PHŒNIX

By elosbooks_

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Il a suffi d'un regard à Isaac Miller pour tomber sous le charme de Lev. Rongé par la timidité, il n'a jamais... More

PHŒNIX
INTRODUCTION
PROLOGUE - ISAAC
CHAPITRE 1 - LEV
CHAPITRE 2 - ISAAC
CHAPITRE 3 - LEV
CHAPITRE 4 - ISAAC
CHAPITRE 5 - LEV
CHAPITRE 6 - ISAAC
CHAPITRE 7 - LEV
CHAPITRE 8 - ISAAC
CHAPITRE 9 - LEV
CHAPITRE 10 - ISAAC
CHAPITRE 11 - LEV
CHAPITRE 12 - ISAAC
CHAPITRE 13 - LEV
CHAPITRE 14 - ISAAC
CHAPITRE 15 - LEV
CHAPITRE 16 - ISAAC
CHAPITRE 17 - LEV
CHAPITRE 18 - ISAAC
CHAPITRE 19 - LEV
CHAPITRE 21 - LEV
CHAPITRE 22 - ISAAC
CHAPITRE 23 - LEV
CHAPITRE 24 - ISAAC
CHAPITRE 25 - LEV
CHAPITRE 26 - ISAAC
CHAPITRE 27 - LEV
CHAPITRE 28 - ISAAC
CHAPITRE 29 - LEV
CHAPITRE 30 - ISAAC
CHAPITRE 31 - LEV
CHAPITRE 32 - ISAAC
CHAPITRE 33 - LEV
CHAPITRE 34 - ISAAC
CHAPITRE 35 - LEV

CHAPITRE 20 - ISAAC

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MUSIQUES
MAKE YOU MINE - MADISON BEER
LIVING ROOM FLOW - JHENÉ AIKO
HEARTBEAT - ISABEL LAROSA
——————

    C'est de la bave et des lechouilles sur le visage que je me réveille. Buck est sur mon lit, la langue sortie et me regarde comme si j'étais un extraterrestre. Je passe une main autour de son petit corps poilu et le caresse en essayant tant bien que mal de sortir de mon sommeil. Vérifiant l'heure sur mon réveil, je m'aperçois que j'ai encore pas mal de temps devant moi, mais que les besoins de ce petit être sont plus importants. Je décide donc de me lever et de sortir de mon lit, j'ouvre les volets puis ma porte avant de descendre. Il est seulement sept heures mais Lev est déjà debout, entrain de couper un concombre et du gingembre sur le plan de travail. Je passe la main dans mes cheveux et frotte mes yeux fatigués par le stress et le peu de sommeil que j'ai eu.

    — Bien dormi ? je demande.

    Elle lève son regard vers moi, et je ne peux m'empêcher de ressentir une vague de désir qui m'empare lorsqu'elle me reluque comme elle le fait. C'est à dire de haut en bas, s'attardant sur mon torse, puis mon visage. Et même si je trouve ça indescent de la reluquer moi aussi, je ne peux m'empêcher de laisser mon regard errer sur ses jambes nues et la pointe de ses seins à travers son t-shirt. Cependant, je me ressaisis vite et reporte mon attention sur son visage. Ce n'est peut être pas la meilleure des idées car mon cœur bat d'autant plus vite lorsque mes yeux se plantent dans les siens, et que je jette un coup d'œil au petit anneau de son nez.

    Je détourne le regard nous coupant de ce moment d'intimité.

    — Oui, elle répond.

    Au même instant, alors que je m'apprête à sortir Buck dans le jardin, je marche dans quelque chose qui s'apparente être une flaque... de pipi.

    — Putain, je marmonne.

    Lev éclate de rire en m'apportant de l'essuie tout et nous commençons à essuyer le pipi de Buck sur le sol en bois. Maverick va nous tuer s'il en prend connaissance. Alors mieux vaut ne rien dire, surtout lorsqu'on voit la bouille toute souriante de Buck. J'ouvre tout de même la baie vitrée pour le laisser sortir et faire ses besoins.

    — Tu voudras un smoothie ?
    — Je crois qu'il va m'en falloir un, si ça te dérange pas, je réponds. Je vais simplement chercher mon téléphone.

     Elle hoche la tête et je monte les marches trois par trois jusqu'à ma chambre. Je repère mon téléphone sur mon bureau avec des écouteurs et un petit mot. Ce dernier indique qu'il faut que j'aille dans le Dictaphone, et qu'elle n'est pas ma surprise de constater lorsque je clique sur « enregistrement CM1 » la voix de Lev.

    « — Cours de Lettres numéro un, lu par la meilleure fausse petite amie que tu n'as jamais eu »
Je clique sur tous les autres et les introductions sont variées, ce qui me fait rire. Elle en a, de la créativité et de l'imagination.

