Je finis par m'endormir dans ces bras.
Durant toute la nuit je me suis pas réveillé ne serait-ce qu'une fois. Ça fait tellement du bien de le sentir à mes côté. Et dire que j'ai fais tout ce temps sans lui.
Il s'est occupé d'Arwa toute la nuit, pour me laisser me reposer. N'est il pas attentionné mon homme ? Il l'est. Lui ai je pardonner ? Pour le moment mon cœur a pris le dessus, mais j'oublie pas. S'il refait une bêtise...
Bref après ma prière, je commence à faire le petit déjeuner pour mes amour. Ça fait longtemps que j'avais pas cuisiner. Je prépare un peu de tout vue que Khaled mange trop.
Une fois tout bien installé à table je part réveillé mon mari.
Lorsque j'arrive dans la chambre j'y trouve pas l'intéressé alors je part prendre une douche.
J'apprête mes affaires pour le travail et m'habille.
Lorsque je sort du dressing c'est un gamin qui me fais sursauter. Mais quand vas t'il grandir celui là.
— tu veux me causer une crise cardiaque ou quoi?
— c'est pas toi qui aime jouer à ce jeux? Réplique t'il
— c'est pas pareil dis je en le boudant
Il me prend dans ses bras un instant
— j'suis pardonner? Me questionne t'il
— tu pensais pas te faire pardonner aussi facilement?
— j'suis sur la bonne voie j'espère?
— peut-être.
— comment me faire pardonner?
— j'sais pas fais des efforts dis innocemment
— je vois que tu vas taffer ?
— hmmm acquiesçais je
— t'avais pas dit que tu resterais avec moi ?
— t'es pas un bébé
— tu me manques déclare t'il en me serrant plus fort
— tu me coupe la respiration dis je amuser
Il est loin de m'étouffer, je veux juste gardé un peu de distance. Il faut pas qu'il pense être déjà pardonner.
Je dépose un baiser chaste sur ses lèvres et me sort de son emprise.
— je t'aime
Je ramasse mes affaires et commence à partir sans tenir compte de se qu'il venait de dire. C'est tellement rare qu'il dise " je t'aime". Mais je vais faire genre je m'en fou, alors que sa me fais trop de bien.
— Zara?
— hmmm ?
— je t'aime
— d'accord répondis je simplement
La Semaine s'est bien passé. Pas d'encombre avec le gros bébé que je dois surveiller. On est vendredi et je m'apprête à aller en salle de réunion quand mon assistante m'informe que mon mari est là.
Pourquoi il peut pas rester calme lui ?
Je sort du bureau pour lui dire que j'ai une réunion.
— t'es pas sensé être au calme à la maison?
— le doc a dit que je pouvais sortir. Je suis d'ailleurs passé pour t'informer que je vais à Paname
— quoi aujourd'hui?
— ouais j'y vais de se pas
— on vous attend mademoiselle Maïga dit mon patron en arrivant à mon niveau
— donnez moi cinq minutes Mr, tu vas faire quoi à Paname? Demandais je à Khaled
— pour les affaire tu connais
— Zara on nous attend reprend mon boss
— ehhh du calme Mr Petite on a presque finit
— c'est pas petite mais Petilde Mr corrige mon patron,
— Petit, petite c'est pareil...
J'étais morte de rire, mon patron est vert de colère. C'est un vrai gamin mon mari.
— je t'invite pour le week-end, sois prête Ramsces te conduira demain dit il a voulant partir
— quoi mais ...
— je dois me faire pardonner non ? Laisse moi faire j'ai une belle surprise pour toi. A plus on m'attend dit il en m'embrassant légèrement et Mr Petite arrêtez de matter ma femme je pourrais vous crevé les yeux menace t'il mon patron avant de partir
Un fou j'ai jurer. Il n'a jamais apprécié mon patron. Il pense qu'il y'a un truc entre lui et moi.
La réunion se passe bien.
Je quitte le bureau a 16h.
Lorsque je marche sur le trottoir direction le parking j'ai l'impression d'être suivie. Il n'est que 16h mais les lieux sont vide et trop calme.
Je presse le pas en cherchant mes clés.
