Addiction Tome 1 et 2

By NanaNiang2014

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Ibou et mberry More

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tome 2 chapitre 14

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By NanaNiang2014

Chapitre 14

Suzanne : mberry tu joues avec le feu et tu risques de te bruler.

Elle sourit. En réalité, elle avait inventé de faire des courses avec Suzanne et décida ainsi d’aller chez elle. Elle avait Donc le cœur plus léger. Elle venait de comprendre qu’elle ne répugnait pas son mari et avait de plus en plus confiance en elle. Elle avait donc decidé d’aller récupérer son amie pour qu’elles aillent se faire plaisir.

Mberry : je ne joue pas avec le feu, je lui montre juste ce que ça fait d’être frustré par le manque de sexe.

Suzanne : mais en attendant que tu lui montre ça, toi aussi tu seras toujours en manque.

Mberry : rire je le sais, j’ai tenu pendant un mois, je tiendrai encore pendant un autre mois.

Suzanne cria : HEY MBERRY FAYE TU EXAGERES UN MOIS ????? Tu n’es pas dans un ring de boxe deh, et ibou n’est pas ton adversaire. Faites la paix et utilise ce que je t’ai envoyé l’autre jour.

Elle sourit : trop top ma belle…

Suzanne éclata de rire. Elle aimait son ami, elle l’adorait. Oui son entrain sa joie de vivre surtout aujourd’hui. Et c’était le bon moment pour elles de se changer les idées.

Elles s’étaient rendues à la foire de Dakar pour acheter quelques petites choses de femmes avant de se diriger dans un salon de coiffure très réputé pour leur chevelure. En effet, elles étaient toutes les deux nappy, et comme mberry n’avait pas de long cheveu, cela n’avait pas paru difficile de la coiffer. Elle avait complétement changé de look et brillait à présent.

Suzanne quant à elle avait les cheveux très très longs. Elle avait juste fait des tresses, car elle ne voulait pas rester assise longtemps à cause de son ventre. Elle se tourna et vit mberry qui se mirait encore.

Suzanne : ibou sera ravi de te voir aussi belle aujourd’hui…

Mberry : toi aussi Bernard sera ravi…

Elle sourit : haha ha, il me traite de ballon de rugby ces temps-ci, donc je doute qu’il me trouve belle.

Elles éclatèrent de rire ensemble et après avoir fini, elles sortirent du local. Le telephone de mberry sonna en même temps. C’était ibou, elle le montra à son ami avant de décrocher : oui ?

Ibou : tu es ou ?

Mberry : je sors du salon comme ça. J’arrive.

Ibou : tu fais le déjeuner ou c’est la bonne ?

C’était la première fois qu’ibou s’occupait de la nourriture. Mberry sourit : je vais moi-même faire le déjeuner. T’en fais pas j’arrive.

Quand il raccrocha, Suzanne se tourna vers son amie : mberry il est 13h rentre faire ton déjeuner avant que monsieur le frustré ne s’énerve.

Mberry : rire allons y. il n’a qu’à s’énerver…

Suzanne : jour 1 frustration à son summum. Je ne sais pas comment il sera le jour 30. En tout cas, quand il te prendra, sois sur que tu vas en baver…

Elles éclatèrent une nouvelle fois et entrèrent ainsi dans le premier taxi qui passait ; Mberry arriva chez elle et n’y trouva que la bonne. Cette dernière lui avait dit qu’ibou était sorti. Elle ne voulut pas l’appeler et se changea puis avait commencé à préparer le repas. Elle savait qu’ibou n’aimait pas manger tôt et du coup, elle pouvait se permettre certains écarts.

Elle avait décidé de préparer une bonne soupe au gombo avec tous les condiments qu’il devait y avoir, sauf le fruit de mer. Oui il en était allergique et c’était la première chose qu’il lui avait dit au début de leurs mariage.

