Vandetta

By bookbymxrine

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Comment a-t-on pu en arriver là ? Son flingue est posé contre ma tempe et le mien est enfoncé dans sa chaire... More

Prologue
Chapitre 1- Milo
Chapitre 2- Canada
Chapitre 3 - Rentrée
Chapitre 4 - Crise
Chapitre 5 - Réveille
Chapitre 6- Crise n°2
Chapitre 7 - Histoire de gang et de mafia
Chapitre 8- Histoire ancienne ou pas...
Chapitre 9- test
Chapitre 10- Intégration
Chapitre 11- Tatouages
Chapitre 12 - Flash
Chapitre 13 - Pétasse, souvenirs et discussion
Chapitre 14 - Cicatrices
Chapitre 15 - Priam
Chapitre 16 - Annonce(s)...
Chapitre 18 - Histoire de chambres

Chapitre 17 - Confession

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By bookbymxrine


En entrant dans mon bureau, j'ouvre les deux grandes fenêtres qui donnent sur le jardin pour avoir de l'air frais et de la lumière naturelle. Je m'assois dans le fauteuil qui laisse échapper une pluie de petites particules de poussière. Ça n'est pas la pièce que j'utilise le plus et la fine couche de particules sur mon bureau le prouve. Je me rends dans cette pièce seulement pour le petit coffre-fort qui contient les armes que moi, et les autres membres du gangs portons tous les jours. Je sors de mon tiroir les papiers de la transaction qui va se dérouler dans deux semaines. Je lis et relis les détails pour chercher si nous craignons un truc. Rien à signaler. Les Suisses sont réglos enfin à peu près. Je devrais tuer un de leurs hommes pour venger la perte de l'un des notre lors de notre première transaction avec eux. Cette fois-ci, il s'agit pas de caisse d'explosifs mais d'armes, de fusils d'assauts et de snipers pour être plus précise. Ce n'est pas une transaction chiante par rapport aux explosifs. Ça demande un peu moins d'attention. Je vérifie les moyens de transports que nous aurons pour faillir à notre mission. Les voitures blindés pour faire la route jusqu'à un aéroport abandonné "pour tous les monde" mais pas les trafiquants comme nous. La transaction aura lieu à l'aéroport en Suisse donc nous n'avons pas besoin d'un autre moyen de transport sur place.

J'allume mon ordinateur portable pour envoyer un mail groupé aux personnes qui sont désignées pour cette mission. Nous serons huit. J'envoie un message aux suisses pour savoir quand même si le transfert à toujours bien lieu. On ne sait jamais. Je continu quelques planifications de contrat que nous aurons à faire durant les trois prochains mois. Je me connecte après au site de la Mafia. C'est un logiciel privé que tous les membres Haut placés utilisent. Les connections sont enregistrées et surveillées. Je ne regard pas les jobs qu'ils ont à faire. Si on a besoin de moi, mon père me le fera savoir lui-même. Il n'aime pas trop que je sois seconde de la mafia mais il n'a pas le choix, c'est comme ça ; c'est les règles.                                    J'ai d'autres trucs à gérer donc elle n'est pas ma priorité mais je me dois d'assister aux réunions et d'émettre des avis sur les événements que la Vandetta effectue. Je dois aussi donner mon accord pour des missions. Je me connecte surtout pour voir où nous en sommes avec la Mafia des mexicains. Les infos circulent peu sur le logiciel, tout est classé par dossiers mais j'ai toujours l'espoir d'en apprendre plus en cliquant sur le dossiers des mexicains. Pas grand-chose à signaler. Je note dans mon téléphone les repas et réunion auxquelles je devrais me présenter. Je dois assister à un repas dans une semaine.

Mon père a glissé une note en dessous qui peut seulement être visible par moi. Il me demande ramener mon second. Je souffle. Kiran n'a pas à être présent. Il n'est qu'un bas membre de la Mafia pour le moment. Après ce n'est qu'un repas avec mon père, moi, deux trois politiciens de mes deux et des mecs hauts placé dans la mafia, enfin bref, les plus hautes branches de l'entreprise. C'est différent des réunions des trois mois.

