(T/p) (T/n), jeune femme de 20 ans a découvert le monde cruel qu'était la recherche de stage dans l'enseignement.
Des refus en série et des vents en folie se sont abattus sur elle et son égo pendant des mois.
Jusqu'à ce qu'un certain Levi Ackerman...
Je lui ouvre la porte de l'immeuble. Il est là devant moi en tenue décontracté, des cookies et son sac dans les bras et son téléphone entre son petit doigt et son auriculaire. Je souris et l'aide à se libérer. Il entre.
— Salut.
— C'était pas la peine pour les cookies Levi...
— Je voulais quand même venir avec quelque chose.
— Et y'a quoi dans le sac ?
— Fallait que je te ramène les copies des écrits d'invention.
Si sérieux.
On monte dans mon humble demeure.
— T'aurais pu poser ton sac pour appuyer sur l'interphone quand même.
— C'est sale par terre. Je préfère galérer proprement que faciliter ma vie dans la saleté, répond-il.
Je ricane et ouvre les boites à pizza.
— Fais comme chez toi en tout cas ! Mets-toi bien.
Je me retourne, je le vois dans un pantalon pyjama bien trop beau pour que je réussisse à rester calme. Il pose sa veste sur la chaise et regarde mon choix de pizza, dans mon dos pendant que je prends un couteau.
— Madame a du goût.
— N'est-ce pas ?
Je souris et tourne la tête vers lui. Il me prend le couteau des doigts et coupe les parts sans même me prévenir. Last Lullaby de Dylan Sitts passe dans les enceintes.
Je me mets à danser délicatement.
Mais le boug est toujours bien derrière moi.
Je fredonne en observant les gestes parfaits de Levi avec le couteau.
— Tu sais t'y prendre avec les couteaux..., commenté-je en bougeant mon corps.
— L'armée et mon adolescence ont été des bons entraînements.
— Ton adolescence ?
— Hm hm.
— Tu veux dire quoi par ça ?
— Tu te souviens quand je t'ai dit que l'armée m'a permis d'être là où j'en suis ? Bah c'était littéral. Si j'avais pas rencontré Erwin, je serais resté un jeune voyou à la con. Un caïd, un vrai.
— Toi ? Un gangster ? J'y crois pas. Tu mets des costards bien trop beaux pour ça !
— Les mafieux aussi et ça les empêche pas de trouer des gosses tous les samedis.
— Levi... Je veux une preuve de toi garçon des rues ! C'est une dinguerie si t'as réussi à sortir d'un cercle vicieux pareil.
— Okay.
Il sort son téléphone de sa poche et me montre cette photo de lui en menottes.
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