    « — Cours de Lettres numéro quatre, lu par le plus jolie rouquine que tu croiseras » dit elle sur le ton de la rigolade. Sauf qu'elle n'a pas tort, peut être qu'elle ne le sait pas, mais elle est vraiment la femme que je trouve la plus belle. Même si sa beauté ne s'arrête pas à son physique.

    « — Cours de Lettres numéro sept, lu par une fille qui commence à vraiment bien t'apprécier. Il se peut que je sois fatiguée et que je dise des conneries parfois » je ris en entendant sa voix et descends rapidement pour la remercier. Lorsque j'arrive, son verre est déjà vide et le mien est rempli, elle réapparaît quelques instants plus tard en grelottant et en ayant Buck dans les bras.

    — Je l'ai entendu aboyer, il voulait mordre le pauvre chat noir, dit elle toute triste

    Je m'approche d'elle et quand elle voit mon regard sérieux, elle repose la boule de poil de ses tourments et me regarde plus sérieusement.

    — Merci, pour les cours.

    En même temps je lui montre mon téléphone.

    — Oh, de rien, sourit-elle légèrement rougissante.
    — Tu n'étais pas obligée.
    — Je ne me suis pas sentie obligée. Je voulais juste t'aider.
    — Merci. Mais je sais pas si c'est une bonne idée.

    Son regard se voile d'une légère tristesse, avant qu'elle ne me demande la raison, je déclare.

    — Je vais devoir essayer de me concentrer sur autre chose que ta voix. Et ça, ça va pas être la plus facile des choses à faire.

    De légère rougeurs apparaissent sur ses taches de rousseurs, faisant ressortir le vert de ses yeux. Je passe un bras autour de sa taille et ramène son corps contre moi. Elle m'enlace à son tour et nous restons quelques secondes dans cette position. Secondes qui me paraissent être une éternité.

    — Merci, je murmure une nouvelle fois contre son front.

    Car elle n'a posé aucune question, qu'elle l'a fait sans rien attendre en retour. Parce qu'elle a compris mon besoin, mon trouble. Parce qu'elle ne me juge pas, qu'elle m'accepte comme je suis. Je la remercie pour être à mes côtés, même si nous faisons semblant. Car en ce moment, j'ai besoin de cette attention, bien qu'elle soit fausse. Je crois que cette marque d'amour aussi peu intense soit me fait du bien. Plus que je ne le voudrais et surtout que je pensais.

    — Je vais manger avec Brandi et Maya ce soir, m'informe Lev.
    — Ok, ça va te faire du bien de les voir.
    — Brandi ça fait longtemps, et Maya elle est encore entrain de dormir.

    Je souris alors qu'elle monte, sûrement pour se préparer et réveiller sa meilleure amie. J'ai l'impression que les prochains jours vont être longs. Il devient presque impossible de résister à la tentation qu'est Lev.

***

    En fin d'après midi, je rentre à la maison et remarque Lev qui court par tout.
    — T'as pris du Speedafon ? je demande quand elle passe près de moi.
    — Non, je cherche mon jean super beau, tu sais, celui qui me fait un super beau cul ? Je le trouve pas !

Je me retiens de lui dire qu'il est beau dans toutes les situations, mais soit, passons.

    — Et tu crois qu'il est dans la poubelle ? me moqué-je.

    Elle me lance un regard et si elle avait pu me tuer avec je serais déjà six pieds sous terre. Lorsque Buck me voit, il aboie et me sourit. Je lui donne les caresses qu'il veut puis monte déposer mes affaires dans ma chambre.

    — Tu veux de l'aide ? Il est comment ton jean ?

    Je suis obligé de demander parce que la voir courir dans la maison dans un tanga en dentelle est insupportable. Je commence à avoir des accès de jalousie : et si un des mecs arrivait ? Même si la n'est pas le sujet, ça m'énerverai qu'il la regarde comme ça.

    Lev me décrit rapidement son jean, il est comme tout les autres mais je ne lui dis pas, et je rentre dans sa chambre. Nous fouillons rapidement quelques minutes jusqu'à ce que je trouve un drôle d'objet, que je connais déjà.

    — T'as pas ton jean mais les menottes si ? Faudra vraiment que tu m'expliques à quoi elles te servent, ris-je en les agitant sous ses yeux.
    — Isaac, repose ça, ordonne-t-elle.

    Ne l'écoutant absolument pas, je m'assois sur le lit les jambes allongées, en accroche la menotte à mon poignet. C'était sans compter la détermination de Lev qui m'enjambe et me surplombe de son corps. Elle est assise sur moi. Dans un mouvement incontrôlable et surtout irréfléchi, je passe les menottes derrière un des barreaux de son lit et entoure son poignet de la seconde menotte.

