Partie sans titre 41

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Dans la peau d’Imad.

J’suis sorti de l’appart et j’ai demarré ma vago. J’devenais ouf, elle m’a tromper, elle m’la faite à l’envers. C’est tout ce que je retenais. J’lui avais fait confiance et elle m’la mise à l’envers. J’ai pris la route pour le sud, j’comptais m’aérer l’esprit et faire en sorte que Swann devienne une inconnue pour moi.

S’te femme j’lai jamais dit mais elle avait sa place, elle avait une grande place mais à present sa devient une inconnue. Tu m’parles de Swann, j’te répond « j’connais pas ».

***

J’me suis arreter dans un hotel et j’comptais continuer la route le lendemain quand mon téléphone à sonner. C’était Sofiane. Putain avec les embrouilles de l’autre j’avais carrement oublier sa sois disante parternité.

Moi : Wesh Sofiane.

Sofiane : T’es ou Imad ? 

Moi : Qu’est ce t’as frère, t’es bizarre ! 

Sofiane : Faut que j’te parle maintenant.

Moi : J’me suis barrer de Paris.

Sofiane : T’es ou la ? 

Moi : J’me suis arreter à un hotel, j’vais dans le sud.

Sofiane : Imad frère, rentre demain faut vraiment que j’te parle.

Moi : Parler de quoi ? 

Sofiane : On s’rejoint demain et j’texpliquerai tout.

Moi : Wesh qu’est ce ta ? T’es daron ou pas ? 

Sofiane : Azy on parle demain.

Il a raccrocher après sa. J’ai pris mon paquet de clope et ce soir là j’me souviens avoir fumer comme un pompier ! 

Putain Swann !

**************************************

Le lendemain c’est mon téléphone qui m’a reveiller, wesh j’voulais dormir moi mais rien que sa m’harcelait sur mon telephone.

Moi : C’est qui la ? 

Sofiane : C’est Sofiane, t’es ou la ? 

Moi : Qu’est ce que tu veux ? 

Sofiane : T’es ou la ? 

Moi : J’suis à l’hotel là pourquoi ? 

Sofiane : Vassy vient Imad c’est important.

Sans m’ laisser le temps de répoondre, il a raccrocher. Je voulais l’défoncer il trouve le moyen de m’lever et il m’dit meme pas la raison.

J’me suis quand meme lever, et j’ai pris la route dans l’apres midi. Je suis arriver dans notre ville à 17h et j’lai rappeler.

Moi : T’es ou la ? 

Sofiane : T’es arriver ? 

Moi : Ouais.

Sofiane : Vient à l’hotel *****

Moi : Tu fous quoi la bas ? 

Sofiane : parle pas et vient.

Moi : Azy j’arrive.

Je suis aller à l’hotel qu’il m’disait et quand j’suis arriver pour m’garer j’ai vu Sofiane poser en bas.

Moi : Tu m’fait ramener ici pourquoi là ? 

Sofiane : Azy monte avec moi.

J’ne comprenais pas son manège mais j’lai suivit. Il est arriver devant une porte d’une des chambres. 

Sofiane : Azy rentre.

J’suis rentré dans la chambre et j’ai fermé la porte derrière moi. J’ai avancé un peu dans le couloir et je suis arrivé dans la chambre principale ou Swann était posé sur le lit.
Quand j’lai vu, j’suis ressorti direct de la chambre.

Swann : Imad attend…

J’lai pas calculer, wallah j’voulais rien entendre venant d’elle.
En sortant de la chambre, j’ai vu Sofiane a coté de la porte.

Moi : C’est quoi ce plan de pd que tu me fais la ? 

Sofiane : T’es serieux là ?

Moi : J’veux pas la voir là. 

J’me suis diriger vers les escaliers pour descendre mais Sofiane m’a retenu.

Sofiane : Réagi comme un homme au moins et ecoute là.

Moi : Depuis quand tu te meles de ma vie ? 

Sofiane : Putain Imad ecoute la frère, tu t’en mordras les doigts après.

Moi : Déjà qu’est ce qu’elle fou dans un hotel ? Et comment tu savais qu’elle était là ? 

Sofiane : Imad faut j’te parle frère.

Moi : Quoi ? Elle fou quoi ici bordel ?! 

Sofiane : J’suis monter sur Paris pour vous rejoindre et quand je suis rentré avec Lina dans l’appart t’avais laisser Naoufel et Swann dans le salon.

Moi : Et alors ? Il fait quoi mon frère dedans ? 

Sofiane : Imad la tete de ma mère, il lui a fait la misère.

Quand il m’a dit, j’lai attrapper par son col.

Moi : Comment tu parles de mon frère la ? 

Ma miff c’est toute ma vie et jamais j’accepterai qu’on parle mal d’eux.

Sofiane : J’dis la verité. Quand je suis entrer dans l’appart il était entrain de l’insulter et la tenait par sa machoire.

Après sa phrase, j’lai lacher.

Moi : De quoi tu parles ? 

Sofiane : J’te dis ce que j’ai vu. Et Swann te racontera le reste.

Il c’est barrer après sa, putain j’voulais savoir mais c’est impossible que Naoufel lui ai fait quoi que ce soit. Il est pas comme sa, c’est mon frère et j’le connais.

