PHŒNIX

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Il a suffi d'un regard à Isaac Miller pour tomber sous le charme de Lev. Rongé par la timidité, il n'a jamais... Mai multe

PHŒNIX
INTRODUCTION
PROLOGUE - ISAAC
CHAPITRE 1 - LEV
CHAPITRE 2 - ISAAC
CHAPITRE 3 - LEV
CHAPITRE 4 - ISAAC
CHAPITRE 5 - LEV
CHAPITRE 6 - ISAAC
CHAPITRE 7 - LEV
CHAPITRE 8 - ISAAC
CHAPITRE 9 - LEV
CHAPITRE 10 - ISAAC
CHAPITRE 11 - LEV
CHAPITRE 12 - ISAAC
CHAPITRE 13 - LEV
CHAPITRE 14 - ISAAC
CHAPITRE 15 - LEV
CHAPITRE 16 - ISAAC
CHAPITRE 17 - LEV
CHAPITRE 18 - ISAAC
CHAPITRE 19 - LEV
CHAPITRE 20 - ISAAC
CHAPITRE 21 - LEV
CHAPITRE 22 - ISAAC
CHAPITRE 24 - ISAAC
CHAPITRE 25 - LEV
CHAPITRE 26 - ISAAC
CHAPITRE 27 - LEV
CHAPITRE 28 - ISAAC
CHAPITRE 29 - LEV
CHAPITRE 30 - ISAAC
CHAPITRE 31 - LEV
CHAPITRE 32 - ISAAC
CHAPITRE 33 - LEV
CHAPITRE 34 - ISAAC
CHAPITRE 35 - LEV

CHAPITRE 23 - LEV

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De elosbooks_

    Le lendemain matin, Isaac et moi nous sommes réveillés plutôt tard. C'est à dire vers midi, alors nous étions en retard pour tout le programme que j'avais organisé. Alors je l'ai poussé de mon lit pour qu'il tombe parce que monsieur ne voulait pas se réveiller. Ensuite, on s'est tous les deux rétamés à cause de nos habits qui traînaient par terre. Bizarrement, l'eau ne voulait pas devenir chaude et j'ai du me nettoyer le visage à l'eau gelée. Ça aussi, ça m'a mise de mauvaise humeur. Mais je crois que le pire du pire, c'était de voir Sam et Karl s'embrasser. Bon, ce n'est pas un scoop qu'ils sortent ensemble et qu'ils sont mariés mais j'étais choquée de leur roulage de pelle. Heureusement ils sont vite partis faire leur boulot.

    — Isaac t'es prêt ? J'ai faim ! me plains-je comme une gamine.

    Il arrive deux minutes plus tard et visse sa casquette sur sa tête. Nous nous retrouvons dans le brouhaha de New York. Beaucoup le détestent, pourtant je l'adore. Il me permet de ne pas me sentir seule au milieu de tout ce beau monde. Pourtant j'adore les endroits calmes, mais New York a quelque chose de spécial, outre la pollution.

    — Je t'emmène chez Junior's, c'est les meilleurs cheesecakes de la ville. Tu viens ?
    — Tu sais que je dois faire attention à conserver ces beaux muscles ?
    — Allez ! Ça peut pas faire de mal !

    Il rit et nous voilà en direction de Broadway. J'ai prévu pas mal de trucs pour ce week-end, des que j'ai eu son feu vert j'ai tout prévu. Et j'ai fait jouer mes relations (ou plutôt celles de mon père) pour lui faire une petite surprise. Après quelques minutes de marche, nous voilà arrivés au dinner. Je décide de prendre un bagel et un cheesecake à la fraise tandis que lui prend un repas super protéiné. Entre du bacon, des œufs et des petites patates. Mais je le connais, ce gourmand, il résistera pas quand il verra mon cheesecake du bonheur. Vers la fin du repas, avant qu'on m'apporte mon cheesecake, je sors une enveloppe de mon sac.

    — Qu'est ce que c'est ? me demande Isaac.
    — Ouvre !

    Je suis toute excitée à l'idée qu'il voit mon cadeau. Il sort de l'enveloppe deux places pour le match des New York Islanders à l'UBS arena, aujourd'hui à quatorze heures.

    — Quoi ? je demande.
    — T'es... on va voir un match de NHL ? s'exclame-t-il comme un gosse.
    — Il se pourrait...

    Il saute de sa chaise sous le regard étonné des gens autour de nous et m'enlace en embrassant mon front.

    — Merci.

    Et je crois que c'est le merci le plus sincère que je n'ai jamais entendu.

    — Je ne suis jamais allé voir un match de NHL, ce qui est étonnant quand on sait que mon rêve est de jouer pour de vrai dans un match de NHL, bon sang, c'est incroyable !