    — Isaac, non, me dis pas que tu viens de nous accrocher aux barreaux de mon lit.
    — Oups, je m'excuse faussement.
    — Ce même lit qui est fixé au mur. Et ces mêmes menottes dont la clé est dans un tiroir à l'autre bout du lit.

    Elle me regarde comme si elle allait commettre un meurtre, et je ne comprends pas de suite. Quand les pièces s'assemblent et que l'engrenage se met en marche, ça fait tilt.

    — Oh, merde.
    — Ça tu l'as dit, idiot.

    Toujours assise sur moi, elle pose son front sur mon torse et pousse un cri de frustration qui se répand dans mon corps. Ce même corps qui commence à s'activer en imaginant Lev, nue sous son t-shirt. Et en tanga sur la partie la plus réactive. Eh merde.

    — Tu bandes ? elle demande outrageusement. Parce que c'est pas le moment, là
    — Non, dis-je un peu trop vite.
    — Tu vas pas m'apprendre à reconnaître une érection, souffle-t-elle.

    Pourtant, je vois que cette érection là perturbe bien plus qu'elle n'est censé. Ses joues se colorent de plus en plus, et son regard émeraude se rive au miens. Je peux entr'apercevoir tout son désir dans ses yeux si expressifs. Je décide, dans un élan, de poser mon index et mon majeur libres contre sa carotide pour mesurer son pouls. Pour voir si son cœur accélère les battements autant que le mien. Pour savoir si, elle aussi, sent que son cœur va sortir de sa cage. Parce qu'actuellement, c'est tout ce qui m'importe. Espérer que mon cœur n'explose pas de désir et d'envie pour cette femme qui est l'objet de mes tourments. De tous mes tourments. De cette femme qui me retourne le cerveau autant que le cœur. Elle est une des seules bonnes choses qui m'est arrivé depuis longtemps. Faire semblant de sortir avec elle est sûrement une de mes meilleures décisions. J'oublie tout. Le temps d'un instant, lorsque je suis avec elle, il n'y que son âme à laquelle je pense. Ma langue passe sur mes lèvres, asséchées par le désir que je ressens pour Lev.

    — Tu veux que je te dise quoi, Clochette ? Dis le moi, je murmure au bout des lèvres.
    — Que tu me désires autant que je te désire, avoue-t-elle. Que cette érection n'est pas apparue juste comme ça, elle est venue parce que tu me veux, moi.

    Je déglutis difficilement et pose ma main libre sur sa hanche, l'aidant avec ses mouvements ondulants sur mon corps. Ouais, je l'aide à se frotter à moi, et si elle a envie de me prendre pour son sextoy, grand bien lui fasse. Je ne dirais pas non, bien au contraire.

    — Je te désire, toi, Lev McAllister, je chuchote contre la peau de son menton.

    Je parcours de mes lèvres son cou et remonte presque jusqu'à ses lèvres sans pour autant les embrasser, ce qui fait rager Lev. Je ris intérieurement alors que je remarque de la frustration sur son visage. Pour tout dire, elle accentue ses mouvements, me faisant durcir un peu plus à chaque fois, elle soupire de plus en plus tout en ne me quittant absolument pas une seule fois du regard. Nous ne jouons à rien, aucune preuve de sexe, pas de pénétration, pas de sexe oral. Seulement une séance de frotti-frotta qui m'excite plus que je ne le voudrais.

    Cependant, un bruit sourd résonne par fracas dans le couloir, nous coupant de cette entrevue plus qu'excitante. Je passe tout de même ma langue sur mes lèvres et me recule. Lev remet une mèche de cheveux derrière son oreille et je l'entends soupirer avant de jurer. Et je n'ai pas le temps de plus réfléchir à ce qu'il vient de se passer que la porte s'ouvre sur Maverick.

    — Mav, tu tombes bien, dit Lev arrivant à masquer son trouble.

    En attendant, le mien est toujours visible à travers mon pantalon. Putain je suis aussi dur et rien n'y fera quelque chose pour réussir à me soulager à part peut être une douche froide. Maverick éclate de rire en nous voyant tous les deux.

    — J'ai besoin d'immortaliser ce moment !

    Il sort son téléphone de sa poche et se prend en selfie avec nous. Sur la photo, Lev et moi crions à Mav de ne pas nous prendre en photo.
    — Maverick ! T'as pas intérêt à faire ça ! Non ! Stop ! La honte !

    Je ne sais pas trop qui dit quoi, mais je sais qu'elle est autant énervée que moi. Sa moue rageuse sur la photo ferai presque craquer les gens si elle n'avait pas l'air d'avoir envie d'étriper quelqu'un.

    — Mav, on a besoin de toi pour nous aider, commence à expliquer Lev. Cet idiot nous a attaché alors que les clés de menottes sont dans le tiroir la bas, elle pointe du doigt une commode. Tu peux nous détacher s'il te plaît ?

    — Ouais pas de soucis. Mais avouez, vous vous êtes frottés ou un truc comme ça hein ? Sinon c'est pas drôle.
    — Ça. Te. Regarde. Pas, dis-je les dents serrées, rempli de frustration.
    — J'ai ma réponse. Je pensais que t'avais mis une ceinture de chasteté mais pas vraiment, en réalité.
    — Maverick tais toi et aides nous s'il te plaît, intervient Lev.

    Au bout de quelques minutes, Maverick nous envoie la clé et Lev commence à essayer de trouver le bonne angle pour que la clé entre. Elle souffle sur une mèche de cheveux qui passe sur ses yeux de nombreuses fois, mais au lieu de l'enlever avec sa main, elle s'obstine à souffler dessous, ou dessus voyez ça comme vous voulez.

    — Tu peux te dépêcher, j'ai un peu mal au bras, je dis.
    — Tu vas voir ce que je vais faire à ton bras, marmonne-t-elle.

    Sa mèche retombe toujours sur ses yeux alors avec mon index je la dégage de son joli visage. Je prends un peu plus de temps pour observer chaque petits détails de son visage. Ses taches de rousseurs, les cicatrices, les petites imperfections qui la rendent magnifique. Mais mon opération détail s'arrête ici car le « clic » des menottes se fait entendre, signe que nous sommes libérés. Lev ne perd pas de temps et se décale de l'autre côté du lit pendant que je me masse le poignet. Puis elle me pointe du doigt en prenant un jean au pif dans son tas de vêtement au slow.

    — T'as une dette envers moi, Miller.
    — Comment ça ? C'est toi qui m'a prit pour ton sextoy, m'offusqué-je faussement.
    — À cause de ton intelligence, pardi !

    — Ça dépend c'est quoi, la dette.
    — Mon père organise une réception à New York ce samedi. Il faut qu'on soit partis vendredi soir d'ici. Je sais que t'as rien de prévu, parce qu'il n'y a pas de match. Et tu travailles seulement dimanche soir.

    — Et mon but, ça serai quoi ?
    — Tu joues mon copain devant mon père, t'essayes de m'éviter la honte de me disputer une nouvelle fois avec lui, et tu portes un costume. Ah, et tu manges des petits fours à volonté, sourit-elle de manière adorable.
    — Ok, ça marche.

    Je n'ai pas hésité bien longtemps, mais je sais que passer du temps seul à seul avec elle sera pour le moins... exhalant. Puis, deux secondes plus tard, elle m'explique l'emploi du temps. Et je remarque que depuis le début elle avait tout prévu.

    — Tu avais prévu, ça ?
    — Je savais que t'allais dire oui. Tu ne dis jamais non.
    — Tu m'utilises ?
    — Non, je suis prévoyante.
    Voyant mon regard perplexe, une lueur d'inquiétude passe dans ses yeux et elle se rapproche de moi.
    — Je voulais pas que tu le prennes mal, en réalité j'aurai demandé à quelqu'un d'autre sinon mais je...
    — T'aurais demandé à une autre personne de jouer ton faux petit ami ?
    — Non, de m'accompagner ou de... je sais pas en fait.

    Je passe un bras autour de ses épaules et la serre contre moi afin de la rassurer qu'elle ne m'a pas vexé, juste étonné d'être aussi prévoyante. Je lui souris et elle me le rend en me montrant toutes ses dents. Puis, lorsque je la fixe un peu plus longtemps qu'à l'accoutumé, elle sort la langue comme une gamine à qui on aurait prit des bonbons. Et ce comportement suffit à me faire éclater de rire.

    — Je te dépose au restau ?
    — T'as besoin de ma voiture ?
    — Non, mais ça t'évite à toi de conduire, je sais que tu n'aimes pas ça.

    Lev se contente de hocher la tête. Je repars dans ma chambre, prends une douche froide et aussi longue que ma frustration et peu de temps après, je la dépose à son dîner tandis que je pars à la patinoire pour mon entraînement. Entraînement rempli de lassitude et d'insatisfaction, on se demande la faute à qui. Même si il y a un peu de la mienne dedans. Nous n'avons pas parlé de ce qu'il s'est passé dans sa chambre, et je crois que ça m'arrange. Ne pas y repenser c'est la clé.

    — Eh, Isaac, il va falloir que tu m'expliques ce qu'il s'est passé avant que j'arrive, parce que ça m'a fait perdre la tête, m'interrompt dans mes pensées Maverick.

    Ne pas y penser.

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