Alors que je marchais dans le couloir, je tâtais le mur. Chaque interrupteur que je trouvais, je l'allumais, illuminant un peu plus le manoir. J'avançai jusqu'à l'escalier que je descendis avec précaution. La maison semblait étrange, trop calme pour moi.
A l'étage, Harry dormait profondément dans sa chambre. Moi, je n'arrivais à m'endormir. J'étais restée là, éveillée, les yeux fixant le plafond. J'avais réfléchi à beaucoup de choses. Comment aurait été ma vie si j'étais restée en Amérique ? Puis je m'étais rappelée de mon arrivée à Londres, et comment j'étais tombée amoureuse de cette ville presque instantanément.
Plus tôt dans la journée, nous avions déchargé toutes les courses. Alors maintenant le frigo était plein de nourriture, ainsi que le garde-manger. J'errai dans la cuisine, examinant sans but précis tout ce que nous avions acheté.
Je n'avais pas changé d'avis. Je n'appréciais vraiment pas cet endroit, pas du tout. Je ne me sentais pas à ma place, voyant tout ces murs blancs, nus. Tout semblait sans vie.
En entrant dans le salon, je vis un peu de poussière sur les tables et les chaises. Je me demandais combien de fois Harry avait utilisé ces choses. Quand il était seul, que faisait-il ? Venait-il seulement ici pour dormir ? Harry avait-il un passe-temps ?
Je pris mon téléphone et allai dans ma musique, et je mis la première chanson que je trouvai. La musique emplie l'espace vide dans la maison, comme une sorte de bruit étranger. Je regardai autour de moi, tendue, pendant quelques instants, jusqu'à ce que la musique ait son effet relaxant sur moi.
Et je me mis à faire le ménage.
Je mouillai un chiffon que j'avais trouvé dans une commode, qui semblait ne pas avoir été utilisé depuis un moment, et je commençai à essuyer la poussière de tout ce que je trouvai. Une fois la poussière disparue, j'allai dans la cuisine et commençai à faire des cookies.
Maintenant, vous devez certainement penser qu'il était étrange pour moi de faire des cookies dans la maison de Harry, non ? Mais je n'y avait vraiment pas pensé sur le coup. Je savais juste que j'avais envie de cookies et je décidai de les faire. Je me demandais même si Harry aimait les cookies. S'il n'aimait pas ça, alors ça en faisait plus pour moi, non ?
Je cherchai la recette sur mon téléphone, et sortis tous les ingrédients dont j'avais besoin. Après avoir trouvé du beurre de cacahuètes, je décidai de faire des cookies au beurre de cacahuètes. C'étaient mes préférés. La musique résonnait toujours depuis mon portable, et les chansons étaient toutes aussi différentes les unes que les autres. Je n'avais jamais eu un genre de musique particulier, j'aimais à peu près tout, dans une certaine mesure.
Et je commençai mon travail de chef.
La pâte était prête et je cherchai une plaque à biscuits. Je paniquai un peu ne la trouvais pas au début, mais finalement j'en vis une au-dessus du réfrigérateur dans un placard. Cependant, elle avait besoin d'un bon lavage. Simple précaution. Une fois lavée et séchée, je commençai à former les boules de pâte, en les plaçant soigneusement sur la plaque. En même temps, je fredonnais légèrement avec la musique.
Il m'avait fallu quelques instants pour comprendre comment fonctionnait son four. J'étais tellement habitué à utiliser les nouveaux modèles, et celui-ci n'avait rien de nouveau. Mais néanmoins, je finis par réussir à le faire fonctionner, il ne restait plus qu'à attendre qu'il atteigne la bonne température.
"Don't need nothin'," Chantai-je doucement, "But a good time. How can I resist ? Ain't lookin' for nothin', but a good time. And it don't get better than this." Je mis même à rire un peu en fredonnant le solo de guitare. Je fus interrompu par la sonnerie du four qui indiquait que le préchauffage était terminé.
Je mis soigneusement les cookies à l'intérieur du four. J'actionnai le minuteur puis m'essuyai les mains. J'avais vraiment l'impression d'avoir accompli quelque chose.
Je rangeai toute la vaisselle que j'avais utilisé, voyant que Harry avait un lave-vaisselle. Il n'était pas tout à fait remplis, alors je décidai de ne pas le démarrer tout de suite.
Et quand une chanson disco retentit sur mon téléphone, je la reconnus immédiatement.
Sans aucune honte, je commençai à chanter fortement le début. "At first, I was afraid, I was petrified. Kept thinking, I could never live without you by my side" J'attrapai la cuillère en bois que j'avais utilisé pour remuer la pâte et en fis un micro. "But then I spent so many nights thinking, how you did me wrong, and I grew strong,and I learned how to get along."
Et quand la musique commença vraiment à bouger, je me mis à danser dans toute la cuisine. Je me balançai au rythme de la mélodie, jetant mes longs cheveux aubruns autour de moi me laissant complètement aller. Je me sentais vraiment seule, alors je me fichais d'avoir l'aire ridicule. Je chantais, un peu faux certes, et je ne pouvais pas m'empêcher de danser. J'adorai les chansons qui donnent envie de danser. C'est impossible de ne pas danser sur certaines d'entre elles. J'avais l'impression d'être une marionnette, et la musique me manipulait, me guidant. Je me sentais relâcher toute la pression et le stress des événements accumulés ces derniers temps, allant des menaces de mort à la contrainte de passer tout mon temps avec Harry Styles.
"Go on now, go," Je me déhanchai, pointant mon micro de fortune à un Harry imaginaire, "Walk out the door, just turn around now. Cause you're not welcome anymore. Weren't you the one, who tried to hurt me with goodbye ? Did you think I'd crumble ? Did you think I'd lay down and die ?"
Ma voix résonnait dans tout l'espace, le remplissant. Le silence avait disparu, remplacer par quelque chose de nouveau. "Oh, no, not I, I will survive. Oh, as long as I know how to love, I know I'll stay alive. I've got all my life to live, I've got all my love to give. And I'll survive, I will survive, hey, hey."
Je continuai à me pavaner à travers la grande salle avec la cheminée. Je sautai sur le canapé, mes joues étaient rouges à cause de l'effort et mes pieds ne voulaient pas s'arrêter de bouger. Je n'avais aucune idée d'où venait cette énergie débordante, je savais juste qu'elle était là. Et que je voulais bouger.
Certaines personnes aiment danser de manière provocante. Certaines aimaient le tango. Moi, j'aimais juste bouger mes pieds.
Je commençai à tournoyer dans la salle, jetant mes mains en l'air. Je me sentais si vivante, si libre. Et j'adorais ça. Mes cheveux fouettaient mon visage à cause de mes mouvements.
Et soudain—la musique s'arrêta.
Je me retournai pour voir ce qu'il s'était passé, et quand je vis Harry se tenant là, à me regarder, je me figeai sur place.
Il était torse nu, comme d'habitude quand il dormait, mais il portait un pantalon de survêtement rouge foncé cette fois. Ses yeux semblaient lourds de sommeil, et ses cheveux étaient en bataille, les boucles allant dans des directions différentes. Sa bouche était légèrement ouverte, et je pouvais voir que ses yeux étaient froncés, comme s'il essayait de croire ce qu'il venait de voir.
"Qu'est-ce que tu fais ?" Demanda-t-il lentement.
"Je danse." Répondis-je sans conviction.
Les yeux de Harry scannèrent la salle autour de nous. Il vit toutes les lumières allumées, et ses yeux se posèrent sur le four qui était aussi en marche. Il s'aventura dans la cuisine à un rythme délibérément lent, examinant les lieux comme s'il voyait une tombe à la place de sa propre cuisine. Je ne bougeai pas, les jambes toujours figées, le regardant avec méfiance.
"Qu'est-ce que tu fais ?" Répéta-t-il, plus pour lui que pour moi. Je l'entendis ouvrir le four pour regarder à l'intérieur et le refermer quelques secondes après.
"Je fais des cookies."
"Pourquoi?"
"Je-"
"-Il est 2 heures du matin." Dit Harry, en jetant un coup d'œil à l'horloge. Il se frotta les yeux, et prit une profonde respiration.
"Je n'arrivais pas à dormir."
Il fit le tour du comptoir pour me regarder à nouveau. Cette fois, il était un peu plus éveillé. Et on aurait dit qu'il essayait de m'analyser, comme si j'étais une sorte de spécimen bizarre qu'il n'arrivait pas à comprendre.
Face à son regard perplexe, je demandai avec hésitation, "As-tu déjà dansé, Harry ?"
"Dansé ?" Répéta-t-il lentement.
Je hochai la tête, m'avançant un peu vers lui. "Oui. Tu sais, dansé. De la musique. As-tu déjà dansé ?"
"Pas vraiment."
Je souris un peu et lui saisit le poignet. Je le tirai vers la zone où j'étais plus tôt, où il y avait plus d'espace, et dis, "Alors dansons."
"Dansons ?" Demanda Harry, secouant la tête immédiatement. "Hors de question, Claire. Je ne vais pas danser." Il cracha le mot danser et mon sourire se tordit un peu. Ce soir, j'allais le faire danser.
"Allez," Insistai-je, me sentant plus détendue car Harry était épuisé. Il semblait qu'il fallait beaucoup plus pour le mettre en colère sur le coup. Et quand je passai ses bras autour de ma taille et je le vis sourire légèrement, appréciant la façon dont mes hanches étaient sous ses doigts. Je savais que je l'avais eu. "Tu mets tes bras autour de ma taille, comme ça."
"Je peux aller plus bas ?" Demanda Harry, la voix plus rauque, alors qu'il baissait ses mains pour toucher mes fesses. Mes joues s'enflammèrent et je lui relevai immédiatement les bras, les replaçant sur mes hanches .
"Laisse-les ici." Demandai-je doucement, oubliant que j'avais besoin de mon téléphone pour la musique. J'essayai de sortir de ses bras, mais Harry resserra son étreinte. "Attends, il faut que j'allume la musique."
Harry me libéra et je me ruai sur mon téléphone, actionnant la chanson juste après 'I will survive'. Alors que la musique commençait lentement, je me précipitai vers Harry et il n'hésita pas à enrouler ses bras autour de moi, les yeux plus sombres qu'auparavant, plus concentrés.
"J'aime ça," Murmura-t-il, les yeux fixés sur mon visage.
Je passai mes bras autour de son cou, me rapprochant de lui, et une fois que le rythme commença, je me mis à bouger les pieds. Harry ne bougeait pas du tout, il était juste là, à me fixer, ses yeux étudiaient chacun de mes mouvements.
Where have all the good men gone
And where are all the gods?
Where's the street-wise Hercules
To fight the rising odds?
"Tu dois bouger tes pieds." Lui dis-je, en essayant de ne pas croiser son regard. Je me concentrai sur ses pieds, attendant qu'il commence à les bouger.
Il commença à taper un peu des pieds, et je hochai la tête en signe d'approbation alors que la chanson continuait. Je commençai à bouger mes hanches, et retirai mes mains de son cou pour attraper les siennes. Sans l'avertir, je commençai à balancer nos bras, m'éloignant un peu pour que nous puissions avoir plus de place pour danser. Les sourcils de Harry se levèrent un peu face à la perte soudaine de contact, et je lui lançai un sourire tout en guidant ses mains, le faisant danser.
Isn't there a white knight upon a fiery steed?
Late at night I toss and turn and dream of what
I need
A contrecœur, je libérai ses mains, et secouai la tête quand ses bras retombèrent immédiatement à ses côtés. Harry ne savait évidemment pas grand-chose sur la danse, ça c'était sûr. Ou alors, il était tout simplement trop fatigué.
I need a hero
I'm holding out for a hero 'til the end of the night
He's gotta be strong
And he's gotta be fast
And he's gotta be fresh from the fight
Je reculai un peu et dansai seule, utilisant mes bras pour me propulser. Je savais que Harry me regardait, mais je m'en fichais vraiment. Plus tôt, quand il était apparu soudainement, je m'étais sentis timide, mal à l'aise. Mais maintenant, comme avant, la musique me contrôlait.
Et tout à coup, une forte sonnerie retentit. C'était l'alarme de la minuterie, et j'arrêtai immédiatement de danser et coupai la musique. Le four continua à sonner, et j'attrapai le gant le plus proche, oubliant complètement Harry, et vérifiai les cookies. Ils étaient cuits. Et ils sentaient incroyablement bon.
Je les fis sortir rapidement, m'arrêtant pour éteindre le four. Je posais le plateau de cookies sur le comptoir le plus proche, et Harry était de l'autre côté de la cuisine, appuyé contre le comptoir, les bras croisés sur son torse. À ma grande surprise, il affichait un sourire presque amusé alors qu'il me regardait ranger le gant.
"Quoi ?" Demandai-je, cherchant si j'avais de la farine sur moi ou quelque chose.
"Je me suis réveillé," dit Harry , "à cause de la musique forte venant d'en bas. Quand je suis descendu, je t'ai vu danser, sauter sur le canapé en chantant avec une cuillère en bois." Je rougis un peu, réalisant qu'il avait vu tout ce que j'avais fait plus tôt sans que je le sache.
J'essayai de changer de sujet. "Tu aimes le beurre de cacahuètes ?"
"Tu es tellement innocente," Murmura Harry, en s'avançant de quelques pas vers moi, "N'est-ce pas ?"
"Je-je suis pas si innocente que ça." Marmonnai-je, me sentant soudain plus petite sous son regard puissant.
Harry sourit à ma réponse, et en seulement deux grandes enjambées, il me coinça contre le comptoir. Ses bras capturèrent mes poignets, levant mes bras au-dessus de ma tête, et sa forme beaucoup plus grande dominait la mienne. Mon souffle se coupa à cause de notre proximité soudaine. Harry était si chaud, sa peau n'avait pas une once de froid en elle.
Il baissa la tête pour m'embrasser sans bruit, son bassin se frottant au mien. Je pouvais sentir sa virilité appuyée contre moi, et pour une raison quelconque, une douce chaleur s'éveilla. Mes joues rougirent, et les battements de mon cœur accélérèrent rapidement.
Non. Ce n'étais pas bien.
Harry leva le bassin, le frottant lentement et volontairement contre moi, et je ne pouvais pas m'empêcher de sentir une étincelle de plaisir m'envahir. À travers le tissu mince de son survêtement, je pouvais très bien sentir son érection. Et puisque je portais un de ses shorts, ayant également un tissu mince, je pouvais la sentir encore plus.
"C'est bon," La voix rauque de Harry arrivait à peine à mon esprit brumeux, "N'est-ce pas ?" Il continua à se frotter contre moi, et mon plaisir ne fit qu'augmenter.
"S'il te plaît," Murmurai-je, en fermant les yeux hermétiquement. "Ne me viole pas, Harry."
Harry se mit à rire. "Je ne vais pas te violer, Claire. Si j'avais voulu te violer, je l'aurais déjà fait." Avec un grognement, il saisit soudainement mes hanches. Quelques secondes plus tard, j'étais assise sur le comptoir, et Harry était entre mes jambes, me regardant tout à fait fier de lui. J'étais vraiment choquée par la rapidité du mouvement et je n'eus pas le temps de m'en remettre que Harry avait déjà recommencé à m'embrasser, sa langue forçant son chemin dans ma bouche.
Quand je voyais des gens s'embrasser comme ça dans les films, j'avais toujours pensé que c'était répugnant. Qui voudrait avoir la langue de quelqu'un d'autre dans sa bouche ?
