Bien le bonjour !
Le début de l'aventure Five Nights at Freddy's commence !
Sur ce, bonne lecture ;)
--------------------------------------------------------------------------------------
William travaille sur son projet jour et nuit...
A l' heure actuelle, le britannique travaillait encore. Il avait trouvé un nom de restaurant et il savait ce qu'il devait faire. Il est très soutenue par sa femme et aussi par son ami Henry.
D'ailleurs, celui-ci l'aidait souvent et il fût présent à ce moment là. William travaillait sur des croquis pour des nouveaux animatroniques. En effet, le brun pourra bientôt rouvrir son établissement et Henry lui a dit qu'il l'aidera. D'ailleurs, un des croquis de William l'interpella.
- Tu as dessiné ça ?
- Oui.
- Un clown.
- Oui. Une fille, Baby, je l'ai appelé comme ça.
- Mais... Mais, elle ressemble à Elisabeth.
- C'est fait exprès Henry. Je l'ai fait pour elle et quand elle sera construite, elle aura belle allure.
- Elle sera plutôt flippante je dirais....
Le brun rigola.
- Tu dramatises Henry. J'ai aussi envie de faire quelque chose à l'image de Martha. Et je crois que j'ai trouvé.
- Ah bon ? Tu as une idée précise donc ?
- Ça sera une ballerine.
- Une ballerine ?!
- Oui. Martha était ballerine avant.
- Ah oui, c'est vrai...
Afton se retourna vers son ami.
- Deux robots à l'image des deux femmes de ma vie.
- Ah. Et Michael dans tout ça ?
- J'ai pas encore trouvé... Je veux dire... Je ne vais pas faire un humanoïde mâle, ça ne ressemblerait à rien. Tu te rappelle à quoi ressemblait Ennard ?
- Oui. Les gosses ne l'appréciaient pas vraiment. Il leur faisait très peur.
- Pour faire peur oui, il faisait peur et pourtant, c'était l'une de mes créations...
Il reprit.
- Il faut que je trouve autre chose Henry et peut importe le temps que ça me prendra. Je ne veux pas décevoir mon fils...
- Pourquoi tu le décevrai ? Les erreurs que tu ferras ne seront pas les mêmes que celles que ton père a faites.
- T'en sais quoi ?
- Roh t'es pas possible. Ne parlons plus de ça.
Henry s'assit aux côtés de son ami. William le regarda.
- Et toi, ça va ?
- On va dire ça.
- Ça ne va toujours pas entre toi et Avery ?
- Non... C'est de pire en pire...
- Merde...
- Je... Je tiens le coup William... Je penses à mes enfants et à mon travail mais j'appréhende à chaque fois sa réaction si je venais à lui parler... Elle a beaucoup changé...
Le britannique soupira. Oui, il le sait, Avery beaucoup changé. Henry reprit.
- Jen m'a conseillé de la quitter.
Jen est la grande sœur d' Henry et William l'a déjà vu quelques fois. C'est une femme qui inspire la confiance selon lui.
- Ah. Et ?
- Je refuse car je l'aime.
- Je le vois bien...
« Et c'est ça ton défaut... » pensa Afton.
William savait que leur histoire tournerait mal. Henry soupira puis reprit mais en affichant un air sérieux.
- Bref, il n'empêche que j'ai décidé d'améliorer le restaurant.
- Ah ? Tu vas faire quoi ? Tu vas rajouter des animatroniques ?
- Tout juste. Ça m'est venue la nuit dernière quand je ne pouvais pas dormir car avec 3 robots, ça fait vide. J'ai mis les gars sur le coup et j'irais prendre part à la construction.
- QUOI ?! Tu n'as même pas présenté tes œuvres à moi, ton vieil ami ?! Alors que je viens de te montrer les miennes ?! Tu sais que c'est méchant et vicieux ça?
- J'aime être méchant...
Ce sourire en coin énervait beaucoup le britannique mais il était heureux de le voir sourire.
- Mais t'inquiètes, tu pourras y participer ma biche.
« Ma biche » est le surnom affectueux que Henry aime donner à William pour le faire chier et ça marche très bien.
- Pauvre con...
- Bref. Je te donne un indice. Ils seront 4.
- Les 4 endosquelettes de la Parts & Service Room alors. Ok. Je vois. Ils seront 7 animatroniques au total...
- Tu sais compter Afton, c'est bien.
Le brun grogna. Henry et ses piques sont agaçantes mais c'est-ce qui fait son charme. Non, William n'est pas amoureux d' Henry XD
- Je compte aussi changer l'enseigne. Et je veux ton avis sur ce coup là.
