La vie est comme une jungle, où chaque pas nous rapproche de la découverte de notre véritable nature sauvage. 🌿🐆
Comme prévu, j'ai fait une visite au salon de coiffure le lendemain. Il était environ 11 heures et l'endroit était assez animé, en particulier avec une clientèle féminine. Les femmes étaient là principalement pour acheter nos produits. Chose intéressante, les hommes semblaient juste être après la cocaïne .
L'ambiance était assez animée on na embauché six stylistes, plus une supplémentaire Nicki. Ça a porté notre nombre total à cinq coiffeurs.
Priscilla : T'as bien bossé sur les cheveux, c'est propre.
Nicki : Ouais, bien joué !
Natasha : Mon stock est à sec.
Priscilla : Ton reuf a pas ravitaillé aujourd'hui ?
Natasha : Il galère un peu en ce moment.
Priscilla : Ça passe, ça ira mieux.
Natasha : Ouais, il va se débrouiller.
Priscilla : J'lui fais confiance.
Nicki : On fait une pause goûter, vous êtes chaudes ?
Priscilla : Nan, j'ai pas faim.
Natacha : Vas-y.
Nicki : J'peux ramener des boissons ?
Priscilla : Un Coca pour moi.
Natasha : Un Oasis pour moi.
Nicki : Ça roule.
Priscilla : Les filles fument de plus en plus.
Natasha : Ouais, mais elles gèrent leurs douilles à la perfection, c'est fou.
Priscilla : Ouais, tant que ça fait rentrer l'oseille, ça passe.
Tout au long de la journée ensoleillée, tout ce que je pouvais faire, c'était faire du commerce - m'occuper des filles et des garçons qui venaient chercher leur dose. Ils ont cherché ce que j'offrais : de la cocaïne et des sachets de joints. Alors que le jour s'estompait, mon sac s'est gonflé de billets de cinquante et vingt euros, pour un montant de 1000 €.
À la fin de ma journée d'aventures, le chauffeur s'est arrêté, prêt à me ramener dans la sécurité de la résidence.
21h35
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Paris _France
En arrivant à la maison, j'ai trouvé mon fils déjà endormi. En tant que tel, j'ai décidé que c'était le moment idéal pour me détendre et me rafraîchir.
Après avoir terminé ma douche rapide, j'ai choisi de me livrer à un bain agréable et relaxant. J'ai plongé dans mon bain de mousson, 🛁 laissant la chaleur et la tranquillité m'envelopper. Mes écouteurs étaient bien enfoncés dans mes oreilles alors que je commençais à me détendre, fermant solidement le monde au-delà de la porte de la salle de bain. C'était une retraite tranquille qui a duré 20 minutes.
Cependant, c'est Antony qui m'a tiré de ma paisible rêverie. Il m'avait appelé, curieux de savoir pourquoi je ne répondais pas quand il frappait à la porte. Bien sûr, ce sont les écouteurs avec lesquels mes oreilles étaient bouchées qui ont fourni la raison de mon absence de réponse.
Au sortir de mon bain, je m'enveloppai dans mon peignoir. Il était là, attendant devant la porte .
Priscilla : Qu'est-ce que tu veux ?
Antony : Priscilla, tu devrais te changer. Pas la peine de traîner dans ma baraque comme ça.
Priscilla : Hé, Antony, t'es sérieux là ?
Antony : Je t'attends en bas.
Priscilla : Mais pourquoi ? J'veux dire, c'est quoi le plan ?
Antony : C'est important que tu apprennes à te défendre.
Priscilla : Hey, t'inquiète pas pour moi, je sais me débrouiller.
Antony : J'ai besoin que tu me fasses confiance, Priscilla, fais juste ce que je dis.
Priscilla : Mais j'comprends pas là.
Antony : Trop de questions, va juste te changer, tu parles trop.
Après avoir quitté la baraque, j'ai filé en pyjama et j'suis montée dans la caisse. Notre chauffeur nous a trimballés dans une forêt déserte et silencieuse. Quand on est sortis, Antony a sorti un sac du siège avant et l'a ouvert pour montrer un tas d'armes.
Priscilla : Attends, tu veux m'apprendre à tirer sur des gens ?
Antony : Pas spécialement, mais t'as besoin d'apprendre à te défendre avec une arme.
Priscilla : J'sais même pas comment m'en servir, c'est quoi ce plan ?
Antoine : Approche, mets-toi là. J'vais te montrer.
Priscilla : C'est toi qu'a foutu ce panneau rouge sur l'arbre ?
Antoine : Ouais, c'était moi. Arrête de parler et approche-toi.
Priscilla : OK.
Antony : Tiens ton flingue comme ça.
Priscille : ...
Antony : Maintenant, vise l'arbre et tire.
Priscilla : J'suis nerveuse.
Antoine : Arrête de flipper.
Priscilla : Mais j'suis pas chaude pour apprendre à tirer. Y'a d'autres moyens de se défendre, non ?
Antony : T'as intérêt à revenir ici la prochaine fois, ok ?
Priscilla : Il est l'heure de rentrer chez moi. J'commence à cailler.
Antony : Mets ta ceinture.
Priscilla : ...
Antony : J'ai hâte d'te retrouver dans mes bras.
Priscilla : Ouais, quand j'aurai d'la thune.
Antony : T'es riche avec moi.
Priscilla : C'est pas c'que j'veux.
Antony : J't'aime.
Priscilla : Même chose que quand t'as lâché pendant ma taule.
Antony : J'me sentais mal de te voir là-bas, surtout à cause d'moi.
Priscilla : C'pas une raison d'plus venir.
Antony : J'suis coupable d't'avoir laissée comme ça.
Priscilla : ......
Antony : Maint'nant qu'on est ensemble, j'veux t'faire ma reine.
Priscilla : Peut-être dans une autre vie.
Antony : J'sais c'que tu veux, et tu pourras pas m'resister longtemps.
Priscilla : Va voir ta meuf.
Antony : C'est toi que j'veux.
Priscilla : Concentrons-nous sur nous et l'bébé.
Antony : J'me sens coupable d'avoir pas été là pour toi. J'regrette mes erreurs et j'veux m'rattraper. Donne-moi une chance.
Priscilla : J'ai besoin d'temps pour guérir et retrouver confiance.
Antony : J'comprends, j'suis là quand tu seras prête.
Antony : J'ai été bouleversé de te voir derrière les barreaux, surtout à cause de moi.
Priscilla : Ça aurait dû t'encourager à être là pour moi.
Antony : J'ai ressenti une culpabilité énorme de te savoir là-dedans.
Priscilla : Tu m'as laissée seule, sans nouvelles de toi ou du bébé.
Antony : J'ai merdé, Priscilla, mais maintenant qu'on est ensemble à nouveau, je veux être là pour toi.
Priscilla : Peut-être dans une autre vie, Antony.
Antony : Tu sais que t'as du mal à me résister.
Priscilla : Va voir ta meuf.
Antony : C'est toi que je veux, Priscilla.
Priscilla : Concentrons-nous sur nos affaires et le gosse.
Antony : J'suis prêt à faire tout c'qui faut pour qu'on s'en sorte, Priscilla. Prends tout l'temps qu'tu veux pour guérir et reconstruire la confiance. Je serai là pour toi, j'te l'promets.
À suivre