Amour mouvementé

By maevatbooks

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Katia, une jeune fille calme en apparence mais très têtue, est forcée de rentrer dans son pays natal après qu... More

Chapitre 1
Chapitre 2
Chapitre 3
Chapitre 4
Chapitre 5
Chapitre 6
Chapitre 8
Chapitre 9
Chapitre 10
Chapitre 11
Chapitre 12
Chapitre 13
Chapitre 14
Chapitre 15
Chapitre 16
Chapitre 17
Chapitre 18
Chapitre 19
Chapitre 20
Chapitre 21
Chapitre 22
Chapitre 23
Chapitre 24
Chapitre 25
Chapitre 26
Chapitre 27
Chapitre 28
Chapitre 29
Chapitre 30
Chapitre 31
Chapitre 32
Chapitre 33
Chapitre 34
Chapitre 35
Chapitre 36
Chapitre 37
Chapitre 38
Chapitre 39
Chapitre 40
Chapitre 41
Chapitre 42
Chapitre 43
Chapitre 44
Chapitre 45
Chapitre 46
Chapitre 47
Chapitre 48
Chapitre 49
Chapitre 50
Chapitre 51
Chapitre 52
Chapitre 53
Chapitre 54
Chapitre 55
Chapitre 56

Chapitre 7

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By maevatbooks

Nous étions toutes irritées mais nous nous efforçons de garder notre calme car nous avons réellement besoin de son aide.

— Écoute tata, si tu ne souhaites pas nous soutenir, alors laisse tomber. Cependant, ne viens pas remuer le passé et t'en prendre à moi de cette façon.

— Je ne m'en prends pas à toi non enfaite si t'était pas venu l'ouvrir je n'allais pas parler.

Nadira avait l'air très énervée, je ne l'avait jamais vue ainsi.

— Nadira ne fais pas attention aux caprices de Oumy. Dis-je en essayant d'aller l'atmosphère

— Je m'excuse, mesdemoiselles, mais je ne peux malheureusement pas vous aider. Cependant, je ferai tout mon possible pour que Bassim vous inflige une punition appropriée.

Cette famille est tout simplement incroyable, je suis vraiment étonné. Soudain, une personne pénètre dans la cuisine.

— Tata Nadira tu peux../

C'était Raja.

— Ah vous êtes rentrer? Dis vous étiez où? Ah je sais vous êtes aller chez le mec de.../

Au même moment Bassim fut son entré, les filles elles tremblaient.

— Oncle Bassim bonsoir comment tu vas? Dit Oumy tout en souriant

— Tu te fou de ma gueule ?

— Non, attends je t'explique tout.

— Mais vas-y. Dit-il

— Le hic, c'est qu'en chemin, une voiture nous fait des coups de klaxon et Nora a mentionné qu'elle était familière avec la personne. Par conséquent, nous nous sommes arrêtés et avons discuté pendant un bon moment.

La situation m'a profondément agacée, Oumy est extrêmement dangereuse et Nora avait l'air non seulement choquée mais aussi furieuse.

— Vraiment ? Toi même tu crois à ce mensonge ? Lui demande Bassim

— Mais où mon oncle et ce n'est pas un mensonge.

— MAIS QU'EST-CE TU RACONTE? C'est faux mon oncle ! S'écria furieusement Nora

— Toi tu l'a ferme! Vas-y continue un peu Oumy qu'est-ce qui s'est passé après?

— Après une heure de discussion, ils ont pris congé et c'est pourquoi nous sommes rentrés seulement maintenant.

Je ne supportais plus ses mensonges, en plus ce n'est même pas drôle et elle est ridicule.

— Pourquoi tu mens Oumy ? Je lui demande

— Et moi je peux savoir quoi tu l'ouvre toi ? Me dit Bassim

Je ne m'y attendais pas.

— Mais c'est complètement faux!

— Mais tu la ferme je ne t'ai rien demander!

Je ne suis vraiment pas fan de sa manière de communiquer avec moi. Je ne suis pas une chienne, il doit me respecter de la même manière que je le respecte, je ne suis pas l'une de ses nièces.

— Malgré tout, je ne me tairai pas tant que je n'aurai pas dévoilé la vérité.

— Katia tais-toi s'il te plaît. Me dit Nadira

Je ne comprends pas pourquoi elles ont toutes cette crainte envers lui, sachant qu'il n'est pas Dieu après tout.

— Laisse-la, les filles, je vous prie de monter dans vos chambres sans tarder. Dit-il d'un ton sec

Elles exécutent rapidement, je ne cesse d'être choquée. Il les a véritablement dominées, des petites nièces bien disciplinées, bien dociles et bien obéissantes.

— Nadira tu peux nous laisser aussi s'il te plaît ?

— Non Bassim en tout cas pas tant que tu serais énervé.

On aurait dit qu'elle était effrayée et moi je me sentais plus calme car ce n'est que le nom de Bassim qui fait vraiment peur. En réalité, il n'est rien du tout.

— Pas de panique, je ne vais pas l'abattre, en tout cas pas pour le moment.

— Bassim ne parle pas comme ça.

— Il faut juste que je la dit deux ou trois mots parce que j'ai l'impression qu'elle a oublier qui je suis vraiment.

— D'accord mais promet le moi tu ne vas lui toucher un cheveux.

Vas-y je me lasse pour qui il se prend le Bassim déjà?

— T'inquiète pas allez.

Après ces phrases, j'étais maintenant seule avec Bassim dans la cuisine. En toute franchise, je ne ressens aucune inquiétude, cela ne me fait aucun effet.

