The Curfew

By trashygirly

451K 30.6K 8.8K

Quand June s'interpose dans une bagarre entre Mason, le populaire du lycée et un inconnu, tout va changer. De... More

The Curfew: chapitre 1
The Curfew: Chapitre 2:
The Curfew: Chapitre 3:
The Curfew: Chapitre 4:
The Curfew: Chapitre 5:
The Curfew: Chapitre 6:
The Curfew: Chapitre 7:
The Curfew: Chapitre fucking 8:
The Curfew: Chapitre 9:
The Curfew: Chapitre 10 :o
The Curfew: Chapitre 11 // PARTIE I
The Curfew: Chapitre 11 // PARTIE II
The Curfew: ...Chapitre 12...
The Curfew: Chapitre 13:
The Curfew: Chapitre 14:
The Curfew: Chapitre 15 (fin) *sobs*
Guess who's back, back again?
The Sunrise: Chapitre 2
The Sunrise: Chapitre 3
The Sunrise: Chapitre 4
The Sunrise: Chapitre 5
The Sunrise: Chapitre 6
The Sunrise: Chapitre 7
The Sunrise: Chapitre 8 (lol)
The Sunrise: Chapitre 9 (pls read me)
The Sunrise: Chapitre 10 // PARTIE 1
The Sunrise: Chapitre 10// PARTIE 2
The Sunrise: Chapitre 11 (hi)
The Sunrise: Chapitre 12 (hellohellohello)
The Sunrise: Chapitre 13. THE END.

The Sunrise: chapitre 1

11.8K 858 322
By trashygirly

29/11/14

Je marche le long du couloir principal de mon université, le cœur battant à tout rompre. Je tourne la tête vers ma droite, et par la fenêtre je repère des étudiants qui se détendent sur le gazon du campus. "respire...expire...respire..." J'essuie mes mains moites sur mon pantalon lorsque je m'arrête devant une porte où est écrit "Doyen". Je respire un bon coup et toque.

-Entrez! S'exclame un homme d'une voix grave.

J'ouvre, et sans perdre de temps, je me présente:

-Bonjour, je m'appelle…

-Oui, je sais, je sais, me coupe t-il.

L'homme est assis sur un fauteuil mais il est tourné dos à moi. Le dossier du fauteuil et si haut que je ne vois que le haut de sa tête chevelue de cheveux bruns et blonds. Son bureau est majestueux, si je n'avais pas lu la pancarte sur la porte, j'aurais pensé que c'était le bureau d'un président ou quelque chose dans le genre. Pourtant, sa voix me paraît curieusement familière.

-June Cass…

Un frisson me parcours lorsque je l'entends dire mon nom entier. Oui… Je connais cette personne. Ma curiosité est piquée à vif et sans prendre gare, oubliant les bonnes manières, je demande:

-Pouvez-vous vous retourner?

Il hésite un instant puis après quelques secondes il dit:

-Je ne peux pas.

-Pourquoi?

-J'ai… j'ai…une déformation du visage.

-Pardon?

Brusquement, il se retourne en se levant et je le vois. Son beau visage et ses grands yeux.

-Mason?! M'exclamé-je.

Avant, Mason Mead et moi étions en mauvais termes, mais des évènements se sont produits et ont fait que nous nous sommes approchés. Nous sommes de très bons amis aujourd'hui. Il a les yeux noisette et de magnifiques cheveux brun et blonds. Sauf que, effectivement, quelque chose cloche. Il a des narines énormes et une mâchoire bizarre. Des grandes oreilles sont à chaque côté de son crâne et son teint est d'un parfait jaune avec des tâches marron. Je cligne des yeux, abasourdie, et met une main devant ma bouche.

-June… Je… Je…

Il ferme les yeux et serre les poings.

-Je...

Il réouvre les yeux et je perçois de la douleur dans son regard.

-Je suis une girafe.

