À la gare, Anne Shirley et Lidzy Willow attendaient l'arrivée de M Cuthber. Lui et sa soeur les avaient adoptés toute les deux.
......
Et si il n'y avait pas que Anne a la gare se jour la.
*Anne with an e*
⚠️ le thème et les personnages, sauf ceu...
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****** Nous avions pris le thé avec la famille de Diana est comme je l'avais attendue ils étaient quelque peu ennuyant, ils se comportaient certe parfaitement bien pour la société, mais ils n'avait rien d'inattendu et c'était pas vraiment amusant. Actuellement nous étions entrain de faire le tour du jardin, Diana leur aînée, Anne et moi. Nous étions silencieuses et cela créait une atmosphère quelque peu gênante, pour essayer de m'enfuir de cette gênance, j'observai les fleurs et essayer de me rappeler du nom de chacune que je voyais. Ça avait toujours été un petit plaisir pour moi les fleurs j'adorais ça, je les trouvait fascinantes. Je tenais un livre sur les fleurs avant, mais mes anciens accueillant on découvert mon carnet un jour de printemps et je ne les jamais revue.
- Vous n'avez pas dit un mot pendant le thé, pas même sur le gâteau. Dit Diana me coupant dans mes pensées. Maman et moi l'avons préparé pour l'occasion. Il vous a plu...?
Je levais ma tête vers elle, elle avait un air sage et bienveillant. Sa robe était blanche et un noeud bleu serrais sa taille.
- Le gâteau étais exquis, s'exprimât Anne.
Exquis ? Un mot compliqué encore.
- Exquis ? Balbutia Diana aussi perdu que moi. Avez-vous toujours été timide ou est-ce parce que vous êtes orpheline.
- Nous sommes moins timide que réserver, me devança Anne alors que j'allais parler.
- mon dieu ! Encore un mot compliqué, rigola Diana
Sa remarque m'arrachais un léger sourire et je me décidais à ouvrir la bouche avant que le silence ne refasse surface.
- Anne aime beaucoup lire.
Diana semblait intéressé par ma remarque et me regarder quelque peu soulager que je parle enfin.
- J'adore lire, dès que j'en ai l'occasion, s'exclama Anne avec passion.
- j'aime beaucoup lire aussi, mais maman préfère que je fasse de la broderie. Dit Diana.
- ennuyant, je lâchait sans faire exprès, oh pardon.
Je posais une main sur ma bouche me maudissant moi même de ne pas avoir de filtre. Contre toute attente Diana ricana.
- Oui ce n'est pas mon activité favorite, avoua t'elle.
- Est-césure tu peux laisser court à ton imagination, demanda soudainement Anne.
- Je ne pense pas que l'imagination sois mon fort, répondît elle.
Finalement nous avions quelque point communs je commençais à apprécier cette fille.
- Vraiment ? S'étonna t'elle, je ne sais pas ce que je ferais sans la mienne, la vie ne serait qu'un supplice, un supplice absolu, dit elle drastiquement.
