Une fois le repas cuit, nous mangeons dans le canapé en regardant un match de baseball. Je n'aime pas ça d'habitude mais le match ne fut pas la conversation de la soirée. Nous parlons du future et au choses que pourrait m'offrir une vie de vampire. Au fur et à mesure je crois comprendre que mon père si fera vite à me voir en tant que vampire. Maintenant que tout le monde approuve, qu'attendons-nous? Le lendemain matin, je me réveille sous un ciel ensoleillé. Je prends ma douche de bonne humeur et descends déjeuner après ça. Le fait de voir mon père toujours à la maison le matin du à son arrêt de travail me fait plaisir mais j'aurai aimé qu'il ait eu cet arrêt de travail dans d'autres circonstances.
- Salut Bella!
Me dit-il dans une position assise dans le canapé.
- Salut papa! Dit, j'ai pensé qu'on pourrait aller chez les Cullen aujourd'hui pour que Carlisle vérifie que tout va bien pour ta blessure.
- Pour vérifier que j'aille bien ou juste pour que tu puisses le voir?
Me demande t'il en riant.
- Ah ah, ce n'est vraiment pas drôle c'est de l'humour facile.
Lui dis-je en riant à mon tour.
- Je veux bien y aller les voir mais quelle sera la réactions de ses enfants? Je veux dire ils doivent sûrement savoir que je suis mis au courant.
- Et bien, ils le savent. Mais je les connais ils n'agiront pas mal.
- Ils peuvent se sentir menacer, je suis policier tout de même je ne dois pas leur inspirer confiance.
- Papa, Edward peut lire dans les pensées et Jasper peut ressentir les émotions des gens qui l'entourent. Ils ont fait savoir quand on a voté pour te dire la vérité que tu es quelqu'un de bien et qu'ils te font confiance. Quant à Alice elle peut voir le future et même si ses visions ne sont pas toujours fiable, elle n'a rien vu de méchant venant de toi. Ils te font confiance.
- Très bien alors. Et vu que je ne peux pas conduire tu conduira comme ça je pourrai vérifier ta façon de conduire.
- Et me retirer des points sur mon permis?
- Pourquoi ferais-je ça à ma fille?
- Hey la loi c'est la loi pas de favoritisme!
Dis-je en riant et en me réjouissant que pour une fois c'est moi qui conduit à sa place. J'enfile un gilet car il y a du soleil mais ça reste Forks, les températures restent assez basses, mon père fait de même et je l'aide à marcher jusqu'à ma voiture et une fois qu'il est installé je fais demi tour pour fermer la porte à clé et revient en voiture et je démarre.
- Dit moi papa, à quoi penses-tu que leur maison ressemble? donne moi ton avis.
Dis-je tout en conduisant.
- Bella, j'y suis déjà aller souviens toi. tu ne me piègeras pas.
Me dit-il en riant alors je ris à mon tour.
- Ah c'est pas juste je pensais que tu aurais dis qu'il y ait des tombes tous ça.
Avouais-je tout en riant.
- Tu ne m'as pas eu, concentre toi sur la route maintenant je tiens à ma vie.
Me dit-il en riant.
- Oh si il t'arrive quelque chose je leur demanderai de te transformer en vampire tu sais.
- Ah non, non, non, ça ira merci! je ne veux pas être un vampire.
- Pourquoi pas?
- Est-ce une question sérieuse?
- Tu n'aimerais pas être un vampire?
- Non merci, je préfère rester humain, nous ne sommes que de passage sur Terre et je pense qu'avoir le choix de se faire transformer serait tricher. Eux ils n'ont pas eu le choix, toi non plus d'ailleurs tu n'aura pas le choix mais moi, non.
Il dit toujours en riant et je me mets à rire en même temps en pensant à quoi ressemblerait mon père en tant que vampire. Ce qui me fait réfléchir, je n'ai jamais pensé à quoi je ressemblerai dans quelques semaines. j'imagine que tout les défauts de mon visage s'en irait et que mes cheveux vont être en bonne santé. J'aimerai surtout avoir la grâce de Rosalie et d'Alice. Elles sont si magnifiques!
- A quoi penses-tu?
Me demande mon père en me regardant avec un air intrigué.
- Eh bien, je m'imaginai à quoi je vais ressembler dans quelques jours voir semaines quand je serai un vampire.
- Je suis certain que tu seras magnifique sans aucuns doutes. Tu seras toujours magnifique et tu excelleras dans tout les domaines, c'est une certitude.
Je souris ne trouvant pas les mots convenables pour lui répondre, un simple merci n'est pas assez. J'aime notre complicité et j'espère que jamais ça ne s'arrêtera.