𝐓𝐡𝐞𝐨𝐫𝐲 𝐨𝐟 𝐁𝐫𝐨𝐤𝐞�...

By mikaslay_

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Ciel Phantomhive, jeune noble d'une extrême beauté, héritier de la plus grande famille d'Angleterre, est le g... More

𝐏𝐫𝐞𝐟𝐚𝐜𝐞
1 - My first time in Oxford
2 - Le réféctoire
3 - The rich section
4 - First day
5 - Un nouveau professeur
6 - La fille aux yeux d'émeraude
7 - Ciel Phantomhive
8 - A scary paper
9 - A rendez-vous
10 - No more lies
11 - Tea Time
12 - December first
13 - Cute face's birthday
14 - Christmas
15 - Coup de bottine
16 - Le cabinet de pénitence
17 - Campania
19 - Red envelope
20 - Mental slap
21 - Tu vas te casser d'ici
22 - un changement de section ?
23 - Noble meals
24 - La demande de Jessica
25 - New class
26 - The Boat Race
27 - New student and doplegändgeur
28 - A bet
29 - Drowning and irreparable fracture
30 - Gabrielle Evans
31 - Fencing course
32 - Nightmares
33 - School Vacation
34 - My Dear Little Master
35 - commemoration
36 - In love with a boy
37 - Back to school
38 - Stolen locket
39 - Slut
40 - Stupid best friend, Despicable cousin
41 - Michaelis reigns over Weston
42 - Cooking Time with Soma
43 - The four houses
44 - The Queen's Guard Dog
45 - Meeting under the stars
46 - Phébus & Cupido
47 - Unbearable niece
48 - Transatlantic
49 - Les psychoses d'Astre
50 - Moment d'effroi sur le Lusitania
51 - Le baron de Weizsäcker
52 - Le traqueur traqué

18 - Naufrage

545 52 84
By mikaslay_

Nda : D'abord je voulais vous remercier pour tout les commentaires que vous me laisser. Ça ne me laisse pas indifférente et ça m'encourage beaucoup à poursuivre ^^
Je voudrais vous prévenir que le chapitre là et surtout le chapitre suivants sont extrêmement compliqués à écrire pour moi car l'histoire arrive à l'apogée de l'intrigue principale, et à présent tout ça va aller très vite. Alors il faut que je prenne le temps de faire bien les choses et de biens manier mes personnages et leur réaction pour que se soit le plus réaliste possible. Pour ne pas que ça fasse trop immature et pour essayer de retranscire les émotions que les personnages auraient pu avoir dans la vraie vie si ils leur arrivait la même chose.
Vous comprendrez sans doute mieux de quoi je veux parler dans le chapitre prochain. Je mettrais sans doute plus longtemps à le sortir parce que ce sera "LE" chapitre qui fera passer mon personnage principal "de l'autre côté" dans tout les cas, je me connais et je sais que quoi qu'il arrive je ne serai pas satisfaite de ce prochain
chapitre 😂
enfin bref j'espère que vous comprenez ce que je veux dire :)
En tout cas sachez que j'adore écrire cette histoire et jamais je n'ai été aussi pressée de sortir la suite ^^

Bonne lecture :)

Pdv Externe
Vendredi 21 Avril.
8h 15

Quand Astre se leva ce matin, il était déjà tard. Il entendait de l'eau couler dans la salle de bain signe que son ami était entrain de prendre sa douche. Il s'était réveillé si tard ! Il n'avait même pas encore prit son petit déjeuner.

Il ne perdit pas de temps et descendit dans la grande salle après s'être préparé. Mais en passant dans la salle commune, quelque chose attira son attention. Un bruit... C'était des renifflements et des hoquets. Quelqu'un était littéralement entrain de pleurer.
Il balaya la salle du regard mais il ne vit personne. Il s'avança à l'endroit des pleurs en question.
Quand soudain il découvrit une fille la tête replier sur ses genoux entrain de pleurer à chaude larme. Mais elle n'était pas seule, il y avait une autre fille à côté qui semblait essayer de la consoler.

- Heu... Est-ce que ça va ? Demanda timidement Astre.

Il ne savait pas pourquoi il leur demandait ça mais il n'allait quand même pas partir comme un voleur maintenant qu'il s'était montré.

- Rien tu veux quoi toi ? L'agressa la fille. Dégage ! Tu vois pas qu'elle va mal ?? Tu ne peux pas savoir ce que c'est que de voir un être qu'on aime se briser !

Il ne comprit pas bien les paroles de la fille mais il partit, n'ayant nul l'intention de se créer de nouveaux problèmes.
Il sortit de la sale commune de sa section et se dirigea vers l'escalier menant au réfectoire.

Mais quand il arriva dans la grande salle. Il s'appercut qu'elle était à moitié remplit ! Certains élèves étaient là et il y avait quelques filles qui pleuraient. Mais pourquoi ?

Il ne savait pas trop ce qu'il se passait. Les gens étaient silencieux. Pas un silence normal non... Ce genre de silence comme quand il est arrivé quelque chose de grave. L'atmosphère était lourde et surtout, tout le monde semblait faire la gueule comme si quelques chose de vraiment terrible s'était produit. Et être dans l'ignorance dans ce genre de moment, c'était vraiment déstabilisant.

Quand il retourna dans son dortoir
Tim non plus ne lui adressa pas la parole. Il avait simplement jugé qu'il devait être fatigué et il avait décidé de ne pas lui poser de questions. C'est donc dans un silence de plomb qu'ils allèrent en cours.

10 heures
Aile droite du château
Salle de Rhétorique.

Monsieur Michaelis arriva d'un pas sec dans la salle de classe, ses talons de bottes claquant fermemant contre le pavé. Il passa au milieu des deux rangées d'élèves.

- Ouvrez vos livre à la page 394. Dit-il d'un ton sec.

Les élèves s'exécuterent sans trop protester. Il enleva son manteau qu'il posa sur la chaise de son bureau.
Tout était plus froid que d'habitude. C'était horrible comme sensation. Et en plus monsieur Michaelis semblait de mauvaise humeur.

Il commença à écrire la leçon du jour au tableau. Le bruit strident de la crais qui glissait difficilement sur le grand tableau en ardoise. C'était la seule chose qu'on entendait dans la salle.

Soudain, au grand étonnement de tout le monde, un garçon se leva violement en renversant sa chaise et se mit à crier sur le professeur cassant le terrible silence qui s'était installé.

- COMMENT POUVEZ-VOUS GARDER LE SILENCE APRÈS CE QU'IL S'EST PASSÉ ?? VOUS NE COMPTEZ RIEN NOUS DIRE ??? TOUT LES PROFESSEURS DOIVENT METTRE LES ÉLÈVES AU COURANT !!

Le professeur soupira agacé et posa sa craie sur son bureau.

- Monsieur Blurett, vous ne devriez pas hausser le ton de la sorte avec moi. Je suis votre professeur. Maintenant si vous avez quelque chose à partager n'ayant nul rapport avec mon cours. Allez en faire part au directeur qui sera ravie de vous écouter, je pense.

L'élève baissa la tête et changea d'un coup d'humeur. Il dit d'une voix timide :

- Mais... monsieur le directeur adjoint a dit qu'il fallait en parler... Et les autres professeurs ont-

- Je ne suis pas les autres professeurs. Le coupa-t-il. Et voyez vous, je n'ai guère l'intention de prendre du temps sur mon cours pour évoquer un sujet qui n'en a rien à voir. L'être humain est constamment préauccupé par les drames, les morts et autres futilités. Mais chaque jour il y en des centaines dans le monde. Ce qui devait arrivé est arrivé. Nous ne pouvons rien contre ce genre de chose.

Un silence glacial regna après cette parole.

- Maintenant ouvrez vos livres à la page 394. Dit-il d'un ton autoritaire. On commence le cours.

L'élève se rassit. Et le silence se fit.

Quand la sonnerie de midi retentit, Astre se dépêcha de sortir de son cours. Il avait rendez-vous avec Sieglinde à la bibliothèque à 12 h 15.

Il arriva dans le couloir menant à la bibliothèque. Les gens le regardaient et chuchotaient sur son passage. Il ne leur prêta pas attention, il avait l'habitude. Selon les dernières nouvelles, Phantomhive avait recommencé à l'insulter en douce, mais derrière son dos cette fois. C'était pas étonnant. Mais il n'en avait rien à faire.

Il entra dans la bibliothèque et son amie arriva quelque minutes après.

- Astre !! Tu as lu le canard ? Lui demanda-t-elle d'entrée.

Elle balança sur la table un exemplaire de The Guardian, le numéro d'aujourd'hui.

- Le Campania... Il a coulé.

Astre eu un pincement au coeur. Il s'attendait à tout sauf à ça.

- Comment ça ?

- Il a percuté un Iceberg dans l'Atlantique au large du golf de Terre-Neuve.

- C'est donc ça qui met les gens dans cet état ce matin ?

- Oui apparement. Je ne vois pas d'autres explications.

- Bah c'est... heu... dommage.

Il ne savait pas quoi répondre à ça. Il n'y croyait pas vraiment.

- Il n'y a eu aucun survivants... Les recherches en mer continuent mais il n'y a déjà plus d'espoir. Dit-elle tristement. Apparemment, l'iceberg n'est pas la seule raison du naufrage. Selon le journal ils ont trouvé un type bizarre à bord, qui n'était pas sur la liste des passagers. Il aurait transporté des cerceuils avec lui..

Astre fit une grimace.

- C'est hyper dark ! Dit-il.

- Oui assez. On en sait pas plus pour le moment.

- J'espère qu'on en saura vite plus alors...

- Moi aussi. Il semblerait logique qu'il y ai quelques élèves du collège qui aient perdu un membre de leur famille. Dit-elle dans une moue.

- Ah oui ? Ça ne m'étonnerai pas... Il y avait quand même 2471 passagers à bord.

- Il n'y a eu aucun survivants, faute de matériel de sécurité. La reine Victoria et la police de Londres blâment le service d'équipage. C'est soit disant à cause de leur incompétence qu'il y a eu un cet accident. Le radar de la cabine de manoeuvre était défectueux et ils n'ont pu voir l'iceberg qu'au dernier moment.

Elle sembla réaliser et plaqua ses mains sur ses joues dans un bruit sonore :

- C'est horrible !

Astre se sentait légèrement mal. Ce n'est pas beau à entendre ce genre de nouvelle. Et bien qu'il n'avait perdu personne sur ce bateau, il comprenait le sentiment et la tristesse des gens.
Surtout qu'une semaine avant, tout le monde avait parlé de ce bateau en le glorifiant comme la 8 ème merveille du monde. Et maintenant, il ne restait déjà plus rien. Tout avait disparu.

Non sérieusement, c'était triste à entendre.

Certaine personne devait garder espoir mais il ne fallait pas se voiler la face. Une dizaine d'heures passées au fond de l'océan glaciale, tout le monde était forcément mort. Même si certains passagers avaient peut être pu restés accrochés aux débrits du bateau, ils étaient sans doute morts de froid à cause de la température glaciale de l'océan Atlantique au mois d'avril.

C'était l'une des qualités qu'avait acquit Astre au cour de son enfance dans la rue. Il était réaliste. Il savait voir la mocheté de ce monde. Il savait qu'il ne fallait pas en espérer long de ce genre de chose. Ne pas idéaliser.
Mais lui n'avait pas cette crainte de perdre quelque chose de cher à ses yeux. Parce que voilà, quand l'on ne possède rien, on ne peut rien perdre. C'est bête et cruel mais c'est vrai.

- Est-ce que tu veux qu'on descende en bas ? Demanda-t-il. J'aimerais bien sortir dans le parc pour prendre un peu l'air.

- Astre... Tu sais bien que c'est mal qu'on nous voit ensemble.

- Oui mais... c'est pas interdit par le règlement n'est-ce pas ? Tu as honte de moi ou quoi ?

- Non idiot ! Rigola-t-elle.

Finalement ils sortirent dans le parc de l'université.

Ils parlèrent de beaucoup de chose, enfin surtout du naufrage. Ils s'amusèrent à élaborer toutes les théories qui aurait pu expliquer les raisons de cet accident. Ce n'était pas drôle certe, mais ils n'avaient vraiment pas le coeur à en pleurer. En réalité, Sullivan était troublée par ce qu'il c'était passé. 2471 personnes mortes, c'était un lourd bilan. Le drame était nouveau de ce matin et pourtant tout le monde semblait déjà être au courant de toutes les précisions.
Les deux amis parlèrent également des cours de la matinée, des professeurs. Sieglinde lui dit que leur professeur d'anglais juridique avait pleuré devant tout le monde en leur disant la nouvelle. Astre lui raconta par la suite la scène qui s'était déroulée pendant le cours de rhétorique et le comportement étrange de Monsieur Michaelis.