- Je crains le pire.
- J'ai encore rien dit.
- Avec toi, je me méfie Henry.
Ce dernier ricana.
- Je te le dis quand même : Fredbear and Friends.
- Hein ?
- T'es bouché ou quoi ?
- Non, j'ai compris idiot...
- Alors, t'en penses quoi ?
- C'est toi le patron mais... je trouve que ça le fait...
- Okay. Tu aurais dit que c'était mauvais, je l'aurais quand même gardé ce nom.
William vit rouge.
- ANDOUILLE ! Pourquoi tu m'as demandé mon avis alors ?!
- Pour te faire chier.
- Tiens tiens, ça ne m'étonnes même pas...
Henry rigola comme une baleine.
- HAHAHAHAHAHAHAHA ! Tu verrais ta tête ! C'est épique ! J'aurais dût te prendre en photo mec !
- Je te hais, Henry Bishop...
Le propriétaire de Fredbear s'arrêta de rire.
- Plus sérieusement William. Ton avis compte pour moi, tu le sais...
- Non, j'en ai aucune idée...
Le britannique afficha un sourire provocateur que son comparse américain remarqua.
- C'est bien mon Willy ça...
- La ferme Bishop. Tu sais que je déteste ce surnom.
- Faudrait savoir... Tu préfères ma biche ou bien Willy ?
- Henry !
- Ok, j'arrête.
Les deux amis se mirent à rire à ne plus en pouvoir.
......................................................................................................
Quand Henry quitta l'atelier du britannique, c'était pour aller chercher ses enfants qui était gardé par Gabriel et Susie en ce jour de repos hors de l'école. L'américain espérait qu' Avery ne s'en soit pas mêlée avant lui...
William savait que l'histoire entre lui et Avery se terminerait mal et il se sentit hyper mal pour lui d'un coup.
Quelqu'un frappa à la porte. Il s'agit de sa femme, Martha. William cacha rapidement ses croquis.
- Chéri, je peux rentrer ?
- Oui, bien sûr...
La rousse rentra et s'assit sur la chaise à côté de son mari.
- Tu as l'air inquiet...
- Je m'inquiètes pour Henry, Martha... Il va pas bien et il essaie de le cacher mais je le vois très bien que c'est pas la forme...
- Je le sais... Pauvre Henry... Cette histoire va mal se finir...
- C'est-ce que je me disais juste à l'instant...
- Si ils se séparent, que vont devenir Charlie et Sammy ? Ce ne sont que des enfants...
Le brun soupira et prit la main de sa femme pour la rassurer.
- Henry et Avery sont des adultes responsables et ils sauront gérés avec leurs enfants... J'espère que ça s'arrangera même si... ça risque de partir en sucette...
- Avery a beaucoup changée...
- Je sais...
L'anglaise changea de sujet puisqu'elle voyait bien que son mari était tellement mal et elle s'en voudrait qu'il aille plus mal...
- Tu fais quoi de beau ?
- Je travailles sur de nouveaux modèles d'animatroniques...
- Oh, tu me montres ?
- Ça, ma chérie, c'est une surprise...
- Rabat-joie...
- Oh, sois pas fâchée... Tu le découvriras tôt ou tard mon amour...
- Je ne suis pas fâchée et j'attends cette surprise avec impatience...
Elle s'approcha doucement de lui et le tira par le col de sa chemise pour ensuite l'embrasser. Le britannique passa ses mains derrière le dos de son épouse. Martha se serra davantage contre lui. Ce moment aurait put durer une éternité si la rouquine n'aurait pas été pressée. William est très déçu car il en voulait beaucoup plus. Coquin va XD
- Bon je vais aller faire les courses. Tu as besoin de quelque chose ?
- Non non...
- Ne t'inquiètes pas... On terminera là où on en était ce soir...
- Je languis d'impatience...
- Pervers...
Ils se sourirent mutuellement et après un dernier baiser, Martha partie. Le brun est très heureux d'être marié à une femme comme elle...
................................................................................................
Afton passé la jour à réfléchir concernant quel genre d'animatroniques irait pour son fils.
Il a décidé de se détendre un peu devant la télé. Et, il n'y a pas grand choses d'intéressant... Juste une pub pour un déodorant et... pour Fredbear Family Diner...
Ça le fit doucement sourire en pensant à la nouvelle enseigne de son ami américain. Il se demande quelle genre de connerie ça sera.
A un moment, la petite Elisabeth alla rejoindre son père et s'endormit sur les genoux de ce dernier. William n'arrivait pas à croire à quel point elle ressemble 100% à sa mère... S'en est troublant. En même temps, Michael ressemble de plus en plus à William en grandissant. Seulement ses yeux sont bleus comme ceux de son père Peter...
Michael arriva près de son père. Il a passé la journée avec ses amis Joshua, Calem et Lucas. Pas besoin de vous éclairer sur eux, vous avez sans doute une idée sur ce sujet...
- Papa ?
- Ah Michael, qui a-t-il ?
- Elle est pas encore rentré maman ?
- Maintenant que tu le dis... C'est vrai que ça fait presque 3 heures qu'elle est partie.
William regarda l'heure sur l'horloge Grand-père.
- Étrange...
- J'peux prendre mon vélo pour voir si elle est quelque part en ville si tu veux ?
- C'est pas nécessaire fils... Elle rentrera... Elle doit juste avoir un contretemps.
- Si tu le dis...
Sans le savoir, William avait blessé son fils. Il voulait lui être utile. Il vit sa sœur sur son père et grogna avant de retourner dans la cuisine. Le britannique ne savait pas ce qu'il se passait avec lui. Il décida de rattraper le coup.
- Michael ?
- Oui...
- Tu ne veux pas plutôt regarder la télé avec moi que de rester tout seul là-bas ? Le temps que ta mère rentre quoi...
Michael est très heureux de ce revirement et alla s'assoir aux côtés de son père...
.......................................................................................
Quand Martha rentra, elle paraissait énervée mais quand elle vit ses trois amours endormis sur le canapé, elle sourit. Quand elle ferma la porte, sa petite famille se réveilla.
- MAMAN/CHÉRIE !
Les trois se ruèrent vers elle.
- Eh bien, je n'ai jamais eue un accueil pareil depuis longtemps mes amours.
- Chérie, on se demandait où tu étais...
- Oui t'étais où maman ?
- Maman réponds, on s'est inquiétés nous...
Martha les rassura.
- Tout va bien les enfants..
Elisabeth fut heureuse.
- L'important c'est que tu sois là maman...
- Mais oui ma chérie...
William voyait que quelque chose clochait chez Martha.
- Tu es sûre que ça va ?
- Oui...
Elle s'adressa à Michael et Elisabeth.
- Les enfants, vous pouvez aller dans vos chambres, j'ai quelque chose à dire à votre père...
Afton haussa un sourcil. Son sang ne fit qu'un tour. Quand Martha prend cet air, c'est quand il y a quelque chose de grave.
Michael se demande ce qu'il se passe et qu'est-ce que sa mère avait à dire à son père.
- Pourquoi je peux pas rester moi ?
William toisa son fils du regard.
- C'est entre adulte Michael...
Martha prit le relais.
- Je te raconterais tout à toi et à ta sœur plus tard... Pour l'instant, c'est à votre père que je veux parler.
- D'accord maman...
Michael prit la main de sa sœur et les deux allèrent dans leur chambres...
..................................................................................................
Le couple s'assit dans le fauteuil. Martha était prête à parler sérieusement. Pour rien vous cachez, William a très peur de ce qu'il va apprendre.
- Chérie, qu'est-ce qui se passe ?
- Avery a quitté Henry.
William n'est pas surprit. Il savait que ça allait arriver... Mais pas aussi rapidement...
- Putain de merde... Quand je pense qu'on en a discuté avec Henry ce matin... Putain... Qui te l'as dit ? Henry ?
- Non c'est Gabriel et Susie. Charlie et Sammy étaient chez eux... Et ça c'est passez au milieu de l'après-midi...
- Merde... Les gamins ont assistés à la dispute ?!
- Oui...
Le britannique se leva.
- Ça suffit ! Cette femme à besoin de se faire remonter les bretelles ! Personne de censée se dispute devant des enfants !
- William, calme-toi ! Les enfants vont t'entendre !
- Désolé...
Afton se leva et commença à faire les cent pas.
- Ça me rends dingue... Il... Il y a eu quoi d'autres ?
- Elle compte emmener un des enfants avec elle... Pour partir à Chicago...
William voulait hurler mais se mordit la langue pour s'en empêcher.
- Merde ! Elle lève le cul ?! Pourquoi ?!
- Elle a un amant depuis 5 mois...
- Quelle putain ! Pardon... Pardon Martha...
- William... Crois-moi, j'ai pensé pire que toi sur le moment... Alors ne t'excuses pas...
L'entrepreneur ne mâchait pas se mots occasionnellement mais là, même si Martha l'avait en quelque sorte autorisé, il voulait s'abstenir...
