BALLERINA

By freeasart

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Angelina Carter et Hayden Reed n'ont en apparence rien en commun, si ce n'est une détermination farouche à ré... More

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By freeasart




— A —

Hayden Reed vient de m'embrasser ! Mon cerveau est sur la même information en boucle depuis que j'ai franchi les portes de l'ascenseur. À tel point que je mets un moment avant de comprendre que la voix qui provient du salon est celle de la vipère elle-même. Je jette un coup d'œil à Monsieur bleu acier dont les mâchoires se contractent au maximum. Pour ma part, je trouve que c'est une bonne chose. Plutôt que de passer par quatre chemins, je vais les confronter et leur poser la question directement pour en avoir le cœur net une bonne fois pour toutes. Devant la principale intéressée, s'il se passe quelque chose entre eux, il ne pourra pas...

— Stella, Mademoiselle Carter. Mademoiselle Carter, ma sœur Stella.

Quoi? Je m'arrête si brutalement que nos pieds s'entremêlent et que nous manquons de peu de finir au sol tous les deux.

— Angelina, gronde-t-il.

— Oh, nous avons eu le loisir de faire plus ample connaissance après notre rencontre dans ton bureau, sourit-elle faussement.

Je ne sais pas quoi dire. Cette nouvelle me coupe littéralement le sifflet. Sa sœur! Tous les scénarii bizarres que je me suis faits me sautent aux yeux et j'ai soudainement envie de rire. Je me garde bien de le faire car la tension est à son comble dans la pièce. Quelque chose me titille néanmoins l'esprit. Pourquoi a-t-elle ce comportement curieux à mon égard si c'est sa sœur ? La vipère se lève de façon presque féline et s'avance lentement vers nous. J'en profite pour la détailler de la tête aux pieds. Juchée sur des talons vertigineux, dans un ensemble vert pâle, elle est tout simplement magnifique. Pour autant, elle ne ressemble pas plus que ça à Monsieur bleu acier. Sa beauté est plus froide, plus contenue. Leur prestance est leur seul point commun et ça c'est indéniable maintenant qu'ils se tiennent l'un près de l'autre.

— Ton jouet aurait-il perdu toute notion de politesse ?

Jolie, mais si cruelle... Quel gâchis !

— Non, cependant mes parents m'ont enseigné qu'être hypocrite ce n'était pas très civilisé. Et puisque je n'ai aucunement l'envie de m'entretenir avec vous, nous devrions éviter les conversations usuelles qui ne nous mèneront donc à rien.

Je ne sais pas où j'ai trouvé la fougue pour lui répondre de la sorte, mais cela ne lui fait ni chaud ni froid et elle éclate d'un rire faux.

— Je me demande bien où tu l'as déniché celle-ci.

— Stella ! s'agace Monsieur bleu acier.

— D'accord, d'accord, fait-elle en levant les mains.

Le tintement de ses bracelets m'énerve plus que de raison. C'est fou comme il n'y a aucune once de bienveillance en elle. Elle paraît mauvaise jusqu'au bout de ses ongles parfaitement manucurés aujourd'hui encore.

— Que veux-tu, Stella ?

— Parler en privé.

— Je suis occupé comme tu peux le voir.

— C'est à propos d'Aaron.

Monsieur bleu acier garde le silence, mais à la façon dont il serre les poings le long de son corps, je comprends que quelque chose ne va pas. La vipère replace ses cheveux derrière son épaule et croise les bras sur sa poitrine comme pour le défier.

— Je t'avais dit que c'était un sujet privé.

— Dehors.

— Je te demande pardon ?

— J'ai dit dehors, répète-t-il les mâchoires contractées au maximum.

— Bien. Très mature comme chaque fois. Puisque tu es occupé, je ne vais pas m'étaler sur le sujet, mais sache juste qu'il est dans la voiture et qu'il ne demande qu'à monter un moment. J'entends que tu ne veuilles plus avoir affaire à lui, mais tu ne pourras pas l'éviter ad vitam æternam.

— Regarde-moi faire alors.

Il la contourne sans ménagement et me laisse planté là. Je reste sur place, sans vraiment savoir quoi faire de mon propre corps. Je me retrouve au milieu d'un drame familial qui ne me regarde en rien et cette situation n'en est que plus gênante.

— Vous devriez partir, me conseille-t-elle avant de s'en aller elle-même.

Monsieur bleu acier se dirige vers son bar et sert deux verres. Il en pose un à mon attention sur la table basse avant de déboutonner le haut de sa chemise. Malgré la distance, je sens la colère qui gronde en lui. Ses respirations se font de plus en plus brusques jusqu'à ce qu'il arrive à son point de rupture et qu'il jette son verre contre le mur le plus proche. Il le fait avec tant de hargne qu'il éclate brutalement et que les débris s'envolent aux quatre coins du salon. La violence du geste me glace le sang.

— Monsieur ? demande timidement une voix depuis la cuisine.

— Je n'ai pas besoin de vous  !

Il aboie sur elle avec une telle force que j'en frissonne. Monsieur bleu ouragan s'assied dans l'un des fauteuils et je réalise que je n'ai peut-être pas aussi bien cerné le personnage que je le pensais. Qu'est-il arrivé au leader invétéré de la maîtrise de soi  ?

— Vous devriez partir, lâche-t-il froidement sans même me regarder.

Je perçois sans mal la mise en garde dans sa voix alors je tourne les talons sans demander mon reste et je m'en vais. Il n'esquisse pas le moindre mouvement et je me retrouve à l'extérieur de son bâtiment en moins de temps qu'il ne faut pour le dire. Mon téléphone sonne dans la seconde et je reconnais le numéro qui n'est pourtant pas enregistré dans mon répertoire. Je décide de prendre l'appel sans solliciter les derniers neurones qui veulent encore fonctionner.

— Monte.

Elle coupe la communication avant que je ne puisse lui répondre. Qu'ont-ils tous chez les Reed à être aussi autoritaires ? Je fais quelques pas et elle me fait signe depuis la fenêtre arrière d'un véhicule. Je m'y engouffre rapidement et nous nous engageons dans la circulation.

— Merci, lâche-t-elle brusquement.

Je suis surprise qu'elle ne s'étouffe pas en prononçant ce mot.

— Tu as l'air d'une personne charmante, mais Hayden n'est pas fait pour toi.

— J'ai bien compris que je n'étais rien face au grand Hayden Reed.

— À quel moment ai-je avancé de pareils propos ?

Elle marque un point. Elle n'a effectivement jamais dit une telle chose. Je l'ai naturellement supposé à cause de la façon dont elle m'a traité.

— Tu sais que tu me donnes beaucoup de fil à retordre.

— Ravie de l'entendre.

— Angelina, dans cette histoire, ce n'est pas lui que j'essaie de protéger mais toi.

— Vous avez une étrange manière de le faire. Vous en conviendrez.

— Dis-moi, pourquoi as-tu quitté l'appartement de mon frère au galop après mon départ ? Je suppose que ce n'était pas à la suite de mon conseil.

Je ne réponds pas et cela doit lui fournir la preuve qu'elle espérait car elle poursuit sans attendre.

— Hayden n'est pas fait du même bois que les hommes de sa trempe. C'est une terrible idée de se frotter à lui. Évite de te parer de ta jalousie mal placée et crois-moi lorsque je te dis que tu t'engages dans quelque chose dont tu ne mesures pas la portée.

— Stella, ne vous méprenez pas. Ce n'est pas parce que je ne parle pas beaucoup que je suis docile pour autant. Je ne vous permets pas de vous immiscer de telle sorte dans ma vie.

— Quelle impertinence ! Ce n'est pas uniquement la tienne, mais celle de Hayden également et ce qui est en train de se passer ne présage rien de bon.

— Votre frère est un adulte. Je pense qu'il peut gérer sa vie comme il l'entend.

— Tu ne comprends pas. Hayden peut devenir obsessionnel lorsqu'il souhaite quelque chose. Obsessionnel à un point qui pourrait vite te terrifier. Malgré cette carapace que tu t'obstines à brandir, tu es faible et sans défense face à lui. Mon frère te brisera en mille morceaux sans sourciller et avant même qu'il ne se rende compte de son comportement, tes proches devront te ramasser à la petite cuillère.

— Et vous me dites tout ceci par pure bonté d'âme, je présume.

— Je comprends aisément que le pouvoir et l'argent sont des choses qui peuvent sembler attrayantes, mais ce n'est que de la poudre aux yeux.

— Je vous demande pardon ? je m'indigne. Femme faible ayant ciblé un puissant patron d'entreprise, est-ce là l'image que vous avez de moi ?

Décidément, c'est l'une des pires nuits de mon existence. Il n'y a pas une seule personne qui ne m'a pas fait me sentir telle qu'une moins que rien ce soir.

