La vie est une jungle où tu déploies tes ailes, prêt à affronter tous les défis avec audace et détermination. 🌿🦅
À peine trois jours plus tard, le frère d'Antony était prêt à partir, ayant pris la décision de quitter la France et de s'installer dans un autre pays. Antony avait organisé une fête chez lui. Et donc, toute cette journée, je suis resté sur place à la résidence, pas de livraisons à faire. Au lieu de ça je me suis attardé avec mon fils dans sa chambre, jouant avec lui et lui apportant de la joie.
Quand il était temps de rejoindre les filles en bas, je me suis habillé, j'ai ajouté une touche de maquillage et je me suis assuré que j'étais magnifique.
Alors que je descendais l'escalier avec mon fils, tous les yeux de la pièce se tournèrent vers moi. De loin, Antony me regardait avec tant de charme. Il était si beau que les mots ne peuvent rendre justice.
Il est tout simplement trop irrésistible, et il a fait battre mon cœur. Mais attendez, il y a un twist ! Il est venu avec une fille qui n'arrêtait pas de me tirer des coups de regard noir pendant que je descendais les escaliers. Elle s'est assurée qu'il arrête de me regarder.
La foule a rempli la résidence du salon à l'extérieur, et l'ambiance était forte. Il y avait des chicha et de l'alcool , beaucoup à manger, en gros tout ce qu'on attend d'une fête. En atteignant mes copines , je les ai accueillis avec un sourire. On peut dire que c'était toute une nuit !
Ma tenue vestimentaire était la même que celle représentée sur la photo.
Tatiana : wsh , t'as vu comment tout le monde la regardait ?
Natasha : J'aime vraiment comment ta costumeser ta perruque.
Priscilla : Merci, mais qu'est-ce que vous faites ici ? Il vous a invité?
Tatiana : Il nous a demandé de venir te tenir compagnie.
Nicki : Pour que tu ne te sentes pas seule ici.
Priscilla : Ça semble un peu exagéré, j'avais déjà mon fils pour me distraire.
Tatiana : Qui est cette bimbo là-bas ?
Nicki : J'aimerais bien le savoir aussi.
Priscille : .........
Tatiana : Il agit comme une pétasse .
Natasha : Antony préfère l'attirance physique, en se concentrant spécifiquement sur ce qui est en dessous de la ceinture. Pour lui, les questions de cœur ou les sentiments émotionnels, en particulier envers quelqu'un qu'il ne considère pas digne, n'est pas importants *rire*
Tatiana : C'est vraiment irrespectueux de se comporter comme ça .
Natasha : "Mais ! C'est le genre qui ne trouve l'amour qu'entre les draps. Des sentiments ? Il s'en fout un peu. Surtout s'il ne pense pas beaucoup à toi. Il préfère errer plus bas, sous la ceinture qui est !" "
Nicki : mdrrrrrrrrrr
Priscilla : Peu importe, qui se soucie de lui.
Nicki : T'es sûr de ça ?
Priscilla : Il est juste amer parce que je ne veux pas me remettre avec lui. Maintenant, il essaie de me rendre jalouse.
Natasha : C'est trop toxique entre vous deux. Je ne me mêle plus de vos affaires.
Priscilla : Vous avez mangé ?
Natacha : Oui, déjà.
J'étais donc là, à me détendre sur le canapé du salon avec mes copines, même s'il y avait un bourdonnement énergique de gens autour de nous. Malgré l'agitation de la foule, nous avions réussi à créer notre petit monde. Mon fils était joyeusement perché sur mes genoux, occupé par ses émissions animées affichées sur mon smartphone. Le petit gamin était étonnamment calme compte tenu de l'ambiance animée.
À l'improviste, l'hôte de la soirée a pris le micro et a annoncé un nom familier - le frère d'Antony, portant le nom de Frank. Il s'avère que notre cher Frank était entrain de raconter sa volaille et il l'a commencé à partager ses histoires ! Il a ensuite exprimé sa gratitude à tous ceux qui ont honoré la soirée de leur présence.
Une fois la saga de la volaille de Frank terminée, le DJ a remonté la musique et là , la fête battait son plein ! Quelques meufs audacieuses secouaient leurs cut , attirant l'attention des garçons. L'ambiance de la soirée avait commencé à monter et la résidence était inondée de rires, de cris et de chants. En effet, la fête avait officiellement commencé.
Tatiana : Putain, il est trop beau, le frère !
Natasha : Tu cherches la bagarre avec sa meuf ou quoi ? Il est déjà casé !
Tatiana : Et alors ?
Natasha : Si tu continues comme ça, elle va te défoncer.
Nicki : Comment t'as rencontré Antony ?
Natasha : Au lycée, il dealait avec mon frère. Mais maintenant qu'il est solo, il s'en fout de mon frangin.
Nicki : Donc, t'es aussi dans une famille de durs ?
Natacha : Pas vraiment, on avait pas trop le choix.
Tatiana : Ferme-la, tu connais pas son histoire.
Nicki : Détends-toi, j'rigole.
Natacha : Avant qu'Antony retombe dans les pattes de mon frère, son père l'avait envoyé à l'armée pour le remettre en ligne.
Tatiana : Ah ouais, sérieux ?
Priscilla : Arrêtez, ça me met mal à l'aise de parler de lui.
Natasha : "Bah, c'est pas moi qui t'ai poussée dans ses bras. J't'avais dit de pas t'amuser avec ce genre-là. Tu vois où ça t'a menée ?
Nicki : "C'est pas juste ça. C'est surtout à cause d'Anderson ! On accuse tous Priscilla, mais c'est ce mec qui l'a foutue dans la merde avec Antony.
Natacha : C'est vrai qu'Antony sait bien charmer les meufs, mais tu aurais dû écouter mes avertissements.
Priscilla : [roule des yeux] "D'accord, j'en ai assez. Vous commencez à m'énerver. Je suis la haut !"
Natasha : "Whoa, pourquoi tant de chaleur ? On parle tranquillement
Tatiana : "Ugh. Tu fais une scène. Vraiment embarrassant..."tu t'affiche
Nicki : "Non, ne pars pas !"
Priscille : .......
Natasha : "Laisse-la tranquille."
Tatiana : je vais me servir à boire
Les filles m'ont tellement énervé que j'ai filé dans ma chambre avec mon fils. Tout d'abord, j'avais besoin de me démaquiller complètement. Assis sur ma chaise devant le miroir, j'ai frotté la peinture de guerre, pendant que mon fils s'endormait sur mon lit, sans être dérangé par la musique forte. Le calme béat remplaçant le chaos précédent, je me suis faufilé dans la salle de bain pour me changer et prendre une douche rapide de 20 minutes.
Juste au moment où je sortais de la salle de bain, prêt à m'enfoncer dans mon lit et à rejoindre mon fils au pays des rêves, un coup de feu retentit, résonnant de manière inquiétante dans la maison. Effrayé, je me suis précipité dans ma chambre et j'ai verrouillé la porte. Pas même une minute plus tard, j'entendis frapper à ma porte, faisant battre mon cœur à un rythme assourdissant.
Pris de panique, j'ai crié : "C'est qui ?" Les filles ont répondu - c'était juste elles.
Tatiana : Sérieusement, qu'est-ce qui vient de se passer ? Je pensais honnêtement qu'on avait été bombardés dans le salon.
Nicki : Ça m'a fait peur.
Natasha : Je suis tellement curieuse de savoir qui a commencé tout ce drame.
Priscilla : Partout où Antony va, la paix prend de longues vacances. Ça doit être ça son super pouvoir.
Nicki : Restons tranquilles et attendons que les choses se calment.
Priscilla : Tourne-toi, s'il te plaît. J'avais prévu de m'habiller avant ta grande entrée inattendue.
Mon fils commençait à pleuré
Priscilla : Prends-le et retourne-toi. J'ai besoin de changer et vous devriez le faire aussi les filles !
Tatiana : Toute cette épreuve est bien trop intense !
Natasha : À ce stade, plus rien ne peut me surprendre.
Nicki : C'est parce que ton frère est un vrai bandit!
Priscilla : N'hésitez pas à vous asseoir, j'ai terminé.
Nicki : Pourquoi il pleure ?
Priscilla : Il doit encore être fatigué...
Quelques tic-tac de l'horloge plus tard, ma porte a été impérativement frappée. Entre : le frère de Natacha, la suppliant de s'en aller avec lui. Avant de lui emboîter le pas, Natasha me dit adieu. Un chapitre clos, un autre ouvert : Tatiana et Nicki se retirèrent dans leur demeure. Laissé avec la responsabilité d'installer mon fils dans sa chambre, j'étais content de voir que le danger avait été neutralisé pour la nuit, au moins.
Alors que je m'aventurais dans le couloir, je me positionnai en face de la rampe d'escalier, profitant de la vue. Le personnel de maison était déjà occupé à bourdonner, nettoyant les restes des réjouissances de la nuit. Les fêtards jadis animés avaient disparu et un calme inquiétant s'était emparé de la résidence.
Et il était là. Au moment où j'ai osé me retourner, j'ai verrouillé les yeux sur lui - une situation que je n'aimais vraiment pas car je connaissais assez bien le puissant charme qu'il détenait. Comme s'il était une statue, il se tenait dans le couloir, les yeux allant sans hésiter du haut de ma tête à la pointe de mes chaussures, un sourire ennuyeux ornant ses lèvres alors que son regard s'attardait sur mon corps. Il était tout aussi irritant et rebutant.
Priscilla : Tu regardes quoi avec tes yeux là ? T'es dégueu.
Antony : Encore un p'tit caprice ? T'es mignonne quand tu t'énerves.
Priscilla : Me touche pas, toxique comme t'es.
Antony : Pourquoi tu t'énerves ? T'as fait un choix y'a pas longtemps.
Priscilla : À quoi ça sert ? J'veux même pas te parler.
Antony : Toujours compliquée, les femmes...
Priscilla : Si mon gosse a un problème à cause de toi, tu vas rien comprendre.
Antony : Oh, ça va, rien n'va arriver.
Priscilla : Arrête de m'toucher, t'entends ?
Antony : Pourquoi tu cries comme ça ?
Priscilla : T'as besoin de tout le monde pour te rappeler que t'es là ?
Antony : ...
Priscilla : Tu sais qui a arrangé les trucs pour t'éviter la prison ? T'as intérêt à m'respecter, Anthony.
Antony : Baisse d'un ton, okay ?
Priscilla : Maintenant tu m'écoutes, hein ? Sans moi, t'aurais morflé en taule, t'oublies pas ça.
Antony : Et alors ? Tu veux quoi maintenant ? J'te demande de revenir, tu demandes du temps.
Priscilla : J'pense qu'un feu dans le coin te ferait du bien.
Antony : *rire nerveux*
Priscilla : Pas drôle. Bouge de là. J'en ai marre de toi. T'as montré ton vrai visage.
J'étais donc là, tamponnant légèrement mes joues striées de larmes, lorsque Antony a décidé que c'était le moment idéal pour faire irruption dans ma chambre . Pensant qu'il avait eu l'audace de se garer sur ma chaise , j'ai vite rectifié son malentendu. Brandissant mon arme devant lui - je lui ai suggéré à moitié poliment de quitter ma chambre avant que mon fusible n'explose complètement.
Priscilla : "Fous le camp de ma chambre, tout de suite."
Antony : *rire nerveux* "Pourquoi tu t'enflammes, Priscilla ? T'as pas le courage pour appuyer sur la gâchette ?"
Priscilla : "Me cherche pas
Antony : "OK, je me casse."
Priscilla : "Dégage."
Antony : "T'avais même pas le courage de me balancer aux condés , mais maintenant tu pointes ton flingue sur moi ? Allez, tire."
Priscilla : "....."
Antony : "Tu vois comment j'ai encore de l'emprise sur toi ? T'es paralysée."
Priscilla : "Ça suffit. Sors."
Antony : "T'angoisses à l'idée que tout change si tu retournes dans mes bras ? T'as pas le cran de résister, n'est-ce pas ?"
"Quand j'ai essayé de le chasser de la pièce, il m'a rapidement attrapé la taille. Nos yeux se sont croisés et il a tenu mon visage, volant un baiser pendant quelques minutes. Il avait l'intention de me ramener au lit, mais cette fois j'ai mis fins.
Je lui ai dit que c'était bel et bien fini, que je ne voulais plus rien de lui. Finalement, il a froidement affirmé que je reviendrais toujours dans ses bras, que cela me plaise ou non. il est sorti de ma chambre, le barrage a éclaté et je me suis retrouvé noyé de larmes sur mon lit, ruminant tout ce qui s'était passé."
À suivre