Une fois au parking je cherche ma voiture, mais je la vois pas. On dirait qu'elle a été déplacée. Je sens une présence derrière moi et quand je me tourne pour vous qui s'est. On me met un mouchoir sous le nez, je me débat mais la personne est plus fort.
A bout de force je perd connaissance.
KHALED...
Le doc vient de me retirer ses lentilles à la con. Je m'apprête pour aller à Paname, j'ai des trucs à géré. La sorcière m'avait privé de sorti. Qu'est-ce que je ferai pas pour elle.
Trop de chichi j'ai beaucoup trop de problème. En plus du problème Fernando il y'a le problème Emiliano ce fils de pute il veut ma peau pour avoir tuer son frère.
J'ai des armes à récupérer à Paname. Je réserve le week-end pour ma princesse et dès le lundi je décolle pour Vienne en Autriche. J'ai un plan pour faire entrée mes produits au US. Avec la CIA et Interpol qui veulent mes produits afin de me mettre derrière les barreaux, j'suis coincé.
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Je viens d'arriver à Paname, Hassan viendra demain parce que sarah a besoin de lui aujourd'hui.
J'ai un trop bon délire que j'ai envie de faire.
- kho(mon frère) bien ou quoi
Lui: tranquille et toi
- jsuis à Paname. Tu vas ramener Zara avec toi okay
Lui : pourquoi tu la pas emmener avec toi
— pas tes affaire. Tu vas dire à Doumam's de la kidnapper ta vue
Lui: mais dans quel délire tu nage toi
Azy fais la kidnapper et livre la moi à l'entrepôt 8. Dites leurs de pas trop la secouer
Lui: tu veux qu'elle te haïsse?
Non j'essaie de me faire pardonner
Lui: en la kidnappant? Mais t'es fou ou quoi
T'inquiète elle vas kiffé
Lui: t'es un malade mental j'ai juré. Azy on fait ça
Je raccroche et vague à mes affaires.
Il y'a tellement à faire. Je manque d'homme. J'suis entrain de voir les petit du quartier, mais en général ils sont pas digne de confiance. J'ai peur d'engager une sous-merde.
La soirée passe vite. J'étais au stand de tire quand Hassan arrive.
— t'étais pas sensé venir demain
-- tu sais il est quel heure?
— non
— Zara est là, elle est vener
— elle t'as pas vue?
— non t'as demandé de la kidnapper je te suggère.
— tu l'as attaché?
— ouais comme une prisonnière dit il amuser
— c'est bien. Allé viens dis je en rangeant mon arme
On part dans le bâtiment pour voir Zara.
La pauvre elle est dans tout ses états.
J'utilise un modificateur de voix pour pousser le jeu. Elle vas me massacrer après.
Mes hommes nous laisse. Hassan prend place au fond de la pièce amuser. Il pense que j'suis fou.
— alors c'est toi la femme a Hichem ? Ce connard il s'est déniché une vrai petite sainte dis je en lui caressant perversement la joue
— qui êtes vous? Qu'est-ce que vous me voulez? Demande t'elle agitée
— une personne à qui il a beaucoup pris. Soit coopérative et je te promets de te mettre bien dis je en commençant à retirer son voile
— je vous en supplie pas mon voile
— il paraît qu'elles tiennent beaucoup à leur voile les voilées...... il paraît aussi que se sont de vrai petite pute en dessous dis je en retirant son voile
Elle pleure en sanglots.
— je vous en supplie me faite pas de mal. Je sais rien sur ce qu'il vous a fait s'il vous plaît me supplie t'elle
— dit moi où il stock sa marchandise?
— je.... Je sais pas
— dit moi où est son stockage ou la prochaine balle je te la met dans ma jambes dis je en tirant dans le vide
Peureuse elle n'arrive à rien dire. Les larmes dévale ses joue. Je l'attrape par le cou et essaie de l'embrasser de force. Elle me mort la lèvre.
Je tire violemment sur ses cheveux en l'insultant.
— je vais te baiser salle traîner dis je comme si j'étais énervé
— inchallah Khaled vas vous retrouver il....
— FERME LÀ criais je
Elle se tue et continue à pleurer
— où est son stock ... je me répéterai pas dis je en introduisant ma main dans son haut
— je vous en supplie arrêtez de me touché, s'il vous plaît je vous jure sur mes enfants que je sais rien dit elle en larmes
— t'es super bonne tu sais dis je en malaxant sa poitrine
Elle me crache déçu et commence à crier au secours à l'aide.
— crie personne ne peut t'entendre d'ici
— lorsqu'il vas vous retrouver il vous tuera tous autant que vous êtes. Il est déjà alerté il vas vous tuer crie t'elle en larmes
Hassan peiner pour elle me dit d'arrêter avant de quitter la pièce. Il l'affectionne beaucoup. Je crois que c'est assez aussi. On pourrait croire que j'aime lui faire du mal mais c'est une formation pour elle. Je sais qu'il y'a beaucoup de danger qui la guette. Ils savent tous que c'est la femme pour qui je baisserai tout mes armes. Je sais qu'un jour ou l'autre elle sera confronté à ça.
J'ai beau multiplier sa protection se jour arrivera tôt ou tard.
Je prend une longue inspiration et retire le bandeau de sur ses yeux. Lorsque ses yeux croise les miennes elle fond en larmes dans mes bras. Je crois qu'elle n'a pas encore réalisé que c'est moi qui lui ai fais subir ça.
Une fois calme elle quitte mes bras et me donne une gifle phénoménale. Je l'es mérité celle-là.
— qu'est-ce qui t'as pris. Pourquoi t'aime me voir mal Khaled dit elle en quittant la pièce
— écoute moi dis je en la rattrapant dans le couloir
— vas te faire foutre dit elle en me retirant son bras
Elle part sans savoir où elle vas. Je la suit en attendant qu'elle se calme. Elle est furieuse tellement qu'elle en oublie son voile.
Une quinzaine de minute plus tard elle s'arrête.
— c'était quoi le but ?
— tu te fera un jour enlever et pas par moi. Même avec toute la protection que j'ai mis en place pour toi un jour ils réussiront à te prendre. Je voulais te préparer d'avance. C'était pas la bonne manière mais, j'ai besoin que tu sache ce qui peut t'attendre. M'expliquais je
— t'es entrain de me dire que tu sera pas là pour me protéger
— je donnerai ma vie pour toi Zara dis je en lui remettant son voile
— je veux pas devenir une criminelle comme toi. N'essaie plus de me former dit elle encore énervé
— comme tu veux. Je recommencerai plus. Viens lui demandais je de me suivre
— on est où?
— à Paname dans l'une de mes entrepôts
On avance dans l'entrepôt, et madame observe tout.
Je la conduit à une chambre que j'occupe souvent. Avant de venir j'avais fais sa valise. J'ai mis un peu de tout.
— j'ai fais ta valise. J'espère y avoir mis le nécessaire. La salle d'eau est juste là
— merci...
— et encore désolé
Elle ne répond rien et commence à se déshabiller. Je me rince bien les yeux de sa nudité. Son corps m'appelle. Elle galère avec son soutif, bon samaritain que j'suis j'aide la jeune demoiselles en détresse à retirer son sous-vêtements. Les cheveux lisser rattaché dans un chignon soigneusement fait, elle se masse le cuir chevelure. Je m'assoie sur le canapé et continue à l'observer. Elle finit de se déshabiller et me fais face. Mes yeux reste river sur ses lèvres.
J'suis incapable d'être avec elle sans la touchée. C'est trop difficile. Je m'approche d'elle et possède ses lèvres si douce qui m'appelais. Mes mains se baladent partout sur son corps si parfait. Putain je l'aime cette femme.
Notre baiser devient plus profond et promet d'entraîner des choses.
— pas maintenant Khaled, j'suis fatigué dit elle en mettant fin à notre baiser
Je la fixe un instant avant de reprendre place dans mon fauteuil. J'sais pas à quoi elle joue mais ça me plaît pas.
— ta fais toute la semaine à trouver des prétexte pour pas qu'on est des rapports. Si c'est pas tes règles c'est autre choses et aujourd'hui c'est la fatigue...
— c'est pas ma faute si j'suis fatigué c'est de la tienne je te suggère. J'ai pas demandé à être enlevé
— t'essaie de prendre tes distance avec moi, t'es froide, et distant...
Elle reste plantée devant moi sans rien dire. Je voulais un week-end tranquille mais je sens déjà les embrouilles.
