Partie sans titre 15

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Dans la peau de Swann 

Médine : Tu m’dois des comptes maintenant. J’veux tout savoir.

Est-ce que j’avais fait le bon choix finalement de retourner avec lui ? 
J’allais très vite le savoir 

Moi : on peut rentrer s’il te plait Médine ? 

Médine : Répond. Pourquoi tu es parti ? Et c’était qui ce fils de p*te de l’hopital 

J’aimais pas qu’il l’insulte, il meritait pas sa Imad parce que malgré tout il avait tout fait pour m’aider.

Moi : L’appelle pas comme sa Médine s’il te plait.

Il a fini par fronser les sourcils.

Médine : Tu l’defend la ?! Devant moi tu l’defend ? 

Moi : ….

Médine : On va rentrer et après on verra.

J’ai tourné la tête du coté de la fenêtre et j’priais le ciel pour que Médine se calme.
J’étais bien trop fatigué pour supporter des cries, des insultes ou… des coups.

On est rentrée à la maison, y’avait ses potes en bas il leur a dit qu’il re descendait et on est monter ensemble.

Il a ouvert la porte et a allumer la lumière.
Tout les volets étaient fermé, sa puait la clope et le renfermer. Et tout était en bordel et jeter par terre.

Médine : Fais pas attention au bordel.

J’ai pas répondu j’me suis senti mal. J’serai resté chez moi, j’aurai joué mon rôle de femme l’appartement. On c’est poser dans le salon et personne ne parlait jusqu'à que : 

Médine : Tu m’fais sa avant le mariage ? 6 mois avant Swann ?? 

Moi : J’en pouvais plus Médine.

Médine ; T’en pouvais plus de quoi ? 

Moi : De tous nos problemes.

Médine : A chaque probleme tu va fuir ? A chaque soucis ? 

Moi : C’est trop dur de supporter sa, tout les coups et les cris.

Médine ; Sa m’fait pas plaisir de te faire sa Swann, j’aime pas te toucher mais j’deviens ouf avec toi.

Moi: ….

Médine : Tu remarques pas les efforts que j’fais. J’ai envie de te monter en l’air là Swann mais j’sais que desfois j’abuses. Donc sur ce coup la j’vais pas te toucher ok ? Mais plus jamais j’veux un autre sur ma route. T’es ma femme, t’es la mienne Swann. Ma miffa c’est la tienne, ma vie c’est la tienne. Mon appart c’est le tien. J’veux t’offrir la meilleure des vies que tu peux avoir mais sois reconnaissante toi aussi.

Il avait raison de A à Z, je devais lui etre reconnaissante le remercier de tout ce qu’il a pu faire pour moi. Sa ma fait mal au cœur, surtout pour sa mère, qui a su me prendre chez elle comme si j’étais sa propre fille.

Moi : J’suis désolé Médine. 

Médine : Ouais.

Moi : Comment elle va ta mère ? 

Médine : Sava elle est toujours au meme endroit.

Moi : Tu lui as dit ? 

Médine ; J’ai rien dit.

Moi : Merci Médine.

Médine : tu sais très bien qu’elle est malade et j’veux pas la faire paniquer pour des histoires de gamins.

J’ai baissais la tete, p*tain j’étais qu’une salle gosse pourri gâter ! 

Moi : Pardon Médine, j’voulais pas en arriver à là.

Médine : Vassy j’vais rejoindre les gars là. 

Il c’est lever et c’est dirigé vers la porte d’entrée, je connais Médine il était décu de moi et je crois que c’est le pire. Il est le seul qu’il me reste, le seul qui s’inquiète encore un peu pour moi. Vous l’avez bien vu vous aussi il n’y a que Médine qui est encore et toujours derrière moi.

J’me suis lever et l’ai rattrapper juste avant qu’il sort : 

Moi : Médine m’en veut pas j’ten supplie 

Médine : A ce soir Swann.

Il est sorti de chez nous et m’a laisser seul à l’intérieur de la maison

Dans la peau d’Imad : 

J’voulais la retrouver, lui dire que j’comptais l’aider que j’étais prêt à plus faire le con mais aucun moyen de la contacter jusqu'à ce fameux jour, c’était 2 semaines après qu’elle soit parti. Le soir du nouvel an : 

Il était 17h de l’apres midi et j’suis passer acheter des bouteilles aves les gars. On avait prévu de s’faire une soirée pour l’nouvel an et y manquait de boissons.

On était 3. Moi, Sofiane et Souleymane.

* Souleymane et moi on c’est vu et on a parler, il m’en voulait pas de ‘lavoir fait sortir de chez lui. En revanche il a été très clair, si il la revoit il hésiterait pas à s’en charger. Mais avant de me dire sa il m’avait poser une question : 

Souleymane : Elle compte pour toi ? 

Moi : Qu’est tu raconte frère ? Bien sur que non .

Souleymane : Alors j’prefere te prevenir Imad, le jour ou j’la revois j’men occupe.*

J’étais persuadé que jamais il la reverrai, et puis je sais aussi que c’est ma réponse qui a fait qu’il a décider de s’en charger lui-même.

Pour en revenir à ce jour là on était au supermarché, nous au rayon boisson a savoir qu’est ce qu’on allait prendre quand j’ai entendu : 

… : Swann oublie pas le Schwepps sinon Médine il va nous souler.

Souley n’a pas calculer ni Sofiane, mais moi si et c’est en me retournant que j’ai vu : 

Swann, mais elle n’était pas seule.
Elle était avec une jeune fille et une femme assez grande mais pas vieille.

J’ne savais pas encore que c’était sa belle sœur et sa belle-mère.

Chronique d'imad : son destin est entre mes mainsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant