête je ne passerais plus une minute de plus sans savoir que nous sommes liés à jamais. Alors Elena Russo Petrova, soleil de ma vie, mère de mes futurs enfants, amour de mon existence, ferais tu de moi, l'homme le plus heureux des Cieux et de la Terre en acceptant de devenir ma femme pour toujours et à jamais?

La voix chevrotante, le cœur battant la chamade, ceci sera le deuxième moment que je n'oublierai pas. Vassili Antonov un genou à terre me demandant de l'aimer à ses côtés jusqu'au dernier jour de notre vie. Un faible oui sortit de ma bouche alors que je m'accroupis face à lui.

-Oui, oui, oui et encore oui Vassili.

Lui sautant dans les bras il m'étreint de toutes ses forces avant de nous relever. Riant de bonheur et de bon cœur, c'est gracieusement qu'il vint sceller nos lèvres dans un chaste baiser. M'attrapant la main gauche d'un geste doux et déterminé il me passa avec une grande délicatesse la bague à l'annulaire. L'admirant je ne pu exprimer la joie qui m'étreignais.

-Je.. c'est..

Il sourit alors qu'il vint embrasser ma bague.

-Je te promet de t'aimer pour l'éternité toi et toi.

Dit-il en s'agenouillant à nouveau alors que déjà je sentis ses lèvres se déposer sur mon ventre.