Chapitre 4

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Bip Bip Bip ...

" Oh non, déjà?"

J'ignorai l'alarme et m'enfui sous la couette.

- Sasha, ne m'obliges pas à venir te chercher, me hurla ma mère depuis la cuisine.

Je me résignai à me lever. Éteindre l'alarme, passer sous la douche. Après avoir choisi mes vêtements je m'habillai d'un jean slim gris dégradé, d'un t-shirt bleu roi à manche longue, de ma veste en jean bleue et d'une paire de vans bleu roi également. Pour le premier jour de ma dernière année, je décidai de laisser mes cheveux relâchés. Puis je me mis un peu de mascara, d'eye liner et de brillant à lèvres. Bon, moi je suis prête.

Je descendis prendre mon petit déjeuner, fis la bise à ma mère et c'est parti. J'enfourchai ma moto puis partie pour l'école. Je me garai puis me dirigeai directe vers notre coin à Kate et moi. Je la trouvai assise, la tête entre les genoux.

- Salut, lui dis-je. Ça ne va pas?

- Hey, dit-elle en relevant la tête. Non ça va. Gueule de bois. Mais toi, raconte comment s'est terminé ta soirée en compagnie du beau ténébreux, dit-elle le sourire aux lèvres.

- Si tu veux tout savoir, il m'a juste raccompagné ensuite il m'a souhaité bonne nuit, dis-je en rougissant.

- Tu serais plus crédible si tu me racontais la suite. Aller, vide ton sac.

- Je l'ai juste embrassé sur la joue.

- Tu vois, ce n'était pas si compliqué.

- Ah, tais-toi. Viens, lui dis-je en me levant. Les cours vont commencer.

- On a quoi à la première heure ?

- Philosophie.

- Je sens que cette année va être éprouvante, dit-elle dans un soupir.

Passer aux casiers, rentrer en classe, s'asseoir, patienter. Quelques minutes plus tard, un homme d'une quarantaine d'années fit irruption dans la salle. Se présentant comme monsieur Duval, professeur de philosophie.

- Prenez votre manuel à la page 51 et...

Les profs se succédèrent jusqu'à la pause déjeunée.

- Ah vive le répit et la bouffe. J'ai la dale, moi.

Du Kate tout craché.

- Tu imagines, poursuivit-elle, philosophie et complexe pendant les quatre premières heures de la première journée. Ils essaient de nous tuer, il n'y aucun doute là-dessus.

- Arrête de te plaindre, ça aurait pu être pire.

- Tu plaisantes j'espère.

- Tu ne changeras jamais. Tiens, il y a Fabrice et Clément qui nous font signe. On y va?


Salut les amis. G tellement d'idées que je sais pas quoi mettre. Si vous en avez, faites le moi savoir. Commentez et votez.
                                              XOXO

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