La domestique avait déjà préparé le riz blanc et mberry lui demanda d’aller préparer les chambres pendant qu’elle faisait la soupe. Elle préparait avec entrain mais surtout avec amour. Car même si elle voulait jouer à ce petit jeu avec ibou, elle se rendait compte qu’elle avait été soulagée après son discours de ce matin…

Les bruits de son fils riant aux éclats avec son père l’avaient tiré de ses réflexions. Ils entrèrent au même moment dans la cuisine avec beaucoup de bruit. Babacar avait déjà fait ses premiers pas, et quand elle vit sa mère, il voulut descendre sur le moment.

Ibou : je l'ai recuperé et on est allé chez ma mère. Ensuite je suis passé à la banque.

Mberry sourit puis se pencha pour prendre son fils dans ses bras : comment va mon petit bébé ; Tu étais sortis hein … papa ta volé a grand-mère … qu’il est mignon… qui t’a habillé aujourd’hui ??? Mame ??…

Elle lui fit un gros bisou sur la joue, le faisant rire aux éclats. Mberry se rendait compte à chaque fois que son fils avait de plus en plus une joie de vivre débordante. Elle l’aimait oui, il illuminait ses journées et rien qu’en le voyant sourire de la sorte, elle avait chaud au cœur…

Elle lui murmura : allez va avec papa que je termine…

Il refusa catégoriquement faisant rire ses parents. Mberry décida de le mettre sur son dos et de continuer. Pendant ce temps-là, ibou la regardait faire. Elle était consciente de son regard sur elle mais ne s’aventura même pas à tourner sa tête vers lui. Il rompt le silence : tu prépares quoi ?

Mberry : soupe kandja….

Ibou : hum. Je vais aller terminer un petit travail pour prendre mon temps. Après .

Elle lui sourit à son tour et donna des espoirs à son mari.

Le déjeuner se passa de la meilleure de la façon. Ils avaient pu manger dans la bonne humeur et la joie de vivre total ; La domestique maty qui était une jeune femme de 18 ans, était des plus drôles. Elle venait du village et avait de ses préjugés qui faisaient rire ibou et mberry.

Oui c’était une ambiance extraordinaire et tous les deux avaient tout oubliés, vivant un bonheur parfait.

Mberry avait fait le thé après le déjeuner. Ibou avait ainsi apprécié et il était presque 18h quand babacar dormait dans les bras de son père. Il chuchota : je vais aller le coucher…

Mberry : moi je vais aller faire une sieste…

Elle avait fixé ibou en le lui disant mais avant de se lever, il lui prit la main : ta coiffure te vas très bien…

Elle sourit : merci…

Elle se faufila doucement dans la chambre, incapable de retenir ses sens qui étaient en ébullition après ce regard expressif d’ibou.
Elle fit donc exprès de le faire languir. Et quand elle entra dans la chambre, elle décida de mettre un pagne en maline et juste un haut. Elle savait à quel point ibou ne résistait pas à ses pagnes et donc, elle s’installa de la meilleure des façons. Elle était certaine qu’il allait entrer dans la chambre et quelques secondes seulement, il y était déjà.

La chambre était bien éclairée et mberry était allongée sur le ventre. Elle ne le sentit plus bouger mais elle décida de ne pas se retourner. Quelques instants plus tard, il entra dans la salle de bain, fit ses ablution et se mit à prier. Mberry sourit puis sans même le vouloir, elle s’endormit…

Elle n’avait pas le sommeil profond et donc elle n’eut pas de difficulté à se réveiller quand elle sentit ibou se glisser délicatement à côté d’elle. Elle ouvrit complément les yeux et lui fit face. Il avait changé son djellaba et portait maintenant son pantalon en lin. C’était léger et soft. Elle avait toujours aussi sommeil mais elle ne put s’empêcher d’admirer sa bouche délicate sous sa barbe.

Ils se fixaient toujours et ne disaient rien mais ibou rompt le silence en lui murmurant : j’ai envie de toi.

Mberry fronça les sourcils et ferma les yeux. Mais ibou ne s’en était pas arrêté là. Il avait soudain pris la main de sa femme et l’avait posé sur son membre. Elle ne fit aucun geste, se contentent juste de sentir ce truc doux et dur en même temps qui allait exploser dans son boxer….

Elle enleva soudain sa main et regardait toujours son mari : j’ai mes règles…

Ibou fronça les sourcils, déçu mais amusé en même temps…

- Si tu me mens mberry je t’en voudrais tu sais ?