— Vous étiez où Katia?

Je reste silencieuse ce qui l'énervât encore plus.

— Je t'ai poser une question!

— Ne m'as-tu dit de la fermer? Alors je la ferme.

Il rigole nerveusement un moment avant de dire:

— Sais-tu pourquoi tu es là ?

— Bah parce que tu voulais pas qu'on reste chez ta mère.

Il me coupe la parole et dit:

— Je ne parle de cette maison, je te croyais plutôt. intelligente.

— En même tant tu n'es précis dans tes dites.

— Je te parle du faire que tu sois de retour du Canada.

— Bah je ne sais pas de quoi tu parles.

Il est non seulement bizarre mais mystérieux.

— Donc tu ne t'ai jamais demander pourquoi cette rentrer subite au pays?

— Non c'est mon papa me la ordonner donc je ne vois rien de bizarre.

— Et il t'a dit le pourquoi ?

— Si, pour que je continue mes études ici Maud dis-moi tant de mystère autour de cette histoire?

Silence...

— Je vois, enfaite c'est pas vraiment ce que je voulais «mais bon.

Ce que tu voulais? Attend qu'est-ce que tu veux dire par là Bassim? Qu'est-ce tu as avoir avec ça ?

— Tu ne le sais peut-être pas mais moi je ne suis au courant de toutes les bêtises que tu faisais là-bas.

— De quoi tu parle?

Je ne parviens pas à le comprendre, et je ne supporte pas qu'il me fasse tourner en rond.

— Tu me pose la question ?

— Tout de même, je ne comprends pas ce que j'ai pu faire de mal, toi Bassim tu t'es toujours retourné contre moi, même maintenant tu me considères comme du néant. Je suis parfaitement irréprochable, moi, Katia.

— Irréprochable ? La sainte ni touche ?

Ça y est il a réussit à m'énerver, je n'arrive plus à contrôler mes émotions.

— Tu sais je m'en fiche de ce que les autres peuvent penser de moi et je dors conscience tranquille car je ne me rappelle pas de ce que j'ai pu faire de déplacer tu../

Je me suis coupée toute seule, je crois que j'ai exprimé mes pensées de manière un peu trop rapide. Tellement j'étais en colère, j'ai commencé à réfléchir à toutes les actions que j'ai entreprises et je me suis souvenu d'un souvenir.

— Tu? Vas-y continue oubien tu t'en ai rappeler maintenant ?

—,Ce ne sont que des mensonges!

Il y a un an, mes tantes et mes oncles ont embarqué pour le Canada afin de célébrer mon anniversaire. Toutefois, le jour de la fête, une de mes tantes m'a pris par surprise dans la chambre avec mon copain Abba et cela a été mal interprété.

Ce qui s'est réellement passé, c'est que lorsque Abba est entré dans ma chambre, j'étais en train de me changer car je venais de prendre mon bain. Alors, comme tous les couples amoureux normaux, nous avons débuté en nous embrassant. Alors qu'il me faisait tomber sur le lit, il se pencha sur moi pour continuer à m'embrasser. C'est à ce moment précis que ma tante fit son apparition et rapporta à ma mère que j'ai eu des relations sexuelles avec lui.

Ma mère n'a pas réagi immédiatement mais après la fête, nous avons eu une conversation et elle lui ait tout raconté. Elle m'a dit qu'elle avait confiance en moi et qu'elle souhaitait simplement que je prenne soin de moi. Elle n'a partagé aucune information à propos de ce sujet avec qui que ce soit. Maintenant, je me questionne sur la manière dont Bassim a pris connaissance de cette information.

— Des mensonges ?

— Qui te la raconter ?

— Si je te dit c'est ton père tu ne vas pas me croire mais enfaite c'est pas vraiment lui parce que j'étais déjà au courant de tout.

— Attend t'as dit quoi là ? Mon père, Bassim? tu viens de me dire que c'est mon père qui t'as dit ça ?

— Ouais.

D'un coup, je me sens tellement mal, mon père est au courant de ce malentendu et au lieu de me sermonner, il a préféré me faire rentrer au pays.

— Quoi? Tu te sens coupable ?

— Dis-moi comment toi tu l'as apprise?

Je suis vraiment surprise de découvrir que même lui il est au courant de quelque chose qui ne le concerne en rien.

— Comme je viens de te le dire, j'étais déjà au courant parce que j'ai des yeux partout.

Ça je n'en doute, je ne doute même pas si on me dit qu'il fait surveiller ses nièces.

— Alors?

Je suis très curieuse de découvrir comment il a réussi à l'apprendre.

— Il y a un mois, ton père est venu me rencontrer pour me parler de ta petite bêtise. Il ressentait une douleur intense car cela ne correspondait pas à ses attentes pour toi. Il m'a dit qu'il l'a découverte par inadvertance avec ta mère qui était au téléphone. Il était désappointé et c'est pourquoi il est venu me voir, moi.

— Je ne veux pas te couper la parole mais je ne sais pourquoi il a fait ça.

— Ça tu pourrais lui demander directement.

— Et donc après qu'est-ce qui s'est passé?

— Il s'est rendu compte que j'étais déjà au courant, c'est donc à ce moment-là que nous avons décidé de prévoir ta rentrée au pays après tes examens.

Je dois avouer que je suis vraiment mal à l'aise car mon père occupe toute ma vie et dire qu'il a une autre vision de moi me déchire le cœur.

A suivre...

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