Je me penche un peu sur le dossier des Deathlymate que mon père m'a envoyé en privé. La préparation d'une vengeance personnelle, ça se construit et il faut un plan en béton. J'aime pas faire ce boulot, préparer tout, c'est chiant, je préfère le terrain parce qu'il se passe toujours un truc qu'on a pas pu prévoir quand c'est des projets de cette ampleur ; mais j'ai été formée pour tout faire alors, je mis colle. Quarante cinq minutes s'écoulent avant que je ne sois dérangée par un bruit de baie vitrée qui s'ouvre. Je sors du bureau en prenant soin de fermer tous les sites que j'ai utilisé pour mes recherches. Je re planque toutes les infos confidentiels dans les tiroirs que je fermes à clés. Je pose les clés dans les coffre-fort que je verrouille directement. Je récupère mon flingue. Fallait que je fasse une pause de toute manière. Mon cerveau serait tombé en panne. Je me dirige jusqu'à la cuisine pour me faire une collation et voir qui vient de renter par la même occasion. Qui ne passe pas par la porte d'entrée ? Les gars ont toujours des clés au cas où. Aéna aurait appelé directement parce qu'elle n'aurait pas pu renter à cause du portail, c'est une personne que je connais. Ils ont peut-être oublié les clés, ça arrive souvent. J'arrive dans la cuisine où un torse dégoulinant de sueur me fait face.

- Kiran ?

- Lui- même.

- Tu sais qu'il y a une porte d'entrée quand même?

- Je sais mais pour que je m'en serve, il me faudrait peut-être les clés.

- T'as pas les clés ?

- Nope, je les ai pas.

- Oh, je vais te les passer, j'étais persuadée que tu en avais. Désolée.

- Tu t'excuses?! Déliha, ça va? Tu me fais peur là. Que se passe-t-il?

- Je m'excuse pas, ça ma échappé. C'est tout. Bref passe moi la bouteille.

Kiran me passe la bouteille. Je prends pas la peine de sortir un verre et bois directement au goulot. Je me suis excusée, non mais sérieusement ce mec a vraiment grillé tous mes neurones. Je repense à ce midi un instant. Le brun ne m'a pas donné de réponse claire et précise. Je pose la bouteille sur le comptoir et plante mes yeux dans les siens.

- J'ai deux truc à te demander Kiran ?

- Je t'écoute.

- Tu viens ce week-end ?

- Oui mais...

C'est lui qui dysfonctionne maintenant.

- Mais ?

- Mais personne doit voir ce que j'ai vu hier.

- Euh, je demande mon autre truc et on en parle après ; tu peux m'accompagner samedi prochain pour un repas avec quelques membres de la mafia. C'est une réunion et tu y es convié alors voilà.

- Oui, je vois pas ce qui m'en empêche.

- Parfait, viens, on va parler.

Je me retourne et pars pour les escaliers. Je préfère parler dans ma chambre ou la sienne parce que au moins ici, personne viendrai nous déranger à l'improviste. En plus, tous le monde arrivera d'ici une petite heure grand max pour qu'on parte au lac. Vaut mieux prendre des précautions. Je me pose tranquillement dans mon lit et attends Kiran qui me rejoint rapidement. Je ne veux pas relancer le sujets alors j'attends qu'il le fasse de lui même.

- Je ne veux pas que les autres vois tes cicatrices.

- Pourquoi ? Mes cicatrices font parties de moi.

- Parce que je sais que personne les as vues à part moi.

Et merde, il a raison ce con. Il n'y a que lui qui les a toutes vus. Shan, Finley, Morgan et Raphaël en ont vus certaine mais jamais celles que Kiran a vus. Je les caches tout le temps, je n'aime pas qu'on les voit. Les gens posent trop de questions et je ne veux pas raconter ma vie à tous le monde. C'est privée et personnelle. Les fois où nous avons été au lac, j'ai toujours porté un bas de maillot de bain avec un long tee-shirt qui m'arrive à mis cuisse. Mes jambes sont l'endroit où les cicatrices me complexent le moins mise à part celle qui sont caché sous le tissu. Et si je ne me baigne pas je porte un short avec un haut de maillot de bain et une chemise long qui cache tout mon dos et les cicatrices que je ne veux pas montrer.

- T'as raison. Et je ne les montrerai à personnes d'autres parce que je ne l'ai jamais fais d'une. Et de deux, je n'aime pas mon corps et ses cicatrices qui raconte tant d'histoires que je ne connais pas.

- Déliha, ton corps est parfait ! Arrête de dire que tu ne l'aimes pas parce que moi j'apprécie, j' apprécie ton corps remplis d'histoire qui je l'espère un jour, j'arriverai à te redonner la force de savoir leurs significations.

- Kiran...

Son prénom meurt dans ma bouche. Il arrive à trouver des mots justes qui me comble. Il me comprend

- Déliha, j'ai aussi des cicatrices qui racontent une histoire. Une histoire que je n'aurais préféré ne pas connaître mais maintenant je suis fière d'avoir ses marques pour me rappeler ce que j'ai vécu et que pour rien au monde je changerai le cours de ma vie. Peut-être que ce n'est pas toi qui à décidé cette partie de ta vie ; mais est ce que tu te voies autre part dans ce monde ?