- Il ne vous a rien dit ? Questionna la jeune fille étonnée.

- Non. Il a dit qu'il n'avait pas le temps pour ce genre de futilités et qu'il ne voulait pas prendre de retard dans son cours.

- Ça m'étonne de lui ! Je ne pensais pas qu'il était du genre à négliger ce genre de chose ! Dit-elle.

- Tu sais, la façon dont il a parlé de la bêtise des gens... C'était bizarre... J'ai l'impression qu'il juge sans arrêt les actions que font les gens. Et il n'arrête pas de dire : "les humains sont bêtes, ils sont égoïstes..." comme s'il ne se comptait pas dedans.

- Je ne sais pas... Je n'arriverai jamais à cerner ce professeur.

Elle leva la tête et regarda autour d'elle puis fronça les sourcils.

- Pourquoi toutes les filles pleurent depuis ce matin ? Dit-elle tristement. Elles sont donc si nombreuses à avoir perdu un membre de leur famille ?

Effectivement, beaucoup de filles semblaient être bouleversée par la situation. Aucuns des deux amis n'auraient su expliquer ce fait bizarre mais c'était vraiment triste.

D'ailleurs, à une dizaine de mètres de l'endroit où les deux amis étaient, une véritable scène était entrain de se dérouler. Plusieurs jeunes filles se disputaient violement. Il y avait une grande rousse qui criait sur une brune, plus petite. Tandis qu'une blonde était par terre entrain de pleurer. Cette dernière paraissait vraiment mal.

- ARRÊTEZ !! Cria-t-elle en se relevant.

Elle remit ses mèches blondes derrière ses oreilles et l'on pu voir son visage gonflé par les larmes. Même si elle pleurait, elle était plutôt jolie il faut l'avouer.

- C'est bon arrête de pleurer s'il te plaît. Lui demanda gentillement son amie.

- Je-je peux pas.. C'est au dessus de mes forces tu comprends ? Il va mal alors je vais mal... Il n'est même pas sortit de sa chambre !!

Elle explosa en sanglots encore une fois et ses amies la regardèrent déstabilisées.

- Il me manque... pleura - t-elle.

- Laisse-lui un peu de temps ! Je pense qu'il a besoin d'être seul avec lui - même. Ce n'est pas évident de perdre sa famille, tu sais ?

Mais la blonde continua de pleurer :

- Son odeur me manque 😭😭

- Quelle odeur ? Demanda la grande rousse.

- Son odeur de gel douche pour bébé 😭😭 elle me manque 😭

- Hein ? 😂 il sent le gel douche pour bébé ? Rigola une autre fille.

Mais la petite brune lui lança un regard noir.

- Oui 😭😭😭 cette odeur lui va bien 😭❤ répondit la blonde.

- Écoute Sharon, il faut que tu te calmes ! Tu es dans un état pas possible... Tu es sûre que tu veux aller au cours de danse cet après midi ? Il vaudrait peut-être mieux que tu te reposes...

La blonde reniffla et s'essuya les yeux.

- Ou-Oui... Tu as raison.. Je pense que je vais rentrer au dortoir me reposer.

Astre écoutait attentivement toute la scène mais Sieglinde à côté de lui, regardait ces filles avec de la consternation.

- C'est ridicule. Soupira-t-elle.

Astre la regarda bizarrement.

- Mais la pauvre... Elle a l'air vraiment chamboulée ! Pourquoi tu dis ça ?

- Je connais ce genre de filles Astre. Il y en a des tas dans ma classe. Et je peux t'assurer qu'elle fait ça uniquement pour attirer l'attention sur elle.

Il s'apprêta à répliquer mais la sonnerie retentit. Sieglinde se leva.

- Bon je vais en cours. On se voit ce soir. Dit-elle.

Elle partit très vite. Astre avait la désagréable impression qu'elle était vexée. De quoi, il n'en savait absolument rien.

Il n'avait pas cours de l'après midi donc il décida de retourner dans son dortoir. Il espérait que son meilleur ami serait là. Il avait envie de le voir et de lui parler. Il en avait marre de voir les gens déprimer autour de lui. Ce début de journée avait suffisamment été chargé en émotions.

