Il fait nuit, il fait froid, très froid. La neige tombe à gros flocons mais tu ne t'arrêtes pas de marcher. La neige s'écrase sous tes bottes qui s'enfonce sur le sol. Tu refermes un peu plus ton manteau car le froid est vraiment saisissant ce soir. Tu l'entends, tu l'entends t'appeler mais tu ne t'arrêtes pourtant pas. Tu viens juste de te disputer avec ton petit ami Luke le soir du réveillon de Noël, et soudainement tu regrettes d'avoir mis une robe ce soir quand tu sens le froid saisir chaque partie de ton corps. Le sujet de la dispute ? Des photos. Des photos de lui et d'une fille assez proche. Des photos que tu n'aurais jamais dû voir mais que tu as vu, c'est sans doute toujours le cas lorsqu'on sort avec une star mondialement connu et vénéré. Tu l'entends approcher, tu l'entends prononcer ton prénom encore et encore mais tu continues dans ta lancée et arrive enfin à ta voiture. Tu plonges tes doigts glacer dans ton sac à main et essaie de trouver tes clés mais tes doigts sont tellement engourdis que lorsque tu les trouves enfin, elles t'échappent des mains et vont s'écraser dans la neige. Tu t'abaisses pour les chercher lorsque quelqu'un les attrape avant toi.
Toi : Donne-les-moi immédiatement ! Je ne plaisante pas Luke.
Luke : Non ! Tu ne peux pas partir à chaque fois que quelque chose ne te plait pas, on doit en discuter.
Toi : Ce n'est pas ce qu'on vient de faire ? Tout est dit il me semble, maintenant donne-moi mes clés. Merci.
Tu tentes de lui arracher les clés des mains mais il les place au-dessus de sa tête puis derrière son dos pour t'empêcher de t'en emparer.
Toi : Putain ! Donne-moi ces putain de clés Luke !
Luke : Non, allons à l'intérieur pour discuter car sinon dehors on va gelé.
Toi : Je n'irais pas à l'intérieur et je ne discuterais pas non plus avec toi.
Luke : {souriant} C'est pourtant ce que tu es en train de faire.
Toi : Raaah ! Je te déteste Hemmings !
Luke : Tu mens.
Toi : Non ! Je te déteste réellement !
Luke : Pourquoi tu es énervée dans ce cas ? Vas-y, dis-moi ça m'intéresse. {croisant les bras}
Toi : Parce que...parce que c'est toi, c'est toi qui m'énerve. Maintenant donne-moi mes clés ou je te jure que...
Luke : Que ?
Toi : Je te frappe ! Je te jure que je vais te frapper si tu ne me donnes pas ces clés dans la minute qui vient.
Il te regarde, rigole puis regarde autour de lui. Il fait quelque pas dans la neige et met tes clés en évidence.
Luke : Tu les veux ? Tu les veux vraiment ? Oui ? Alors viens les chercher.
Tu fronces les sourcils et t'avance vers lui pour récupérer tes clés. Tu tends le bras et il fait exprès de faire tomber les clés dans un trou de neige. Tu le pousses car tu es en colère, il s'agrippe à ton manteau et t'entraîne dans sa chute. Vous voilà tout les deux dans la neige, toi sur lui. Tu tentes de te relever mais il passe ses mains dans ton dos, t'empêchant de bouger. Il semble plutôt amuser de la situation et pas du tout dérangé d'être dans la neige froide qui te paralyse toi.
Toi : Espèce de pauvre type !
Luke : C'était qu'une fan (YN) juste une fan, rien de plus. Elle voulait une photo et je l'ai fait.
Toi : Je m'en fous de toute façon.
Luke : C'est faux, tu ne t'en fous pas. Tu es jalouse.
Toi : {le frappant} Non, je ne suis pas jalouse.
Luke : Aîe ! Mais pourquoi tu me frappes ?
Toi : Parce que t'es qu'un idiot et que j'en avais envie.
Luke : Tu sais de quoi j'ai envie moi ?
Toi : Non et je m'en contre fous.