Elle se redressa pour lui faire face : tu es restée un mois sans me toucher, un mois sans accomplir ton devoir d’époux et monsieur à envie de moi actuellement et veut que je me soumette à lui.

Ibou : je ne dis pas ça ma belle… je. J’ai toujours eu envie de toi et au fond de toi tu le sais…

Mberry : je le sais, mais actuellement j’ai mes règles…

Ibou soupira puis lui lança un léger ok avant de la prendre dans ses bras. Elle s’endormit de nouveau et n’avait jamais été aussi à l’aise. Les bras de son homme l’avait manqué. Et elle reconnait que quand elle avait mis sa main sur son membre dur, elle n’avait pas pu s’empêcher d’être humide. Si seulement ibou avait vérifié au niveau de son intimité… pensait elle en ouvrant les yeux.

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Ibou se disait qu’il méritait bien ce que mberry faisait. Cela faisait presque 2 semaines qu’elle avait ses règles. Bien sûr, il ne la croyait pas le moins.du monde. Il connaissait sa femme assez pour savoir qu’elle faisait tout pour le punir. Rire. Il aimait bien ce petit jeu. Il adorait même, mais il commençait vraiment à être frustré. Oui tout se sentait dans ses gestes, il avait constamment des écarts d’énervement et pouvait s’enfermer dans son bureau pendant des heures sans parler à personne. Tout le monde avait remarqué son humeur massacrante et le plus bizarre c’est qu’i ne le montrait jamais à sa femme ; Au contraire, il était toujours en train de faire de son mieux pour qu’elle lui revienne…

Il fallait qu’il trouve une solution, se disait-il en finissant le travail. Il fallait qu’il fasse quelque chose. Il connaissait mberry, il savait qu’elle lui résistait difficilement, mais donc, comment faisait elle pour ne pas craquer comme il le fait ? se demandait-il.

Il sourit encore devant cette situation qu’ils vivaient. En réalité, ils étaient semblables à deux enfants qui se cherchaient, qui se punissaient et chacun voulait montrer sa supériorité. Mais s’en était finit, il fallait que tout cela cesse pensait-il. Il ne pouvait plus tenir…

Comme on était vendredi, il décida d’acheter des glaces afin de passer la soirée dans la bonne humeur. Mais au fond de lui, il savait que la bonne humeur ne manquait pas dans sa maison, mais plus tôt le sexe.

Il arriva chez lui aux alentours de 21h et vit que toutes les lampes étaient éteintes. Il entra doucement dans le salon et alluma la lumière. Il n’y avait personne. Et pourtant il ne se faisait pas encore tard. Il monta doucement dans sa chambre et vit mberry entrain de dormir. Mais ce qu’il remarqua automatiquement c’était la vue qu’il y avait en face de lui. Mberry en petite robe de nuit. Elle n’avait rien mis dessous et il remarqua qu’elle n’avait pas ses règles. L’avait elle fait exprès ? Oui, se disait ibou. La robe ne cachait pas grand-chose et elle était couchée sur le ventre, lui donnant le spectacle de son derrière rebondit.

Il sentit déjà son membre dur dans son pantalon. Il déposa son sac et se dirigea vers elle : mberry ??

Elle bougea légèrement. Sa coiffure ne se décoiffait jamais. Elle était toujours impeccable et toujours sans maquillage. Elle était belle, même maintenant qu’elle se réveillait petit à petit.

Ibou ramassa tout le courage du monde avant de s’assoir à côté d’elle : qu’est ce qu’il y a ? Pourquoi tu dors à cette heure ?

Elle soupira puis se leva doucement. Ses seins pointaient sur sa robe de nuit et il avait juste envie de les presser et de les mesurer sur sa poigne… il se ravisa de le faire…

Mberry : je…. J’ai mal à la tête depuis ce matin… je te fais à manger ?

Ibou : non couche toi, je vais le faire moi-même. T’a pris un cachet ?

Elle hocha la tête en signe de non et ibou lui apporta un cachet et déposa le verre d’eau sur la table.
« Tu veux que je te le donne ? »

Elle sourit : non, je peux le faire, laisse-moi te faire à manger…

Ibou : rire ma biche, non… moi qui pensait que tu m’attendais comme ça sur cette tenue…

Elle sourit faussement timide avant de s’allonger de nouveau et de lui lancer un regard des plus conquis : ton diner est dans le four. Vas manger et rejoins moi…

N’en croyant pas ses oreilles, ibou se débarbouilla vite fait et entra dans la cuisine pour manger. Bien sûr, tous les week end, le petit le passait chez sa grand-mère, et du coup, il se disait qu’ils avaient tous le week end à eux seuls. Il finit son plat en quelques minutes seulement et retourna dans la chambre qui était maintenant plongé dans le noir. Il se brossa les dents et s’allongea à côté de sa femme qui ne fit aucune réaction…

Ibou : mberry ???

Mberry : …

Elle ne répondait pas. Elle semblait endormie, pensait-il. Il soupira de frustration, mais aussi de dépit puis se leva et fit ses ablutions pour prier. Il était tellement frustré que ça se voyait dans ses geste… mberry souriait au fond de son lit contente de son exploit…. C’était un jeu qui l’amusait mais qui commençait à énerver son homme. Ah les hommes !!!! Quand il s’agit de la libido des femmes ce n’était pas grave, mais quand il s’agit d’eux, et bien, la terre entière en ressent les foudres, pensait mberry…

Elle le sentit arriver de nouveau dans le lit et ferma les yeux. Quand ibou éteignit la lampe de chevet, elle fit exprès de se glisser tout simplement contre lui et de se blottir dans ses bras. Elle avait tellement envie de rire, qu’elle se retenait difficilement ;

Le lendemain matin, ibou se leva le premier ; il était presque 7h quand mberry se leva à son tour pour faire le petit déjeuner. En réalité, ibou avait l’habitude de le prendre aux aurores, mais quand elle se débarbouilla et le trouva dans la cuisine, il était déjà bien habillé et prêt à aller quelque part…

Mberry : bonjour mon cœur…

Elle avait toujours cette petite robe qu’elle ne voulait pas quitter de sitôt et déposa un léger baiser sur la joue de son mari. Celui-ci se retourna brusquement et la vit avant de déglutiner. Il avait avalé sa salive et regarda autour de lui : quelqu’un peut arriver mberry t si la bonne te trouve dans cette tenue déplacée ???

Elle sourit : on est seul dans la maison. Elle ne vient pas aujourd’hui. Elle a un empêchement.

Il soupira puis décida de se concentrer sur son journal.

Mberry : tu vas quelque part ?

Ibou : non !!

Mberry sourit puis s’assit en face de lui : qu’est-ce que tu as mon cœur ? Tu as l’air énervé. Un problème au travail ???

Il soupira puis déposa le journal sur la table et la fixa : mberry tu ne penses pas que ton petit jeu est maintenant suffisant ?

Elle fit l’innocente : mais de quel jeu Tu parles ???

Il se tut puis la fixa de nouveau : va te préparer on passe le week end hors de la ville.

Mberry : comment ça ???? Ou ???

Ibou : va te préparer, j’ai envie de toi et je compte te faire l’amour aujourd’hui. Seulement je ne le ferai pas ici car je sais que tu alerteras tout le quartier. Va te préparer je t’amène quelques part.

Et il se leva sans meme lui laisser le temps de riposter. Mais mberry resta sur place. Ibou au pas de la porte lui cria : JE VAIS ACHETER DU PAIN A MON RETOUR SOIT PRETE SI TU NE L ES PAS JE TE FORCERAI A PARTIR SANS VETEMENTS ET DANS CETTE TENUE MEME.

Mberry fronça les sourcils, mais se leva automatiquement et alla prendre sa douche. Elle avait déjà des frissons car le ton avec lequel ibou lui avait parlé témoignait de son manque et de son envie. Elle sourit en rageant ses affaires et voulut crier de joie… elle s’arrêta nette et se murmura à elle-même : ay mberry Faye kagn nga tiaga (mberry Faye depuis quand tu es si dévergondée ???)

A suivre.

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