    Nous commençons alors à discuter de son rêve de devenir joueur professionnel. Même si je sais qu'ai fond c'est pour essayer d'aider ses parents à sortir de la misère et ses factures. Mon cœur se serre à l'idée que le sien souffre depuis tout ce temps. Lui qui est si attentionné et aimant avec les autres il cache une plaie plus profonde en réalité. Et ça me fait penser à la nuit dernière. Je n'avais jamais pensé à la probabilité de ce qu'il m'a dit. La probabilité que si mon père ne me regarde plus dans les yeux c'est... pour ma ressemblance.

En réalité, je fais tout pour ne pas regarder les photos, quitte à oublier son visage. Mais il me hante jour et nuit, son visage plein de sang et de larmes. Je secoue la tête pour ne plus y penser et me reconnecter à l'instant présent. Isaac passe son temps à me remercier et j'ai envie de lui foutre des baffes parce qu'il le mérite. C'est sûrement l'homme qui a le plus de mérite que je connaisse, avec Maverick.

    — Il faut que j'appelle les gars !
    — Fais toi plaisir, je dis en attrapant un bout de cheesecake dans ma cuillère.

    Je pousse un gémissement pendant qu'il me fait les gros yeux, sûrement à cause de ce dernier.

    — Les gars, je vais voir les Islanders contre les Canucks !
    — On sait, disent Maverick et T.K en cœur. Lev nous a demandé ton équipe préférée et le week-end est bien tombé.
    — Et vous me l'avez caché ? J'y crois pas !

    Ils se chamaillent et ça me fait bien rire. Cependant si nous partons pas maintenant nous risquons de ne pas voir le fameux match. Je force Isaac à raccrocher avec ses meilleurs amis et lui prends la mains. Je règle le déjeuner au comptoir et, une fois sortis, je hele un de ces taxis jaunes. La New Yorkaise en moi est contente du premier coup ! (Ça aurait été la honte devant Isaac si personne ne s'était arrêté directement). Une heure plus tard nous arrivons devant la patinoire.

    — Oh pétard ! L'UBS Arena j'y crois pas !
    — Eh, le touriste, une photo ?

    Je sors mon téléphone qu'il m'arrache des mains. Puis il me tire à lui par la taille et pose sa casquette des Islanders sur mon crâne.

    — Souris.

    Et c'est ce que je fais. Je l'écoute au doigt et à l'œil avant qu'il récupère sa casquette et prenne un autre selfie de nous deux. C'est dingue, comme la relation a changé du tout au tout. Et même si le prétexte est un faux couple, je crois que lui comme moi nous rendons compte que nous agissons comme le ferait deux amis.

    Nous rentrons dans la patinoire et direction les loges VIP. Mon père est un homme d'affaire et connaît beaucoup d'agent sportifs et de recruteurs de tous les horizons. Le rapport ? Monsieur McAlister et ses entreprises génèrent du profit par de nombreuses sociétés, dont des équipements sportifs, des boissons protéines et autres choses un peu nulles pour vous. Ah, et il gère aussi des entreprises de prêt à porter pour homme, ce qui le met en contact avec des agents sportifs de renom.     Et chose que je n'ai pas encore dite à Isaac : plusieurs recruteurs de NHL seront là, c'est une des raisons pour lesquelles je le voulais lui, avec moi. Pour lui donner la chance qu'il mérite.

    Une fois dans les loges vitrées, nous attendons patiemment que le match commence, et l'ambiance de la patinoire a tout et rien avoir avec celle de l'université. Les festivités sont là mais il y a tellement plus de monde. L'animosité aussi est au rendez vous, peut être même plus que chez nous. Mais bon, c'est tout de même agréable à regarder, surtout les hockeyeurs sexy. Même si le plus sexy se trouve juste devant moi, dans cette loge. Et je ne me prive pas de le mater.

***

    Les Islanders ont perdu, à pas beaucoup de points, juste un, en troisième période c'était foutu. Cependant, cela demeure un très beau match, même si Isaac est tout de même déçu.

    — Fallait s'en douter, ils perdent souvent.
    — Non ! Mais je suis deg que l'équipe locale a perdu alors que j'étais là !

    J'éclate de rire.

    — Ils vont gagner pour le grand Isaac Miller ?
    — Ouais, parce que je le mérite, dit il en tirant la langue.
    — Très mature, Miller.

    Il pince ma taille sans se stopper alors je capitule et lève les mains en l'air. Il a gagné cet idiot, mais j'aurai ma revanche sur le degré de maturité d'Isaac.

    — Bon, on doit vite retourner au penthouse le temps de manger et de se préparer.