Luke : Eh bah je vais te le dire quand même. J'ai envie de rentrer chez moi et t'enlever ce manteau, de t'enlever cette robe et tes sous-vêtements devant la cheminée. J'ai envie de te faire l'amour avec tout l'amour et le désir que je ressens pour toi car il n'y a personne d'autre qui compte autant que toi à mes yeux. On commencera dans le salon, puis on ira sur le canapé et on finira dans la chambre.
Toi : Dans tes rêves Hemmings !
Luke : Allez ! C'est Noël
Toi : Et alors ?
Luke : T'en a envie aussi, je le sais.
Toi : A ce que je sache, ce que je sens qui s'élève entre nous ne m'appartient pas.
Luke : Ce genre de choses ne se contrôle pas, quand tu es si proche de moi je ne contrôle plus rien.
Toi : Tu as qu'à me lâcher.
Luke : J'ai pas vraiment envie que tu bouges en fait.
Toi : Et moi je ne compte pas rester dehors à attendre de congeler sur place.
Luke : De toute façon, tu ne peux pas partir. Tu n'as plus de clés.
Toi : La faute à qui ? Pff !
Tu lui donnes une nouvelle tape dans le torse et sens encore le niveau de son excitation s'élever. Cette fois-ci tu ne lui laisses pas le choix et te relève malgré son refus. Tu balayes la neige se trouvant sur ton manteau et tu dois te résigner à rentrer dans la maison car tu n'as plus de clés et que tu commences à avoir les lèvres geler. Tu marches jusqu'à la maison et claque la porte derrière toi. Quelques minutes après tu entends la porte s'ouvrir et se refermer. Tu marches dans le salon et avance jusqu'à la cheminée, enlève ton manteau et tend tes mains près de la cheminée pour te réchauffer. Il fait si chaud ici et tu as si froid que ça te fait autant de bien que de mal. Tu frottes tes mains quand tu sens des mains se déposer autour de ta taille et des lèvres se déposer dans ton cou pour y déposer un baiser avant qu'un murmure ne s'échappe.
Luke : Tu es gelée mais ne t'en fais pas...je vais te réchauffer.
Tu ne protestes pas, ne dis rien. Tu es tout simplement paralysée par le froid et par le fait qu'il se trouve si proche de toi. Même lorsque tu es en colère contre lui, tu ne peux t'empêcher d'être sous son contrôle. Il te perturbe, te déstabilise malgré que tu lui en veux. Le savoir si proche de toi, te fais perdre tes moyens et tu détestes ça. Enfin en partie car c'est toujours agréable de se laisser aller. Tu sens ses mains monter puis descendre le long de tes hanches pendant que ses lèvres voyage sur ta nuque. Tu tournes la tête sur le côté, te cambrant au rythme de ses lèvres sur ta nuque. Il remonte sa main et fais glisser une bretelle de ta robe puis la deuxième. Il glisse son autre main dans ton dos pour défaire la fermeture éclaire tout en continuant de t'embrasser. Quelques secondes plus tard ta robe glisse le long de ton corps pour atterrir sur le sol. Tu te retournes alors, pour être face à lui. Il s'écarte un peu et t'observe, un sourire satisfait aux lèvres.
Toi : On ne couchera pas ensemble Luke.
Luke : Tu ne peux pas me laisser comme ça ! Pas dans...cet état...
Toi : Tu as deux mains n'est-ce pas ? Sers-toi en !
Luke : Pourquoi est-ce que je me servirais de mes mains alors que tu es à ma disposition et sois-disant passant, tu es mille fois plus douée.
Toi : Sauf que je ne te toucherais pas et toi tu ne me toucheras pas.
Luke : C'est pourtant déjà ce que j'ai commencer à faire. Puis, tu vas commencer à avoir froid dans cette tenue. Ça serait vraiment dommage.
Toi : A qui la faute hein ? Bon va chez ta mère et laisse-moi tranquille.