J’suis remonté dans la chambre et je suis de nouveau entrer. Elle était encore sur le lit entrain de pleurer. Elle ne m’avait pas entendu rentrer.

Moi : Qu’est ce qui c’est passer ? 

Elle c’est lever en sursaut et c’est redresser.

Swann : Imad je suis désolé, je te jure que…

J’lai couper, j’voulais pas trop parler.

Moi : Explique moi juste ce qu’il c’est passer c’est tout.

Swann : C’est complqué.

Moi : Swann raconte moi.

J’employais un ton dur et froid mais j’étais obliger, c’était une question de fierté elle m’trompait, elle m’a trompait putain. Comment je fais pour ne pas la tuer alors qu’elle est en face de moi ? 

Swann : Il ne m’aimait pas ton frère, tu l’as bien vu.

J’parlais pas, j’voulais pas parler avec elle, juste l’écouter.

Swann : Tu me l’avais dit que tout le monde nous critiquerai, je me pensaias etre capable d’affronter sa. Mais en faite j’en suis pas capable et encore moins quand sa vient de ton frère.

Moi : Quoi mon frère ? 

Swann : Il m’a dit que j’étais une p*te. Que je n’arriverai jamais au niveau de ta femme. Je veux pas la remplacer Imad, j’ai déjà….Pfouuuuu 

Elle a cesser de parler quelques secondes, elle respirait fortement.

Swann : (avec les larmes aux yeux) : Je veux pas la remplacer. Je sais qu’elle place elle occupe dans ton cœur encore actuellement. J’ai pris ce que tu me proposais mais jamais j’ai voulu la remplacer. Je sais bien que, qu’elle était mieux que moi. Que jamais je n’aurai fait le poids face à elle si elle aurait été encore vivante et…

Je l’ai couper, attend toutes ces conneries elle va me les chercher d’où ? 

Moi : Comment sa elle était mieux que toi ? Qu’est ce que tu me dis là ? 

Swann : Naoufel il me l’a dit tu sais, et je sais que tu penses pareil. 

J’serrais les poings, j’voulais pas en entendre plus, mais il fallait que je sache : 

Moi : Il t’a dit quoi exactement ? 

Swann : Que j’étais une pute, une chienne en chaleur et que tu finirai par me quitter un jour. Que tu ne voudrais jamais d’une handicaper. Je veux pas te bloquer avec moi Imad, je ne t’apporterai jamais autant que ce que toi tu peux m’apporter. Mais sache une chose j’ai été sincère jamais j’ai fait semblant pour cet accident pour que tu es pitié de moi.

Moi : MAIS J’ETAIS LA SWANN, JE T’AI VU SUR CE LIT D’HOPITAL JE SAIS TRES BIEN QUE TU N’AS PAS FAIT SEMBLANT !! 

J’devenais ouf, comment il a pu lui dire toute ces conneries ? 

Swann : Ton frère disait que j’étais une actrice, il voulait me faire marcher mais j’y arrivais pas Imad. J’ai voulu pourtant mais je te jure que j’ai pas reussi.

Moi : Comment sa il a voulu te faire marcher ? 

Swann : Il m’a forcer à marcher, ma retirer les béquilles et m’a obliger à aller au milieu du salon pour marcher.

Moi : Il t’a deja toucher ?? 

Je me contenais et j’avais peur de sa phrase, j’avais peur de ce qu’elle pourrait me dire. Parce que jamais je me serai controler devant Naoufel.

Swann : Non.

Moi : t’es sur ? 

Swann : Parfois il me secouait ou alors me tenait par la machoire mais pas plus.

Moi : Pourquoi tu m’la pas dit avant Swann ? 

J’tournais en rond dans la chambre, putain pourquoi elle a tout garder pour elle ? Pourquoi j’ai rien vu ? 

Swann : C’est ton frère je ne voulais pas faire d’histoire entre vous…mais tu sais Imad…je… jamais je n’ai parler avec un autre….y’a jamais eu le coup de téléphone.

J’ai cogné contre le mur, malgré tout j’esperais un peu que le coup de telephone soit vrai, qu’elle est parler avec quelqu’un. Je me sentais deja coupable mais là c’était pire, je l’avais toucher, j’avais laisser mon frère la toucher sans la défendre alors qu’elle n’a ABSOLUMENT rien fait !!! Putain j’enchaine les conneries avec elle… celle avec qui je veux construire un avenir.

Je l’ai lever et l’ai tirer vers moi pour la mettre dans mes bras.

J’la serrais fort près de moi, en la tenant par la tete.

Moi : J’suis un enculer de t’faire la misère mais wallah j’supporterai pas que tu m’fasse un coup de crasse.

Swann a commencé à pleurer, j’la serrais encore plus fort. 

Swann : Imad plus jamais…. S’il te plait plus jamais tu me touches.

J’lui ai pris sa tete entre mes mains.

Moi : Plus jamais Swann, plus jamais je touche ma femme.

J’lui ai deposer un bisou sur le front et j’ai de nouveau posé sa tete contre mon torse. Dès ce soir je remonte à Paris et j’règle le compte Naoufel. Meme si c’est mon frèren Swann c’est ma femme malgré toute mes conneries

Chronique d'imad : son destin est entre mes mainsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant