- Lâchez-moi monsieur ! Vous me faites mal implora-t-elle au bout d'un moment.
- Tu parles sérieusement ?
- Je ne suis pas celle que vous croyez, essaya-t-elle d’expliquer. Mais lâchez-moi ! Que faites-vous ?
Mais il ne l'écouta pas et la trimbala jusqu'au niveau de la voiture et la jeta brutalement elle trébucha et se tordit le pied.
- Aïe, hurla-t-elle de douleur.
Un homme sortit de l’automobile et arriva vers elle.
- Vous allez bien mademoiselle ? Bon sang Gonzalo ! Qu’est-ce qui te prend de maltraiter cette jeune femme aussi méchamment, gronda-t-il.
- Lâche la Marco, exigea son frère.
- Non je refuse que .... ?
- JE T’ORDONNE DE LA LÂCHER ALORS OBEIS TOUT SUITE, répéta-t-il haussant le ton.
- Ecoute Gonzalo d'abord...
- Poussez-vous demanda la garde du corps de Gonzalo en poussant Marco brutalement.
- Haaa, ne me touche pas. N'oublies pas qui je suis, tonna-t-il en lui bloquant la main au passage.
Mais elle eut une réaction de professionnelle et lui tordit les bras par derrière.
Il lâcha un cri de douleur
- Vous êtes le frère du patron, mais excusez-moi je fais mon boulot c'est compris ? murmura-t-elle dans ses oreilles.
- Lâche moi, c'est bon j’ai compris
- Bien donc tranquillisé vous.
Tout à coup, Gonzalo éclata de rire amusé par la scène.
- Continue de rigoler. Ta satanée de garde du corps et toi êtes complètement tarées, s’offusqua Marco.
- Que fait-on d'elle ? Elle a l'air dans un piteux état, déclara Alexandra
- Rien ! Laissez-la comme ça. Je suis sûr qu’elle fait semblant. C’est encore une machination mais je t'ai à l'œil Monica Sorres. Cette fois tu ne m'échapperas pas. Voilà 5 ans que je te recherche et tu te cachais ici, dans mon propre pays. Mais quelle audace. Crois moi je te ferai payer tous tes crimes et tu passeras le restant de ta foutue vie derrière les barreaux.
- Combien de fois dois-je vous le répéter. Je ne suis pas celle que vous croyez. JE NE SUIS PAS MONICA SORRES, je suis Manuella Estrello.