Il arriva dans son dortoir et vit son meilleur ami sur son lit, en train de

- Tim !

Le roux releva la tête.

- Hey Astre tu a fini les cours ? Demanda-t-il.

- Oui... heureusement !

Il s'appercut que Tim avait les yeux rouges.

- Qu'est-ce qu'il y a ? Tu as pleuré ?

Tim eu un faible sourire.

- Comme tout le monde je crois. Répondit-il.

Astre fronça les sourcils.

- Mais... ce n'est pas parce qu'il y a un naufrage qu'il faut se mettre dans ces états ! Tu n'as pas d'autres problèmes rassures moi ?

- Non non c'est pas ça...

- Quest-ce qu'il se passe ?

Il y eu un silence. Un silence beaucoup trop long.
Pourquoi Tim ne parlait pas ?

- Tim ! Dis quelque chose ! Qu'est-ce qui t'arrive ?

-...

- Pourquoi tu fais la gueule comme si quelqu'un était mort ?

- Quelqu'un est mort...

- Hein ?

- Ciel Phantomhive vient de perdre la seule famille qui lui restait...

- Heu...

Tim lui lança un regard consterné.

- Abrutis ! Le navire qui transportait sa cousine son oncles et sa tante a eu un naufrage, hier ! Dans l'océan Atlantique !

Astre ne savait pas quoi dire, c'est embarrassant comme situation.

- C'est triste pour lui...

Tim lui lança un regard noir.

- Tu n'as que ça à dire ???

- Quoi ?

- Tu n'es qu'un sang coeur Astre Parker !! Tu ne réalises pas ce que c'est que de perdre la seule famille qui nous reste ! Tu n'a peut-être pas été gâté par la vie, certes, mais toi au moins tu as des parents qui t'aiment ! Une famille qui est là pour toi !

Il sentit son coeur se serrer à ces mots. Outch... Ça ça fait mal.

- P-pardon...?

- Tu n'as pas de compassion pour ce qu'il arrive aux autres !! Tu as peut-être une famille qui t'aime et que tu aimes également mais dit toi que ce n'est pas le cas de tout le monde !! Il y a des gens qui n'ont pas cette chance !!

Il ne comprenait rien... Pourquoi Tim lui disait ça ?

- ...

- Alors Laisse un peu ton harcèlement de côté 5 minutes et tâche de faire semblant d'être triste ! Au moins pour les autres !

Réalisait-il ce qu'il était entrain de dire ?

Son regard se remplit de larmes mais Tim, trop en colère, ne semble pas le remarquer.

Le bleuté baissa la tête.

- Ciel n'est pas le seul à avoir perdu sa famille. Des tas d'élèves sont dans le même cas que lui. Alors arrête de le prendre en exemple. Il n'est pas plus important qu'un autre.

Tim releva la tête, abasourdit par les paroles de son ami :

- Mais qu'est-ce que tu racontes ? Tu n'as rien comprit !! Cria-t-il.

- Quoi ?

- Il y avait 95 % d'étrangers sur le Campania ! Des passagers venant des quatres coin du monde ! Seulement trois grande famille anglaise dont la famille Midford. Autrement dit, Ciel est le seul élève du collège à avoir perdu quelqu'un ! Si les gens pleurent, si les filles sont en larmes, c'est pour lui ! N'as tu pas remarqué tout l'engouement qu'il y a autour de sa personne ? Ne crois-tu pas que la situation serait hautement plus grave si de nombreux élèves avaient perdu leur famille ? Enfin Astre réfléchit un peu !!

Comment réfléchir dans un moment où notre meilleur ami nous dit que l'on est qu'un sang coeur qui ne se rend pas compte de la chance qu'il a d'avoir une magnifique famille.
Non. Il ne pouvait s'en prendre qu'à lui même. Il avait mentit, à lui d'en assumer les conséquences.

À suivre...

Fin du chapitre ! J'ai enfin fini de l'écrire ! Bon, il est minuit, j'ai cours demain... Comment vous dire que je ne vais pas assumer xD
Je ne posterai pas avant Jeudi soir prochain, j'en suis vraiment désolé mais j'ai mes oraux de langue pour le bac mercredi et jeudi et j'aimerais vraiment me concentrer, j'espère que vous comprenez ^^
Bisous bisous ♡

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