Tu t'abaisses pour ramasser ta robe, prête à la remettre mais Luke en décide autrement et t'attrape par le bras pour te coller à lui et te plaque violemment contre un mur. Tu sens une forte pression dans ton dos alors il s'écarte un peu pour ne pas te faire d'avantage mal. Il recommence à faire descendre ses mains sur ton corps quasiment nu à présent, il le caresse de la paume de la main, il effleure avec la plus grande douceur du monde. Il se mord la lèvre en mordillant son piercing en te regardant dans les yeux, tu te sens une nouvelle fois paralysée par son regard si hypnotisant et si sensuel. Tu avales difficilement ta salive et le laisse poursuivre sans protestation. Tu aimes trop ce qu'il est en train de faire pour lui dire d'arrêter. Luke te connait par coeur, il connait tes points faibles et...
Toi : {gémissant} Aaaaahhhh ... Arrête ça Luke !
Luke : {chuchotant} Tu n'as pas envie que j'arrête...
Toi : Si...si tu dois...arrêter...maintenant...
Luke : Pourquoi gémis-tu si tu n'aimes pas ce que je fais ?
Toi : E...éloigne-toi...s'il te plaît....
Luke : Toi aussi tu as envie qu'on aille plus loin.
Toi : Non !
Luke : {chuchotant à ton oreille} Prouve-le.
Il chuchote cela et s'éloigne de toi pour te libérer de son emprise. Tu es surprise par son geste, tu ne comprends pas ce qu'il voulait dire par "prouve-le" il se mord une nouvelle fois la lèvre puis se met à sourire en enlevant son pull, ainsi que son pantalon. Te laissant admirer son corps sculpter à la perfection, ce corps que tu connais dans les moindres détails, ce corps que tu désires tant malgré ce que tu dis. Tu essaies de te ressaisir mais tu as beaucoup de mal face à lui et son corps si peu vêtu. Tu dois te l'avouer, toi aussi tu as autant envie de lui que lui, toi aussi tu sens l'excitation monter en toi. Vous êtes seuls, vous avez la maison rien que pour vous, vous êtes tout les deux en sous-vêtements alors pourquoi ne pas en profiter ? Tu fermes les yeux et essaie de résister mais c'est beaucoup trop dur. Pourquoi s'imposer une telle torture quand c'est si simple de lâcher prise et de se laisser glisser vers le plaisir ? Tu te mords la lèvre et dans un pas rapide vers lui tu enroules tes bras autour de sa nuque pour l'embrasser à pleine bouche. Il enroule ses bras autour de ta taille et te fais avancer en marche arrière pour te faire brusquement tomber sur le canapé et se mettre à la califourchon sur toi. Il sépare vos bouches l'espace d'un instant, instant que tu trouves trop long à ton goût car tu saisis sa tête pour t'emparer de nouveau de sa bouche mais celui-ci refuse d'ouvrir la bouche pour renouveler l'opération.
Luke : Hum hum, minute papillon. Pas si vite.
Toi : A quoi tu joues Luke ?
Luke : Alors finalement t'en a envie ?
Toi : C'est pas ce que tu voulais ?
Luke : Je suis plus trop sûr en fait...
Toi : Attends, tu te moques de moi là j'espère ?
Tu le regardes d'un air incrédule, ne comprenant pas à quel petit jeu il joue. Il se penche vers toi et te murmure sensuellement à l'oreille.
Luke : Je vais te faire monter au septième ciel bébé....
Tu fermes les yeux et murmure à ton tour à son oreille.
Toi : Alors arrête un peu de parler et passe à l'action.
Il rigole et tu t'attends à ce qu'il dépose de nouveau ses lèvres sur les tiennes mais au lieu de ça, il descend un peu et commence à embrasser ta poitrine puis descend lentement à ton ventre pour l'embrasser. Il arrive au niveau de ta petite culotte et agrippe doucement ses dents contre la dentelle pour la tirer le long de tes cuisses. Il la fait voler à l'autre bout de la pièce et revient pour se débarrasser à présent de ton soutien-à-gorge dans la même douceur et une main experte. Tu ne peux t'empêcher de te cambrer face au plaisir qu'il te procure et il le remarque aussitôt car il se met à sourire de plus belle et a accélérer le rythme de ses baisers. Tu décides que c'est beaucoup trop lent pour toi et prend le contrôle. Tu le pousses pour le faire tomber sur la moquette à côté du canapé et te place sur lui pour le débarrasser de son caleçon à ton tour. Tu descends lentement à son caleçon en déposant des baisers sur son torse, son ventre. Tu t'arrêtes quelques instants et regarde à quel point il est excité par toi et qu'il apprécie ce que tu lui fais car son pénis ne demande qu'une chose, sortir d'ici au plus vite. Louis lâche quelques gémissements et s'agrippe au tapis lorsqu'il sent tes lèvres se déposer sur son sexe, il n'a même pas senti le moment où tu lui a enlever son caleçon.