- Elle veut emmener qui avec elle ?
- Je ne sais pas... Mais il y a des chances que ce soit Sammy selon Gabriel...
- Hein ? Et Charlie dans tout ça ?!
- Parce qu'elle est trop proche d' Henry... Je suppose...
- Sammy aussi l'est ! Il ne peut pas être séparé de son père !
La rouquine se leva à son tour.
- Je suis tout à fait d'accord...
- J'ai envie d'aller dire ma façon de penser à cette femme...
- William...
- Et toi aussi, tu devrais le faire Martha.
- Non William... Henry a besoin de toi. Ne te préoccupe pas d' Avery...
- Sammy ne doit pas être séparé de son père Martha !
L'anglaise s'approcha de son mari.
- Je sais ce que tu en penses et... Je suis d'accord avec toi... Je ne reconnaissais plus Avery comme ma meilleure amie... On ne se parlais plus depuis plusieurs mois... A vrai dire, je suis beaucoup plus proche de Susie... Avery a... elle a complètement changée...
- Et en pire oui ! A la limite, une garde partagé ça aurait été « stable » mais qu'un des gosses vive avec l'un et pas avec l'autre à l'autre bout des États-Unis, c'est complètement puérile, stupide et ignoble de sa part !
La rousse ne tenta pas de calmer William. Elle sait que sur certains sujets, il peut devenir incontrôlable. Mais Afton se ressaisit quelques secondes.
- Je ne vais pas rester là sans rien faire. Je vais aller parler à Henry.
- William...
- Ne t'inquiètes pas, je parlerais juste avec Henry... Pas besoin du téléphone, il ne répondra pas, je le connais. Je ne veux le laisser seul... Il va perdre sa... sa femme et... et un enfant... Il ne doit pas être seul...
- Tu es un très bon ami William...
- Il ferait pareil pour moi, je le sais... Et je ne veux pas qu'il fasse de conneries.
- Alors vas-y. Mais ne fais rien de stupide.
William enfila un gilet.
- Ne t'en fais pas. Reste avec les enfants. Je te raconterais tout demain et on leur dira aussi. Ça leur fera un choc mais ils sont en droit de savoir. Charlie et Sammy sont leurs amis après tout...
Il embrassa sa femme.
- Je t'aime.
- Je t'aime aussi.
.............................................................................................
Quand William a sonné chez Henry, c'est Charlie qui lui a ouvert. Il a été surprit et il lui a demandé comment allait son père. La petite fille lui a expliqué que sa mère et Sammy sont partis en taxi, en les laissant ici et qu'elle savait que c'était fini et qu'elle ne les reverrait jamais...
Le brun a vraiment de la peine pour la petite fille qui à l'âge de sa propre fille et il remarqua des larmes sur son visage. Être séparée de sa mère, ça doit être dure mais être séparée de son jumeau c'est assez triste. Les jumeaux sont tellement fusionnels. William appréhendait la réaction de ses propres enfants concernant cette histoire... Mais à l'heure actuelle, l'important c'est Henry.
Charlie indiqua la pièce au brun dans laquelle Henry était. Quand il y rentra, c'était le noir total... Seule un lampe était allumée, et Henry a une bière a la main.
- Henry ?
- Ah tiens... Mon vieil ami... Tu es venu contempler un homme cocu et déchu ?
- Arrête tes conneries...
- Le téléphone existe. T'avais pas à te déplacer.
- Depuis quand tu me dis ce que je dois faire ?
- Depuis jamais...
- Poses cette bière Henry !
Le pauvre homme le regarda droit dans les yeux.
- Sinon quoi ?
- Sinon, je te colle mon 44 au cul !
- Vu comme ça.
Il posa sa bière.
- Ça dure depuis 5 mois et il est de Chicago... Et cet enfoiré va avoir mon fils à ses côtés...
- Tu peux faire appel à la justice Henry. Elle n'a pas le droit de faire ça.
- Si je le fais, Charlie et Sammy seront au milieu et ils en souffriront...
- Ils souffrent déjà Henry ! Surtout Charlie !
- Peut-être... Mais Avery m'a dit qu'elle me donnerait des nouvelles de Sammy, je ne suis pas vraiment perdu au bout du compte...
- Et tu la crois ?! Tu crois qu'un enfant doit vivre sans son père ?!
- Avery n'est pas une mauvaise mère.
William grogna.
- Permets-moi d'en douter Henry...
- William...
- Elle a ouvert ses cuisses à quelqu'un d'autre... Et tu appelles ça une bonne mère alors que c'est elle qui détruit toute une famille?