Mais, ce baiser était tout sauf répugnant. Mon corps réagit instantanément, et je me rapprochai de sa virilité, frissonnant un peu quand je la sentis se presser contre mon intimité. Je n'en pouvais déjà plus, et Harry n'avait encore presque rien fait.
Je lui rendis même son baiser. Souriant un peu, je me battais contre sa langue avec la mienne, et je sentis Harry se presser davantage contre moi, satisfait de ma participation. Après une lutte acharnée pour la domination, je finis par le laisser gagner à contrecœur.
Harry recula un peu et se poussa soudainement en moi, et le frottement me força à rompre le baiser, la respiration haletante. Je voulais gémir, je le voulais vraiment, mais je m'en empêchai. Harry attrapa mes jambes et les plaça confortablement autour de sa taille, et je verrouillai mes chevilles dans son dos. Il respirait aussi un peu fortement, mais pas autant que moi.
Je commençai à rouler mon bassin contre le sien, nécessitant plus de friction. Je fermai les yeux, submergé par le sentiment, le sentant contre moi.
C'était si... bon...
J'avais l'impression de ne plus avoir de cerveau. Comme si je ne pouvais plus penser. Tout mon corps était concentré sur le plaisir que je ressentais.
Harry commença alors à faire des lents et puissants va et viens contre moi sans s'arrêter. Je me penchai vers l'avant, en essayant de faire correspondre ses mouvements avec les miens, mais je foirai à quelques reprises. Il continua de bouger contre moi, baissant la tête pour la poser sur mon épaule, alors que son bassin se déplaçait sans relâche.
Ma respiration s'accéléra et je pouvais sentir une douce chaleur se répandre en moi. Sans le vouloir, je poussai un gémissement étranglé, mais je me repris immédiatement, me taisant, rougissante.
Harry fit une pause, relevant sa tête pour rire à mon gémissement. "N'aies pas peur de faire du bruit. Je veux que t'entendre crier, putain." Il mit ses mains sous mes cuisses et me souleva littéralement du comptoir. J'attrapai ses larges épaules nues alors qu'il me portait comme je ne pesais absolument rien. Avec cet angle différent, il recommença ses vas et viens, et je m'accrochai à lui étroitement, haletant droit dans son oreille.
Et bientôt, je gémissais, laissant Harry se frotter contre moi. La chaleur était maintenant un feu sauvage à l'intérieur de moi, brûlant dangereusement tout sur son passage. Je pouvais aussi sentir la chaleur se dégageant de Harry, et je voyais que ses cheveux commençaient à coller à son front.
"Harry," Gémis-je d'une voix étranglée, les yeux écarquillés, "Je suis proche."
Il grogna en réponse et commença à se déplacer plus rapidement contre moi. Je ramenai ma tête en arrière laissant échapper le plus fort des gémissements, venant tout droit de mon ventre, et je me sentis jouir contre lui. Dès que mon orgasme fut terminé, je sentis Harry s'immobiliser contre moi, et je me laissai aller dans ses bras.
Nous n'avions pas fait un acte proprement sexuel. Nous avions garder nos vêtements, enfin sauf Harry qui était torse nu.
Mais cela avait était incroyable.
Tout mon corps tremblait alors que Harry continuait à me porter. Avec précaution, il me déposa sur le comptoir, et j'avais du mal à garder la tête droite.
Je le vis à peine mettre les cookies dans une boite. Puis il revint vers moi, et me repris dans ses bras. J'enroulais mes jambes autour de sa taille comme un enfant, et il fit le tour de toutes les pièce pour d'éteindre les lumières. Nous étions rapidement plongés dans une obscurité totale. Je pose ma tête sur l'épaule de Harry, sentant mes yeux se fermer, l'épuisement me saisissait finalement. Il me ramena à la chambre, et quand il me posa sur le lit, je n'hésitai pas à me blottir sous les couvertures.
"Allez dors." Dit-il avant de quitter la chambre. Il voulait sûrement se finir. Et c'est sur cette pensée que je sombrai dans un sommeil profond.
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C'est la première partie du chapitre, j'essaye de le terminer le plus rapidement possible :)