Buenos Dias les copains/copines !
J'espère que vous allez bien, en tout cas moi ça va nickel ^^
Sans perdre un instant, voici le nouveau chapitre de mon histoire !
Régalez-vous ;)
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Cette fameuse discussion père/fils n'a jamais eu lieu. En effet, soit ils s'évitaient, soit ils se disputaient et ça finissait toujours en intervention de la rousse.
Mais, une discussion « civilisée » entre les deux a pourtant eu lieu ces derniers jours. Enfin, c'était pas vraiment une discussion mais c'est déjà pas trop mal à vrai dire...
Des « Oui », des « Hum » ou encore « Okay ». Bon c'est pas trop ça c'est vrai mais c'est les mots qui sont le plus ressortis... De la bouche de Michael... Oui, William avait pourtant fait un effort ce jour-là et il n'avait clairement pas supporté que son fils aîné lui réponde ces simples mots.
Michael lui reprochait souvent de préférer « un sans famille à la place de son propre enfant. ». Inutile de vous dire que ça a énerver William... Mais rassurez-vous, il n'a pas frappé son fils.
Il a fait un effort surhumain pour ne pas le frapper. Si il aurait fait ce même effort le jour du meurtre de Charlie, rien ne se serait passé...
Le clash entre père et fils s'était fini par une intervention de Martha qui a réprimandée son fils. Doutez-vous de l'énorme frustration que le jeune homme a eu envers l'attitude de sa mère !
Pour ce faire « pardonner », cette dernière lui a acheté un masque de Foxy car ses amis (Joshua, Calem et Lucas) ont eu des masques de Freddy, Bonnie et Chica.
Joshua avait même poussé Michael d'en avoir un lui aussi pour qu'ensembles ils puissent faire « Les 4 Originaux ». Mike en avait parler à sa mère la veuille de la dispute et maintenant, le jeune garçon a son masque de Foxy.
Ce que Martha (ainsi que William) ignore c'est que son aîné a « l'excellente » idée d'effrayer le petit Freddy avec. Ce dernier n'en a d'ailleurs jamais dit mot à ses parents adoptifs car Michael l'avait menacé :
« Si tu cafte, tu va rendre une petite visite à Fredbear » ou bien « Si tu balance, mes potes vont s'occuper de toi ».
Déroutant, n'est-ce pas ?
Les paroles de Michael ne sont que la jalousie, pure et dure.
En même temps, le comportement égoïste et je-m'en-foutisme de William n'arrange rien du tout. Et la peur du petit Freddy non plus...
William a cauchemardé deux nuits d'affiler à propos de la Marionnette. Il ignorait ce que cela voulait dire jusqu'à ce qu'il se rappelle que la Marionnette a été retrouvé près du corps de Charlie. Il s'était ensuite posé une question : la possession existe-t-elle ?
Il est vrai que peut de temps avant la « mort » de Henry, il avait cette impression que la Marionnette l'observait.
« Je dois forcément débloquer... C'est... C'est rien du tout ! ».
Tu peux toujours rêver William. Tu n'as pas finis de souffrir mon vieux...
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Michael Afton traînait énormément avec ses amis. D'après William, ces derniers ont une mauvaise influence sur son fils et c'est pour ça qu'il reste méfiant à leur égard.
Il se rappelle qu'il a entendu une conversation entre Michael et Lucas, celui dont le premier est le plus proche. Un mois avant ce jour...
Flashback
- Tu crois vraiment qu'il est vivant ? Demanda Lucas.
- Oui il l'est. Répondit Michael.
- Michael, tu sais qu'il y a des chances pour que les flics le retrouve mort ?
- Je refuse de croire ça...
- Envisage-le au moins.
- Pas question !
- Michael, ils finiront bien par retrouver son corps un jour ou l'autre.
- Ça n'arrivera pas.
- Pourquoi ?
- Parce qu'il est vivant !
- T'es pas possible... Et tes parents, ils en disent quoi ?
- Ma mère est effondrée et elle aussi est persuadée que Henry est vivant.
- Et ton père ?
- Lui c'est autre chose... Il a l'air de s'en foutre...
- Attends, ils sont pas genre les meilleurs amis du monde ?
- Soit disant oui...
- T'as qu'a lui parler pour savoir ce qu'il en pense.
- Je sais très bien ce qu'il en pense. Il s'en contre fiche. Voilà tout.
- Chaud... Alors c'est loin d'être un mec bien ton père...
- C'est même tout l'inverse... Il est très très égoïste...
Fin du flash-back
William grogna.
- Égoïste moi ? Petit con.
Martha qui était à sa droite en train de bouquiner le regarda.
- Tu me parles William ?
Afton se rendit compte qu'il a parlé à haute voix et apparemment sa femme n'a pas comprit ce qu'il a dit.