- Ça n'a rien à voir !
- Oh que si triple andouille !
- William ! Charlie est à côté ! Baisse le volume veux-tu imbécile ?!
Le britannique se tut un instant avant de reprendre, tout en souriant.
- Là je te retrouve... Là c'est le Henry que je connais...
- Navré de te le dire mais je crains que ce Henry n'existe plus...
- Tu veux vraiment que je te frappe pauvre ignorant ?! Penses un peu à Charlie ! Si tu ne veux pas faire appelle à la justice soit c'est ton choix ! Mais ressaisis-toi ou bien c'est moi qui me charge de tout !!!
Henry le regarda surprit.
- Tu oserais faire ça ? Te mêler d'une affaire de famille ?
- Tu fais partit de ma famille Henry... J'ai beaucoup d'estime pour toi et tu es comme un frère... Le frère que je n'ai jamais eu....
L'américain fut touché.
- Moi aussi je te considère comme un frère, mon ami...
- Ah j'en conclus que l'on reste dans la friendzone ?
- C'est un peu près ça...
Les deux éclatèrent de rire.
- Et ta sœur ?
- Quoi ma sœur ?
- Elle en pense quoi ?
- Oh... Je lui téléphonerais demain.. Mais, je vais en entendre ça c'est sûr... J'aurais dû l'écouter...
William connaît très peu Jen car honnêtement il la voyait que lors des anniversaires de Charlie et Sammy. Elle habite au Minnesota, elle n'est pas mariée, n'a pas d'enfants et elle a une très belle relation avec Henry mais... elle n'a jamais pu sentir Avery. En effet, l'année dernière, Jen a volontairement versé du vin sur les habits de la femme de son frère.
William se mit à rire doucement. Ce que Henry ne comprenait pas.
- Pourquoi tu rigoles encore ?
- Je me souviens du jour où ta sœur a versé du vin sur Avery...
- Ah oui l'année dernière... C'était la merde après...
- C'était pourtant très drôle...
- Maintenant que j'y repense, ça l'est en effet...
Ils se remirent à rire.
- Je préfère te voir comme ça Henry...
- Oh... Tu n'aimes pas me voir triste... Que c'est mignon...
- Idiot...
Le brun est rassuré. Henry redevient lui-même. Du moins pour l'instant. Il fera en sorte qu'il aille bien et que les choses suivent leur coures... Peut-être qu' Avery changera d'avis concernant Sammy, qui sait ?
- Tu veux une bière ma biche ?
- Volontiers. Une mais pas plus. Et c'est pareil pour toi mon vieux.
- Bien, Chef !
Le propriétaire de Fredbear alla chercher deux bières dans son réfrigérateur qu'ils se mirent ensuite à les savourer tout en discutant. Il ne discutèrent plus de cette histoire pendant cette soirée. Ils parlaient de leurs projets d'animatroniques, de leur amitié et de leurs souvenirs d'époque.
Une chose est sûre, c'est qu'ils se sont bien amuser.
Dans son lit, Charlie souriait. Elle souriait parce que son père allait bien mieux et aussi parce que William était là pour lui redonner le sourire. Elle remercie le ciel pour avoir fait rencontrer son père et le britannique. Sans savoir que dans quelques années, ça ne sera plus pareil...
Demain est un autre jour...
--------------------------------------------------------------------------------------
Et voilà, c'est la fin de ce chapitre. J'espère que vous l'avez apprécier.
Il est vrai que j'avais dit que pour moi Sammy n'existait pas dans l'univers des jeux mais j'ai préféré qu'il ait de la présence quand même dans cette histoire...
J'ai rendu les choses tragique du côté d' Henry avec sa femme qui le quitte et part avec son fils. Tout ce qu'il lui reste c'est sa fille désormais. Et j'espère que vous apprécié le personnage d' Henry. Il est pas assez développé mais dans les chapitres à venir, il va l'être beaucoup plus croyez-moi.
Les prénoms Susie et Gabriel doivent vous être familiers, n'est-il pas ? Eh bien, une théorie est en préparation et je suis en pose pendant deux semaines pour bien travailler mes théories sur ma chaîne Youtube.
Alors dites-moi ce que vous avez pensé de ce chapitre et n'hésitez pas à me dire tout ce que vous avez sur le cœur.
Bonne vacances à vous et je vous dit à dans deux semaines.
Dans ce cas, portez-vous bien et n'oubliez que l'important dans la vie, c'est de faire ce qu'on aime.
A la prochaine ;)