— bref prend une douche et met ça . Je serai pas loin lui ordonnais je en quittant la pièce
Je redescends au red-chaussé pour signer quelque papier et voir comment les produit sont pesée et emballé.
Les filles sont entrain de pesé. La grande table est remplie de poudre blanche.
— il n'y aura pas assez pour tout les commandes et l'argent a déjà été encaissé me dis Roumi en m'apportant un verre de limonade
— je sais. Mais la came est bonne non ?
— goûte dit elle
Je regarde la poudre un instant avant de la goûter. C'est de la bonne.
— c'est parfait.
— t'as vérifié les armes dit elle en prenant place sur la table pour être face à moi
Elle porte juste un t-shirt qui lui arrive un peu en bas des cuisses, pas de soutif on vois ses téton à travers le tissu. Je suppose qu'elle porte pas de petite culotte aussi. Mais qu'est-ce que j'en ai à foutre.
— oui c'est fait. T'as besoin de quelque chose lui demandais je
— hmmm tu goûte pas à ma limonade?
— qu'à tu mis dedans lui demandais je en regardant le verre
— t'as peur que je te drogue pour te violer dit elle amuser en passant une main sous mon t-shirt
— arrête tes bêtises...
Sans crier gare Roumi sort son arme qu'elle pointe sur quelqu'un derrière moi. Je me retourne par réflexe et vois que c'est Zara.
— tire et je t'étrangle a mort murmurais je à l'oreille de mon employé
Elle baisse son arme et regarde mal Zara. Perdue et gêner Zara s'approche doucement de moi. Je fais descendre Roumi de la table pour pas plus gêné ma femme. Je lui fais signe de venir plus près de moi en lui tendant la main. Elle le prend et se colle à moi. Zara n'a jamais apprécié trop de regarder sur elle.
— vous êtes là pour travailler ou pour matter m'adressais je à mes employés pour qu'ils arrêtent de fixer ma femme
— tu sais que sa m'excite quand tu passe ta main sur ma taille me murmure Roumi en faisant allusion au fait que je l'es prise par la taille pour la faire descendre de sur la table
— tu lui dit rien me dis Zara en voyant Roumi passe sa main sous ma mienne sur la table
— dit lui d'arrêter c'est ton espace qu'elle occupe répliquais je
— eeh un peu de décence, en plus d'être à moitié à poile tu te permets de flirter avec mon mari sous mes yeux dit elle en fixant Roumi
— de quoi je me mêle sale pute
Ma lionne s'empare aussitôt des cheveux de Roumi et lui donne des coup. C'est une vrai bagarreuse ma femme. Faut juste pas la chercher. La seule solution à une femme c'est une autre femme. Elle fait la difficile quand je veux du sexe et quand une autre me touche elle est prête pour la bagarre. Les femmes jamais on ne les comprendraient.
Je les sépare en me mettant entre elles. Roumi continue à faire des insultes malgré que je lui dit de se calmer. J'ai pas de patience pour ces bêtises. Je sort mon arme et tire dans mes vides. Elles la ferme immédiatement.
— allons y ordonnais je à Zara
— tu couche avec elle me demande t'elle en me suivant
— non
— je te crois pas...
— je couchais avec elle. C'est finit depuis longtemps
— c'était ta copine
— non ma sex-Freind
— Hichem viens voir nous interrompt Hassan
On suis Hassan vers l'entrée. Il me dit qu'il pense que c'est un guet-apens.
Il y'a un Mr qui dit avoir besoin de prêt pour bla-bla rien qui me concerne. Je fais des prêt sous gage. Ça permet de souvent blanchir certaines achat. Officiellement l'entrepôt est une entreprise de fabrication de produits ménagères.
Je sens pas trop ce mec. On lui fait visiter la partie fabrication de l'entreprise pour faire genre on est digne de confiance.
A travers ces mot je sens que c'est un condé (flic)
Lorsqu'on finit il me dit qu'il vas venir me voir demain. Qui vient chercher à faire un prêt sur gage à 3h du mat?
— on m'emballe tout ça avant demain matin. Je veux que se soit vide avec aucune miette de drogue avant demain les armes on les emmène à Miami et on fais livré la came. Ordonnais je à mes homme viens on a un vole à prendre dis je en lui reprenant la main de Zara Hassan on s'appelle