« Tant mieux... »
- Oh non... Je parlais à haute voix... Je disais juste que j'avais... Faim...
- A cette heure-ci ?
- Faut croire.
- Tu es irrécupérable.
Elle sourit.
- Bon, je te fais quelque chose ?
- Oh, ça attendra. J'ai... j'ai d'autres choses à penser...
- Comme quoi si c'est pas indiscret.
- Eh bien, sans rien te cacher... je pensais à Michael.
La femme parue surprise.
- Sérieux ?
- Oui. Sérieux. Je me disais qu'il fallait qu'on arrête de se prendre la tête... Surtout qu'on se prend la tête pour que dalle...
- Je suis ravie de te l'entendre dire William.
- Je vais lui proposer une petite ballade. Et promis, je ne vais pas rentrer dans ses provocations. Je vais même tout faire pour qu'il ne m'en fasse aucune chérie.
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William avait dit à Michael de sortir avec lui dehors pour « discuter calmement sans provocations ».
Le jeune garçon a d'abord été réticent mais il a quand même suivit son père.
Le deux sont à présent en train de marcher le long d'un trottoir sans rien se dire, jusqu'à ce que le père de famille brise le silence.
- Alors l'école ça va ?
- Ça va.
- Pas trop dur ?
- Non.
- Et les copains ?
- Ils sont cool. Mais tout ça tu le sais.
Le brun se tût.
- Oui... Mais... Est-ce que tu t'entends bien avec tes camarades ?
- Hors mes potes tu veux dire ? Eh bien, oui et non.
- C'est-à-dire ?
- Il y a des sympas et il y a des cons.
- Mik... Michael.
- Tu vouais savoir, alors assume.
- Michael, tu peux arrêter ta provocation deux minutes ? Je fais des efforts avec toi. Alors toi fais-en avec moi...
Le jeune Afton soupira.
- D'accord. Tu veux savoir quoi ?
- Eh bien... Est-ce que tu as une petite copine déjà ?
- Non, j'ai d'autres choses à foutre que d'aller après une nana.
- Dis-toi que un jour tu te mariera et aura une famille.
- Pour être un père médiocre, non merci.
William s'arrêta, en colère.
- C'est un reproche ?!
- Pourquoi, tu crois que ça en est un ?
- Michael.
- Ben quoi ?! C'est pas ma faute si tu te sens visé...
Afton prit violemment le bras le de son fils.
- Pourquoi tu me fais payer Michael ?!
- Lâche-moi d'abord ! Et puis pourquoi je te ferais payer hein ?!
Le brun lâcha son aîné.
- A toi de me le dire.
- Pfff... Laisse tomber...
- Reste ici !
- Non. On a parlé comme tu le souhaitais, maintenant laisse-moi tranquille.
- Ne me tourne pas le dos Michael !
- Sinon tu vas faire quoi ? Me frapper ?
- Sache que je ne lèverais jamais la main sur mes enfants.
- Ah, tu me considères encore comme ton fils ?
William est carrément hors de lui qu'il frappa le mur à côté de lui !
- Maintenant ça suffit petit merdeux ! J'en ai marre de tes sous-entendus de merde ! Que les choses soient claires ! Tu es mon fils ! Et ça rien ni personne ne pourra y changer, t'entends ?!
Michael recula. Il a peur. Son père a changé en seulement quelques secondes. Et ça lui faisait très peur.
- Je... Je suis... Désolé... Je ne... Sais plus ce que je dis moi aussi...
William a craquer et il se rendit compte qu'il avait perdu le contrôle de lui-même.
« C'était comme... Si j'étais quelqu'un d'autre... Impossible... »
- N'en parlons plus... Viens. On rentre.
- Oui.. Bonne... Bonne idée...
Ça avait tellement perturbé Michael que ce dernier ne dit plus un mot durant le retour mais il s'est contenté de sourire au tueur qui lui sert de père.
Il s'est juré d'en parler à sa mère si cela se reproduisait. Mais pour l'instant, il préféra penser à Henry...
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Voili voilou.
Bon, vous allez encore me dire qu'il était bien court xD Mais sachez que (encore une fois) c'est fait exprès.
Je prends une semaine de vacance loin de ma chaîne Youtube et j'aurais sans problème le temps d'écrire un nouveau chapitre. Il sera peut-être plus long. Je dis bien peut-être.
Nouveauté concernant FNAF, l'interview de Scott Cawthon par le Youtubeur Dawko aura bientôt lieu et je serais au rendez-vous bien sûr ! En tant que fan de la saga, je serais cinglée de rater ça.
Mis à part ça, les canicules sont vraiment horribles à souhait... Vivement que ça s'arrête.
Sinon, je vous laisse ici et je vous souhaite d'excellentes vacances... Sans cette maudite canicule bien entendu.
Portez-vous bien surtout ;)
Rendez-vous au prochain chapitre, je vous aimes !