- Non, tu as raison. J'ai pas choisi tous ça mais maintenant c'est ma vie. Je dois l'accepter. Merci

- Waouh, après les excuses , c'est un remerciement maintenant . Qu'est ce qu'il s'est passé ?

- Et merde... tu fais chier Kiran Seathly.

Je prononce ça dans un souffle court. Les barrières que mon grand-père a forgé, fondent tout autour de moi. Je sors de mon lit et comme une scène de déjà vu. Je pousse sur mes jambes pour me mettre sur la pointe des pieds et plaque mes lèvres sur celles de Kiran. Ses lèvres sont douces et fruités. Il ne force pas le passage avec sa langue ce qui me rassure. Kiran ne fera rien tant que je ne suis pas prête. Il passe ses bras aux creux de mes reins et m'étreint tout simplement. Il murmure à mon oreille.

- Tu fais chier Déliha Daumann. J'avais pas prévu ça.

- Moi non plus. Mais qu'est ce qu'on a à perdre ?

- Toi maintenant.

Je souris légèrement en posant ma tête sur son torse encore pleine de sueur. Il a raison maintenant, je pourrai le perdre et ça serait dur peut être plus que pour mes frères de cœur. Le brun s'est encré dans ma peau comme un tatouage. Ce n'est même pas qu'une comparaison parce que c'est vrai. Le zéro nous relit déjà. Notre étreinte dure un petit moment dans un silence apaisant et confortable. C'est moi qui brise le silence.

- Tu devrais prendre une douche avant que les autres arrivent. Je vais préparer des fringues pour le week-end.

- Hum, j'ai pas envie.

- M'oblige pas a te menacer.

- Je ne veux pas bougé.

Cet andouille sourit. Je défais un bras de notre étreinte et attrape mon arme qui est toujours présente sur moi depuis qu'il est arrivé. Je lui enfonce légèrement dans le ventre pour qu'il sente le canon de l'arme. Un frisson le parcoure quand le métal le touche.

- D'accord, d'accord je vais à la douche.

- Parfait.

Je souris fière de mon coup. Le brun part dans la salle de bain. Il ne ferme pas les portes. Un petit truc se forme dans mon cœur. Effectivement, je suis bien une cause perdue et je suis en train de sombrer dans un monde qui m'est inconnu mais que je n'ai pas peur d'affronter à ses côtés. Plus rien ne devrais m'effrayer avec ce que j'ai vécu, je suis prête à tout. Je prends un sac de voyage et me dirige dans mon dressing. Je sors du placard un maillot de bain, deux shorts un bleu et un noir. Je récupère une chemise et trois tee-shirt. Je prends des sous-vêtement et un tee-shirt de pyjama. Je range tout proprement. Je récupère aussi un de mes holsters et le truc que je peux porter n'importe comment. Je récupère dans mes armes perso un couteau simple et facile à utiliser. On ne sais jamais ce qu'il peut se passer. Je préfère être prévoyante. Je toque à la porte où Kiran a disparu il y a quelques minutes.

- KIRAN !

Je crie seulement pour qu'il coupe l'eau et m'entende à travers la porte qui nous sépare.

- Oui, Déliha ?

- Je te pose un sac sur ton lit. Tu prépares tes fringues. Et dépêches toi, je veux aller dans la salle de bain.

- Ça marche, tu n'as cas rentrer. J'ai rien à cacher.

- Bien sûr, je te crois.

- C'est la vérité. Mais si tu préfères attendre. Alors attends.

Petit arrogant de merde. Je ne vais pas entrer dans la salle de bain. Il peut toujours courir. Je m'en vais déposer le sac que j'ai commencer à remplir avec mes affaires sur son lit. Je retourne dans ma chambre et prépare mes affaires pour sortir. Je prends une robe blanche qui m'arrive au-dessus du genoux. C'est une robe à dos fermé mais le devant est plus élaboré. Les manches sont détaillées de dentelle fine. Un léger décolleté finit la robe. C'est une de mes robe préféré pour les sorties et une des seules aussi. Ma garde de robe est plus composé de robe de satin toutes les unes plus provocantes que les autres. Je les aime bien mais, j'ai du mal. Je prends une paire de basket blanche pour rester dans la tonalité de mon look. Je remarque que l'eau ne coule plus. Kiran a décidé de sortir de la douche. Je récupère la robe et m'enfonce dans la salle de bain. Personne dans la douche, personne dans la salle de bain. Ah, si il est revenue avec des fringues blanches. Il m'a au moins écouté ce midi. Je souris bêtement. Je remarque qu'il porte un caleçon qui le moule très bien. Son V est encore plus apparent. Pour couronner le tout, l'élastique de son sous-vêtement est plus basse alors je peux pratiquement lire le mot qui est gravé dans sa peau. Je le déchiffre comme je peux

- Paradise ? Sérieusement.