    Nous rentrons à la maison, mais j'ai dormi tout le long du trajet alors c'est Isaac qui me réveille. Dire « à la maison » me fait bizarre. C'est censé être un lieu de réconfort, un lieu où l'on se réfugie lorsqu'on est pas bien. Mais ce lieu c'est la colocation désormais, il se pourrait même que ce soit Isaac. Le penthouse n'a jamais vraiment été un endroit réconfortant, surtout après la mort de ma mère. Je ne voyais plus rien d'autre que son fantôme. Et j'en veux à mon père de ne pas avoir déménagé égoïstement, d'être resté ici pour rester au plus proche de sa femme. Je crois que je lui en aurais aussi voulu d'être parti, j'en voulais à la Terre entière.

    Nous mangeons un petit bout puis allons se doucher chacun son tour. Une fois faite, je prends mes bandes de cire et me place sur le lit. Puis je commence à m'épiler sous l'œil attentif d'Isaac.

    — Dieu merci mes sœurs n'ont pas encore l'âge de ces conneries.
    — Quoi ? Si elles veulent s'épiler c'est leur droit, et si elles veulent pas c'est aussi le leur.

    — Non, c'est pas ça le problème. Si elles se retrouvaient avec ça dans les mains elles voudraient jouer à la poupée avec moi. Quand je rentre, elles me maquillent tout le temps je suis leur cobaye.
    — Je veux voir ça ! je m'écrie en éclatant de rire.

    Et il me sort des photos de lui maquillé comme une princesse. Bon, pas très bien maquillé mais ça demeure mignon étant donné que ce sont ses sœurs qu'ils l'ont maquillé. Pendant cette distraction, je profite de récupérer une bande de cire et de la coller en travers du torse d'Isaac.

    — Lev !
    — Quoi ?
    — Tu vas me le payer!

    J'éclate d'un rire franc et commence à courir en serviette de bain dans tout le penthouse. Suivi d'Isaac qui me poursuit de près. Puis, je sens des mains agripper mes hanches et me tirer. Je suis alors projetée contre le torse d'Isaac, son souffle chaud contre la peau fine de mon cou. Mon cœur battant par milliers. Je sens les lèvres d'Isaac se poser contre mon oreille et je chuchote.

    — Il va bien falloir te l'enlever.
    — Tu trouves que j'ai trop de poils ? demande-t-il ironiquement parce qu'il n'en a presque pas pour mon plus grand bonheur.
    — Oui, alors qu'il n'en a presque pas.

    Puis, je me retrouve dans ses bras, portée comme une princesse. Il avance lentement dans ma chambre, ferme derrière lui et me jette sur mon lit avant de se poster sur moi. Je ne lui dis pas mais pendant ce lancé de Lev McAllister ma serviette s'est détachée par derrière. Le visage d'Isaac est à quelques centimètres du miens, et il faudrait que j'avance mon visage pour que nos lèvres se touchent. Mais je n'ai pas envie de faire le premier pas, pas cette fois. Je n'ai pas envie de donner ce pouvoir à un homme, même s'il s'agit d'Isaac. J'ai envie de me sentir désirée, pour une fois. Et à travers son regard, c'est ce que je ressens. Il me déstabilise, et me fait oublier toutes mes craintes. L'embrasser serai ne plus voir ce regard, car on désire quelque chose que l'on a pas. J'ai peur qu'après l'avoir embrassé, il ne me regarde plus comme il le fait. Alors, discrètement, je passe ma main sur son torse nu et récupère le bout de la bande de cire et tire ce qui lui arrache un cri.

    — Putain, Clochette !

    Je pince mes lèvres pour ne pas rire et le regarde comme une gamine qui vient de faire une bêtise. Cependant, c'est plus fort que moi et j'éclate de rire. Isaac se met à côté de moi et se tient le torse comme si on venait de lui arracher le cœur.

    — Pourquoi t'as fait ça ?

    Parce que t'allais m'embrasser.
    Parce que je ne pouvais pas te laisser faire.
    Parce que tu ne vas plus jamais me regarder comme tu le fais.
    Parce que tu seras déçu.

    Il y a beaucoup d'option donc je décide de hausser les épaules. En me tournant pour récupérer les bandes qui sont tombées par terre, je me rends compte que je n'avais pas rattaché ma serviette. Je tourne mon visage vers Isaac et son regard m'indique qu'il l'a vu.

    — Ne... n'en parles pas.
    — Promis.

    Il joint le geste à la parole et m'aider à nouer ma serviette.

    — On se prépare ? je dis en m'éclaircissant la voix.

    Isaac hoche la tête et quelques minutes plus tard je l'aide à fermer les boutons de sa chemise blanche. Il est beau à tomber dans cette tenue qui lui moule les épaules et ses muscles. Je ne peux m'empêcher de ressentir une pointe de jalousie en pensant à la femme qui partagera sa vie dans le futur. Parce que les hockeyeurs professionnels portent toujours des costumes avant les matchs. Merde mais pourquoi je pense à ça moi ?