Luke : Oh putain....oh...putaiiiin....bébé fais pas ça....
Toi : ........
Luke : Oh si, vas-y continue....con...continue....
Toi : .......
Luke : Plus....plus bas...Oui ! Oui comme ça !
Toi : ........
Luke : Oh putain...de sa mère ! Oooooh !
Il attrape un coussin se trouvant sur le canapé et l'écrase sur sa tête pour étouffer à l'intérieur ses gémissements de plaisir. Il te laisse faire, étouffant ses cris dans le coussin et se cambrant à chaque vas-et-viens de ta bouche contre son sexe, jusqu'à ce qu'il atteigne l'orgasme et se libère. Tu retires ta bouche de son sexe en t'essuyant la bouche, fière d'avoir réussi à atteindre le but que tu t'étais fixée. Toi tu n'es peut-être pas monter au septième ciel mais lui oui. Tu te relèves et regarde Luke, toujours la tête étouffée sous le coussin. Tu vas dans la cuisine et te serre un verre d'eau quand tu sens de nouveau deux mains se poser sur tes hanches, tu te retournes et Luke te soulève pour t'asseoir sur le plan de travail.
Luke : Je t'ai promis le septième ciel, alors attention au décollage. C'est parti !
Tu enroules tes jambes autour de sa taille et Luke plaque ses lèvres contre les tiennes pour laisser vos langues combattre ensemble le temps qu'il vous conduise jusqu'à sa chambre. Il te laisse tomber en douceur sur son lit et contemple un instant ton corps nu avant d'attraper quelque chose dans sa table de chevet, tu le vois se redresser un peu et enfiler en vitesse une capote. Il revient vers toi et t'embrasse sur les lèvres, dans la nuque, sur la poitrine, sur le ventre et finit par revenir à tes lèvres pour t'embrasser avec une telle fougue que ça t'en fais tourner la tête. Tu manques de le mordre et plante tes ongles dans son dos lorsque tu le sens te pénétrer. Il y va en douceur mais ça ne passe jamais inaperçu lorsqu'il te pénètre. Il sépare vos bouches et tu lâches un gémissement que pourrait alerter les voisins si il en avait.
Toi : Oh putain Luke !
Luke : Prête au décollage ?
Toi : Je...Oh bon sang !
Louis : Veuillez bien attacher votre ceinture, bienvenue à bord du Lukonda. Nous sommes prêts pour un voyage au septième ciel.
Tu plantes encore plus tes ongles dans son dos quand tu le sens faire des vas-et-viens en toi, d'abord tout en douceur puis il commence à accélérer le rythme petit à petit. Sa cadence devient de plus en plus rapide et tu ne peux pas t'empêcher d'exprimer ton plaisir à voix haut.
Toi : Il faut...va plus vite. Va plus vite !
Luke : A vos ordres mademoiselle.
Luke s'exécute et accélère encore un peu plus le rythme et tu sens que ça arrive, tu le sens très bien. Le plaisir augmente, encore, encore, encore. Tu t'agrippes au drap et serre de toutes tes forces jusqu'à ce que tu atteignes l'orgasme. Tu relâches toute la pression et lâche un petit cri en continue, relâchant tes muscles qui s'était crisper. Luke ralenti le rythme car il voit qu'il a réussi son coup et se penche à côté de ton oreille.
Luke : Je t'avais promis le septième ciel bébé.
Toi : Joyeux Noël Hemmings