- Eh, ouais, tu verras un jour.

Je me referme directement comme une huître.

- Un jour, peut-être....

- Déliha regarde moi, tu viens de te refermer parce j'ai insinué qu'il se passerait peut-être un truc entre nous ?

- Hum.

- Princesse. J'attendrai que tu sois prête. Mon bute premier est que tu retrouves confiance dans les hommes au-delà de ce que tu accords à tous les autres. Que tu découvres ce que c'est aussi le sentiment amoureux. Parce qu'on va pas se mentir c'est ce qui est en train de se passer. Même si il est tôt qu'on ne se connaît que depuis quelques semaines, on est en train de tomber l'un pour l'autre. Je sais que dans ce monde c'est un bien pour un mal. Je veux qu'on travers tout ensemble, OK. Tes peurs, tes peines, tes colères, tes tristesses et tout ce qui vient avec toi je les accepte. Peut-être que c'est un erreur de ma part de m'ouvrir à toi, mais je sais que tu me lis comme un livre ouvert. Autant tout se dire à voix haute et être honnête.

Son discours me fais réfléchir comme pas possible. J'arrive à la même conclusion que lui. Nous tombons l'un pour l'autre et je crois qu'aucun de nous deux sera faire demi-tour peut importe ce qu'il en coûte. Je le regarde dans les yeux pour lui passer le message. Avec lui, c'est mes yeux qui me trahissent mais aussi mon cerveau, parfois. Un silence prend place entre nous deux. Le brun enfile son pantalon blanc. Je continue de le regarder. Ses tatouages, recouvrant son corps, qui racontent une histoire. Son torse musclé et ses abdos bien tracés. Je suppose qu'en Californie toutes les nanas devaient être à ses pieds. Un sentiment que j'ai connu étant plus petite remonte. C'est de la jalousie. Super. Kiran me sort de ma torpeur.

- Arrête de me mater, je vais être gêné.

- Comme je te les dit l'autre jour, j'admire les œuvres d'arts. Tu en es une, alors laisse moi regarder. Ne sois pas gêné.

Il me sourit timidement. Ce mec aura ma peau si il ne la pas déjà. Il termine de boutonner deux boutons de sa chemise et sort de la salle de bain. Je me change rapidement et récupère les deux trois produits qu'il me faut pour partir. De la crème pour mes cicatrices qui parfois font des siennes. Ma brosse à dents et du dentifrice. Je sais que dans les chalets, tout les nécessaires s'y trouvent donc pas besoin de me charger plus que de raison. Je vais dans la chambre de Kiran pour rajouter ce que j'ai récupérer. Il finit de tout mettre dans le sac et remarque enfin ma présence. Il lève ses yeux jusqu'aux miens. Ses yeux pétillent. Je le reluque aussi dans sa tenue. Après dire la chemise lui colle à la peau. Si il pouvait laisser tomber de temps en temps les tee-shirt pour en mettre une sur son dos. Ça serait sympa, ça lui va à merveille. Des cris proviennent du rez-de-chaussé ce qui coupe notre contemplation.

- Tu es magnifique. Prends le sac et ton arme. On se rejoint en bas.

Je pars directement pour saluer les arrivant. Les compliments fusent dans tous les sens. Tous le monde s'est habillé en blanc et je suis heureuse. Parce ça personne le sait et c'est un secret. L'idée de la photo de famille est plus une excuse qu'autre chose. Le fait qu'on soit habillé en blanc représente plein de chose pour moi. Une des premières chose est le fait que malgré notre travaille nous restons pur. Le blanc signifie aussi pour moi la fin de ma captivité. Ça signifie aussi que je peux reconstruire une vie en paix avec mon passé. Le fait que tout le monde respectent ça me touche même si ils ne connaissent pas les raisons. Je reçois un message de Milo

Salut, je ne pourrais pas être présent, trop de boulot encore. Une prochaine fois ?

D'accord, une prochaine fois.

Tous le monde arrive à l'heure. Je choisis la Mclaren pour faire le voyage. Morgan, Raph et Fin prennent les moto. Shan prend, une des BM. Aéna et Priam grimpe avec lui et Kiran avec moi. Le trajet se passe sans soucis. Les deux heures de routes sont passés tranquillement. La musique a bercé mon voyage.


°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°

Salut!!!!!

Je signe mon retour après des vacances promptement mérités.

Bon, nouveau chapitre. J'espère qu'il va vous plaire, n'hésitez pas à me faire des retours par commentaires. C'est très utile pour moi pour que je puisse améliorer mes chapitre.

Sinon, je voulais vous remercier, Vandetta est arrivé au 5k de lectures. Merci à vous d'être là et de continuer à lire mon histoire et l'aventure de Déliha et Kiran.


Bises

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