Je me réveille en sursaut dans mon lit, les yeux écarquillés et le dos en sueur. Qu'est-ce qui vient de se passer, nom de dieu?! Quel rêve viens-je de faire?! Je regarde ma chambre en retrouvant peu à peu mon esprit. Mon regard se pose sur un livre intitulé "Les girafes les plus cool du monde" qui était sur ma table de nuit. Faut vraiment que j'arrête de lire ce genre de truc avant de dormir. Nous sommes en fin Juillet, la chaleur est à son paroxysme et j'ai l'impression que cela a des conséquences négatives sur mon imagination. Je ris en secouant la tête, désespérée par moi-même.

-June! Hurle ma mère d'en bas telle une campagnarde. June, vient!

Je sors de mon lit et fait un détour très rapide par les toilettes avant de descendre la voir. Je fais mes besoins matinaux, je lave mon visage, et enfile mon peignoir rose bonbon avec des licornes vomissant des arcs-en-ciel.

-Qu'est-ce qu'il y a? Demandé-je en arrivant à la dernière marche des escaliers.

Ma mère se précipite vers moi, paniquée. La dernière fois qu'une telle scène s'est produite, Mason Mead se trouvait dans mon salon en présence de sa mère.

-Tu en as mit du temps! S'exclame t-elle tout en chuchotant.

Sa panique est contagieuse et je me mets moi aussi à gigoter.

-Que se passe t-il? Demandé-je encore une fois, mais plus pressée.

En guise de réponse, elle me prend par le bras et m'emmène dans le salon. J'écarquille les yeux en voyant la personne qui est assis sur mon canapé. Je m'attendais à tout sauf ça. Aaron Davis se lève en faisant un sourire que je ne lui connaissais pas.

-Surprise, me dit-il d'une voix à m'en donner un orgasme auditif.

Cela fait sept mois que je ne l'ai pas vu en chair et en os.

Je mets une main devant ma bouche en sentant mon cœur battre dans mes oreilles. Son sourire s'élargit lorsqu'il voit que sa surprise a de l'effet et il laisse même échapper un petit rire.

Depuis son départ, je n'ai jamais eu l'occasion de le revoir en vrai parce qu'il habitait loin de moi et aussi parce que c'est cette année qu'il a obtenu son diplôme. Il devait se concentrer sur ses études pour pouvoir avoir un bon futur.

Alors le fait de le trouver dans mon salon, souriant de toutes ses dents ce qui arrivait très rarement me fit voyager dans un autre monde. Mes sentiments n'avaient absolument pas changé et j'avais passé le reste de l'année dans le plus grand calme ce qui étonna tout le monde. En effet, j'étais un vrai cancre, j'avais donc eu beaucoup de problème et c'était très mouvementé. J'ai frappé des gens, nettoyé toute l'école, mené mon club de sport à la faillite, 'déclenché' une bataille de nourriture… Mais après le départ de Aaron, rien d'impressionnant ne s'est produit pour ma part. J'ai fini mon année de première en beauté, sans aucun soucis de comportement, et en toute sérénité. Enfin presque. Je ne pensais que à lui. Et maintenant, j'avais envie de le prendre dans mes bras et ne jamais le lâcher mais malheureusement la présence de ma mère juste derrière et de quelqu'un d'autre me retint.

-Bonjour, Mademoiselle Cass, dit mon ancienne proviseure en se levant.

La tante de Aaron fut la proviseure de notre lycée. Elle et lui étaient très proches du fait qu'elle s'était occupée de lui quand il était plus jeune. Le passé de Aaron est très sombre et éprouvant. Il a perdu ses deux parents, et elle l'a prit sous son aile.

Je souris en la voyant même si notre relation était assez tendue avant.

-Bonjour, Madame.

-Je ne suis plus votre proviseure, a présent! Oublions la formalité et appelez moi donc Annette.

Je réprime une remarque en entendant son prénom assez vieillot.

-Très bien, bonjour Annette, c'est un plaisir de vous revoir.