    Je m'enferme un instant dans la salle de bains en essayant d'enfiler la robe que j'ai choisie. C'est une robe cloche à bretelles avec un corset, elle est verte et magnifique. Cependant, j'ai du mal à l'attacher.

    — Isaac ! Urgent !

    Il entre dans la salle de bains sans prévenir, et sourit en me voyant les bras ballants le long du corps, ma robe à moitié mise.

    — Tourne toi.

    Je fais ce qu'il me demande et pendant qu'il s'applique à la tâche de fermer ma robe, je l'observe dans le miroir en face. Je n'en reviens toujours pas qu'il ait vu mon dos et la cicatrice qui l'orne. Il a aussi du voir mon tatouage : je suis reconnaissante qu'il décide de ne pas aborder le sujet qui fâche.

    — Cette robe te va merveilleusement bien, dit il en remettant les bretelles fines sur mes épaules.
    — Merci, toi aussi t'es sexy dans ton costume.
    — J'ai pas dit que t'étais sexy.
    — Mais je le suis, non ? minaudé-je en montrant ma tenue.
    — Oui, tu le sais.

    Je claque un baiser sur sa joue et me tourne en sortant le maquillage de ma trousse. Je commence à faire un smokey noir et applique tous mes produits sur le visage, blush, bronzer. Tout.

    — Tu veux de l'aide ?

    Je lui tends ma brosse à cheveux et lui montre sur Pinterest la coiffure que j'ai choisie. Et il s'applique à la tâche pour que ma coiffure soit parfaite. Il plaque mes deux mèches de devant et brosse mes cheveux derrière pour un effet ondulé. Et à ma grande surprise il crêpe aussi la base de mes cheveux pour donner plus de volume.

    — Tu sais tout faire ! ris-je en appliquant mon rouge à lèvres.
    — Avec les gala de patinage de mes soeurs, j'ai l'habitude.
    — Oh, elles font du patinage artistique ?
    — Oui, j'ai essayé de les initier au hockey mais elles n'y arrivaient pas. J'essaye aussi de les gâter les plus possible. Les soins sont trop coûteux.
    — Malheureusement.

    Un moment de silence arrive, rapidement coupé par moi qui ne sait pas me taire quand il faut. J'ai besoin de me confesser sur un de mes rêves.

    — Je... J'aimerai créer une fondation pour venir en aide aux femmes atteintes de cancer du sein. C'est ce dont ma mère est morte et... ouais, j'aimerai vraiment les aider.
    — C'est un beau projet, valide Isaac. Ma mère aussi a un cancer du sein et je crois qu'elle a peur de ne plus se trouver suffisamment féminine.
    — Ouais, les gens ont toujours pas compris que la poitrine a pas pour but de plaire aux hommes, mais que c'est censé nourrir les enfants.
    — Ouais, elle n'a toujours pas eu de masectomie, elle a peur de l'après.
    — Comment ça ?
    — Tu sais, la chirurgie. Ou même simplement d'avoir une cicatrice.

    C'est la première fois qu'Isaac se confie autant sur la situation de sa mère, et ça me fait plaisir qu'il me le confie à moi. Je lui prends le peigne des mains et me tourne, le prenant par la taille.

    — Ma mère aussi avait peur mais... quand on a eu l'accident on allait à la dernière chimiothérapie. Elle a été diagnostiquée très tôt, donc ça a pu être pris en charge rapidement. Elle était censé avoir une mastectomie pour éviter que le cancer se propage parce que la chimiothérapie a réussi à faire régresser le cancer au premier stade. Elle allait être sauvée. Et si ta mère peut avoir cette... chance, il ne faut pas qu'elle la laisse passer.
    — Elle en est au troisième stade c'est....
    — Presque le dernier.

    Je pose ma tête contre lui et l'enlace pour le réconforter.

    — Mais elle s'en sort bien, c'est une battante. Elle y arrivera.
    — Elle s'appelle comment ?
    — Rose.
    — Deux fleurs, je dis en pensant automatiquement à ma mère.

    Il passe son bras autour de moi et m'enlace en embrassant le haut de mon crâne. Au même moment, mon père arrive dans ma chambre et nous cherche. Quand il nous trouve dans cette position et que je le regarde, ses yeux se baissent et, une nouvelle fois, il ne me regarde pas directement dans les yeux.

    — Vous êtes prêts ?
    — Oui, réponds Isaac en prenant ma main.

    Je récupère une petite pochette et les suis en mettant mes escarpins noirs. Si j'avais su que j'allais revoir mon pire cauchemar, je serais restée dans le Minnesota.

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