— J'aime mon frère et je pourrai donner ma vie pour lui sans réfléchir, mais ce n'est pas un homme bon. Il n'est pas prêt pour une femme comme toi et je suis intimement convaincue que tu n'es pas faite pour un homme tel que lui.

J'adorerais répondre quelque chose de piquant, mais c'est sa sœur après tout. Elle le côtoie depuis leur naissance alors que je ne l'ai rencontré que depuis quelques mois et nous n'avons jamais rien échangé sur nos vies. La vipère a sans doute raison... Le passager avant se racle la gorge et je me rends compte que nous ne sommes pas seules avec son chauffeur. J'en déduis qu'il s'agit du fameux Aaron et ma petite voix me siffle que je ne devrais probablement pas me retrouver en leur présence.

«Où êtes-vous?»

Qu'est-ce que cela peut bien lui faire ? C'est lui qui m'a demandé de quitter son appartement. Mon téléphone sonne, mais je l'envoie directement sur messagerie. Je ne suis pas à sa disposition et je n'ai aucune envie de discuter avec un homme qui m'a éconduit aussi brutalement.

— Je t'ennuie Angelina  ?

— Pas le moins du monde, mais j'ai écouté votre opinion sur le sujet. Qu'y a-t-il de plus à dire ? Vous n'avez pas encore répandu tout le venin que vous aviez en réserve ?

J'entends un gloussement à l'avant de l'habitacle mais je ne peux pas dire s'il provient du chauffeur ou du passager.

— Comment diable fait-il pour te supporter ?

Je me retiens bien de lui rétorquer qu'il a dû avoir de l'entrainement avec elle. La dernière chose que je souhaite c'est de me retrouver seule en pleine nuit sans mes effets personnels qui sont restés au Convivium. Je décide donc de me taire jusque'à ce que nous arrivions au pied de mon immeuble.

— Merci pour le trajet. Adieu Stella.

— Un instant, fait-elle.

Elle ouvre sa portière et descend du véhicule avec la même nonchalance que celle de son frère pour venir me rejoindre. Elle est si belle que c'en est troublant.

— Ne te laisse pas subjuguer par les paroles séduisantes de mon petit frère. C'est un art dans lequel il peut vite exceller.

— Comme vous êtes charmante à son égard.

— Ne te méprends pas sur mes intentions, Hayden...

— Stella, je l'interromps. Je pense être suffisamment âgée pour décider moi-même de mes actes. Vous avez joué vos cartes et votre donne n'était pas celle gagnante. Acceptez cette défaite et laissez votre frère faire ses propres choix.

— Hum... Crois-tu sincèrement que je les aie toutes jouées  ?

— Je n'ai pas le temps pour ce genre de...

— La Juilliard te tient-elle réellement à cœur ?

Ma respiration se bloque dans ma gorge et ironiquement j'ai l'impression que mon monde s'effondre brutalement comme un château de cartes sur lequel elle viendrait de souffler.

— Comment ? j'articule difficilement.

— Je ne pense pas avoir besoin de me répéter, mais voici une nouvelle information que je t'invite fortement à retenir. Avec les sommes colossales que notre fond financier verse à leur institution, je n'userais pas beaucoup de salive pour les persuader de se passer d'une jeune serveuse de bas étage.

Je reste là les bras ballants devant elle, sans pouvoir réagir. Elle a touché la corde la plus sensible de mon arc. Comment est-elle au courant pour la Juilliard  ?

— Bien. Le message semble enfin clair. Bonne soirée Angelina.

Je n'arrive plus à bouger et je suis tétanisée par une peur irrationnelle. J'aimerais trouver le courage de répondre quelque chose d'acerbe, mais rien ne veut sortir, je suis quasiment inerte. Les larmes me monter aux yeux, mais je les refoule car je ne souhaite pas lui faire ce plaisir. Je ne suis pas triste, mais en colère. Je laisse une rage sourde m'enflammer progressivement tandis que la voiture disparaît au coin de la rue. C'est à cause de personnes de leur rang, qui peuvent obtenir en un claquement de doigts toutes les choses qu'ils désirent, que des gens tels que moi se tuent à la tâche. Lorsque je suis certaine qu'elle ne peut plus me voir, je m'effondre au sol. Rien que le fait d'imaginer qu'elle a le pouvoir et les moyens de mettre à exécution sa menace m'a anéantie. J'ai failli laisser glisser mon rêve entre mes mains...

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