Je comprends maintenant pourquoi ma mère était si angoissée, mon ancienne proviseure avec qui j'avais eu pas mal de problème était là. Même si ce n'est plus notre proviseure, ma mère semble ne pas arriver à oublier le passé. Si il n'y avait que Aaron, elle serait plus légère.

Elle et lui s'étaient rapprochés depuis qu'elle l'avait soigné. Il avait fait une crise de panique lorsque nous étions allés tous ensemble dans un chalet pour un week-end et elle a essayé de le calmer. Ensuite, nous avions pensé qu'il avait eu un traumatisme crânien et ma mère, médecin, a réussi à lui réserver une chambre dans l'hôpital où elle travaillait. Heureusement il n'avait rien du tout sinon une petite bosse.

Un long silence très gênant s'ensuit.

-Bon eh bien, commence ma mère en souriant, gênée.

-Je suppose que je vais aller chercher quelque chose à boire, dis-je en tortillant mes doigts dans tous les sens.

-Nous n'allons pas rester longtemps, dit Annette.

Ma mère insiste encore un peu pour qu'ils restent boire et discuter. Aaron et Annette hésitèrent plus par peur de déranger qu'autre chose. Ils finirent par accepter.

-Tu devrais aller prendre ton petit-déjeuner, me dit ma mère.

Je hoche la tête puis me dirige dans la cuisine pour me préparer un bol de céréales.

*

C'est maintenant que je me rends compte que je suis en peignoir avec des motifs de licornes vomissant des arcs-en-ciel. Si j'avais su qui était là je n'aurais pas pris ce truc! Je rougis en réalisant que je ne suis pas du tout présentable. Mes cheveux sont gras et il y doit y avoir d'horribles cernes sous mes yeux qui sont enflés après avoir peu dormis. Je fixe une mouche qui s'est posée sur la table du salon en serrant mon bol de Nesquik dans mes mains. Je me retrouve assise à côté de ma mère, Aaron et Annette en face de nous.

-Alors, June, comment se passe les études? Me demande Annette.

-Très bien, je passe en Terminale, répondis-je en regardant une photo cadrée à côté de ma télévision.

J'y suis habillée galamment, toute souriante aux côtés de Finn, mon grand frère qui va maintenant aller à la fac. C'était lors du bal de fin d'année et c'est Emma, ma meilleure amie, qui a pris la photo.

-Oh! Félicitation! S'écrie Annette, franchement heureuse pour moi.

-Qu'en est-il de toi, Aaron? Demande ma mère.

-J'ai eu mon diplôme, et je vais maintenant faire des études supérieures pas loin de là où j'habite.

Aaron est plus âgé que moi d'une année. J'ai dix-sept ans et il en a donc dix-huit. Lorsqu'il était encore dans notre lycée, il ne venait presque jamais. Et les rares fois où il était là, c'était pour passer les contrôles et les examens, il les réussissait toujours. Étant le neveu de la proviseure, il échappait à tout questionnaire de la part de l'administration. Lorsque j'étais donc encore au lycée, il était très difficile pour moi de le revoir. Il a donc fallu que je travaille dans le même restaurant que lui pour pouvoir lui parler. Cela s'est très mal passé, tellement que le restaurant a dû fermer. Inconsciemment, je me suis détachée de la discussion et me suis perdue dans mes pensées, j'avais finis mon bol de Nesquik.

Annette et ma mère parlaient activement de l'université en général. Lorsque je regarde Aaron, il me fixe également. Je ne sais pas combien de temps il m'observe mais cela n'empêche pas à mon cœur de bondir. Il me sourit (j'ai failli faire une crise cardiaque) et me pointe du doigt la cuisine. Je fronce les sourcils en me disant qu'il a peut-être faim. Je me lève et me dirige donc dans la cuisine qui est à l'opposé du salon, Aaron sur mes pas. Lorsque nous arrivons, je lui dis:

-On n'a plus de biscuits et de trucs dans le genre, hier j'ai tout-

Avant même que je puisse terminer ma phrase, il ferme la porte de la cuisine, étouffant les voix qui émanaient du salon et me prend dans ses bras. Prise par surprise, mon cerveau part dans tout les sens et je ne sais pas quoi faire. Je commence à secouer les bras et à bouger mes jambes.

-June, peux-tu arrêter de gigoter et me donner un câlin normal? Me dit-il et je perçois dans sa voix un mélange d'agacement et d'amusement.

J'essaye de reprendre mes manières civilisées et je l'entoure de mes bras.

-Tu m'as tellement manqué June, me dit-il.

Je pose ma tête sur son torse en humant son odeur qui m'avait terriblement manqué. Je n'arrive pas à croire qu'il est ici. Tout chez lui m'avait véritablement manqué. Je me rappelle de quelques nuits où je pleurais parce qu'il était trop loin en maudissant au plus profond de moi cette terrible distance qui nous séparait.

 Maintenant qu'il était là, tout irait pour le mieux. Je ferme les yeux en laissant épanouir sur mon visage un sourire béat en profitant du moment présent, jusqu'à ce que ma mère débarque et ouvre la porte violemment telle une campagnarde. Ma mère est née dans une ferme, je vous le dis.

Nous nous séparons à la vitesse de la lumière, regrettant un peu de ne pas avoir plus d'intimité. Je rougis jusqu'à la moelle épinière mais Aaron recouvre une expression sérieuse comme un pro.

-June, s'exclame t-elle sans se rendre compte de l'électricité entre nous, Annette a un cadeau pour toi!

Je me tourne vers Aaron qui fronce les sourcils puis esquisse un sourire, visiblement au courant de ce que Annette me réserve. Rapidement un mélange d'excitation et de curiosité monte en moi, et je me dirige vers le salon au pas de course. Lorsque j'y suis, Annette se lève et croise ses mains devant elle en souriant. Elle et Aaron s'échangent un regard complice puis elle hoche la tête.

-June, tu es une personne bien et une amie de la famille et nous n'avons pas eu beaucoup de temps pour nous voir la dernière fois.

Je souris à l'entente de ses mots. Cela me fait plaisir d'être qualifiée "amie de la famille" car j'ai eu beaucoup de problème avec eux. Cara, la sœur, me détestait et la seule chose qui la retenait de me tuer était sa relation avec mon frère. Annette, la tante et notre proviseure, ne m'appréciait guère car j'étais une source d'ennuis à l'époque, et Aaron… c'était compliqué.

Annette continue en regardant cette fois moi et ma mère:

-Nous allons passer nos vacances à la plage, chez nos amis qui ont une maison là-bas. Je m'étais dit que c'était une bonne occasion d'inviter June et son frère, qu'en pensez vous?

J'écarquille les yeux en sentant mon cœur bondir. Oh non… Maman va refuser! Avant même que ma mère puisse dire quelque chose, je me tourne vers elle et prend ses mains, l'expression implorante.

-Maman, écoute, je sais que quand j'étais gosse j'étais chiante à en mourir et que tu voulais me tuer à chaque fois que je faisais un caprice. Et aussi, quand je te rapportais une mauvaise note tu me grondais mais intérieurement tu voulais m'arracher mes ongles un par un mais écoute. J'ai très bien passé mes examens de fin d'année, et tu sais quoi? Tu ne m'as rien offert pour ma réussite… (Je fais les yeux du chien battu pour décorer un peu mon récit, et j'ai l'impression que ma mère se sent un peu coupable) Alors ce serait l'occasion de me faire un cadeau en me laissant y aller… s'il te plait?

Je finis avec un majestueux sourire qui va jusqu'en Antarctique. C'est comme ça que ça se passe avec Anne Cass, sinon on a rien. Généralement, étant trop radine, elle ne m'offrait rien à la fin de l'année. Mais cette année, j'ai tellement bien travaillé qu'elle m'a promis qu'elle allait faire quelque chose.

Ma mère me fixe en fronçant les sourcils tandis que Annette écarquille les yeux, étonnée de tout ce cinéma. Aaron esquisse un sourire en coin, amusé de cette scène de ménage. Ma mère serre mes mains puis cette fois se tourne vers Annette.

-Où cela se situe?

-C'est à quatre heures de route d'ici, c'est loin de cette ville mais proche de celle où nous habitons.

-Et qui sont ces gens?

-Ce sont de vieux amis à nous qui habitent là-bas depuis un bon bout de temps.

"de vieux amis", "depuis un bon bout de temps"… j'imagine une grande et vielle maison en pleine campagne où un groupe de vieux jouent aux cartes autour d'une table, affichant un sourire édenté. Tout le monde se pisse dessus, n'ayant plus la force de se lever pour aller aux chiottes. Ma mère semble penser la même chose que moi puisque son expression se détend et elle a l'air rassurée. Elle pensait peut-être que c'était des jeunes qui se droguaient et fumaient des joints… C'est vrai que c'est plus rassurant, pensé-je ironiquement. Elle se tourne vers moi en évitant mon regard.

-Bon… Pour une fois je n'ai aucune raison de refuser… Je connais les Davis, ils sont très gentils, de plus il est vrai que je ne t'ai rien offert pour ta réussite… Je pense que… (Il était difficile pour elle de prononcer la dernière phrase) tu peux y… a-a-a…

Elle bute pendant cinq bonnes minutes et Annette et Aaron me jettent des regards l'air de dire "elle va bien?". Je prends le visage de maman à deux mains et lui dit d'une voix rassurante:

-Vas y, Maman, tu peux le faire… Écoute ton cœur.

Elle ferme les yeux puis dit plus fort qu'elle ne le voulait:

-Tu peux y aller.

Sans perdre de temps, je l'enlace jusqu'à l'étrangler puis je me tourne vers Annette que j'embrasse sur les deux joues. C'est très rare que ma mère accepte comme ça, je vous le dis, il faut fêter ça!

-Super alors, dit Annette satisfaite, nous pensions y aller dans trois jours.

-Très bien, répond ma mère.

Nous discutons un peu puis quelques minutes plus tard, les Davis partent et Aaron m'embrasse rapidement sur la joue avant de sortir.

-À dans trois jours, dit-il en souriant, les yeux pétillants d'excitation, quelque chose que je n'avais jamais vu chez lui.

Je fonds intérieurement en sentant mon cœur battre la chamade.

Une fois la porte d'entrée claquée, ma mère me serre dans ses bras jusqu'à m'étouffer en pleurant.

-Mes deux bébés! Mes deux bébés vont partir! Je vais rester seule!

Dans trois jours. Seulement trois. Après un mois de vacances d'ennui, on va enfin pouvoir s'amuser un peu.

___________________________________
VOILA DITES MOI CE QUE VOUS EN PENSEZ! J'AI FAIS UNE ELLIPSE DE 7 MOIS COMME ÇA ON RATE RIEN DE CE QUI S'EST PASSÉ ENTRE AARON ET JUNE! JE POSTE LE DEUXIÈME CHAPITRE MAINTENANT PARCE QU'ON VA RETROUVER MASON ET EMMA ET RYDER. JE VOUS AIMES.

Continue Reading

You'll Also Like

93.5K 18.5K 25
CALYPSO s'est faite larguée par son copain pour une fille qu'il a rencontré à la ville à l'océan. AUGUSTIN, emporté par un mauvais triangle amou...
74.6K 11.7K 124
Lupita Jones rêve d'une vie normale avec un job d'informaticienne qui lui permettrait de payer les factures et de s'adonner à son loisir de prédilect...
1.8K 144 12
Alors qu'Ambrosius ouvre la cité et que Mendoza est en danger de mort, Laguerra se doit d'intervenir, au péril de sa propre vie, pour sauver celui qu...
2.6K 206 44
Quatre ans après la chute de Galbatorix, Eragon est chargé d'une nouvelle tâche à accomplir : reconstruire la caste des dragonniers. Lorsque Saphira...