La chute

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L'opération se déroulait trop bien.  Jusqu'à ce que d'autre appareils de l'enclave firent leur apparition. Ils utilisaient un moyen efficace de repérer les soldats de l'enclave et les premiers morts du côté confrérie se firent remarquer .

- Merde on se fait niquer !
- Alors ferme la et tire putain! hurla le pilote à jodi.

Les tirs fusaient dans tout les sens. Même Jodi en reçut quelques un manquant de la faire chuter dans l'océan sombre.

- Mais merde il fait quoi l'autre con avec son satellite !?
- Ta geule et pilote Karl ! Lui rétorqua Jodi.

Le combat dura alors. Tout semblait s'éterniser sans arrêt tir , bruit de moteur , soldat tombant dans l'océan , sombrant sous le poid de l'armure.
Ce fut alors un succès. La confrérie avait occupée l'enclave suffisamment de temps. Une ombre immense apparue au dessus de la plateforme.

- Ici votre présidente veuillez accuser d'urgence .

Elle n'eut pas le temps d'en dire plus.

Le satellite militaire était trop proche. Il laissa tout juste le temps à la confrérie de s'éloigner. Donnant par la même occasion l'opportunité d'éliminer les derniers vertiptères de l'enclave. Le satellite percuta la plateforme et explosa. Jodi n'avait jamais vu d'aussi grosse boule de feu. À tel point que son véhicule fut projeté sur quelques centaines de mètres avant de reprendre le contrôle .

- Bon les gars ! On rentre au bercail ! Hurla alors un des pilote qui suivit par tout les autres quittèrent le lieu de leur ultime assaut.

Ce fut une vraie fête. Chacun buvait ou mangeait en quantité déraisonnable. Tous criaient leur joie et leur soulagement. L'heure n'était pas au pleurs des quelques 38 morts. Non tous faisait la fête. Cette foi et pour de bon l'enclave avait disparu laissant une ère de paix dans ces terres déjà bien violente.

- Alors ? Tu vas faire quoi maintenant ?
- Comment ça ?
- Bah la confrérie à gagnée. Tu peux partir si tu veux.
- C'est vrais Sofie je suis libre maintenant. Mais qui veillerait sur toi si je me tire ? Non hors de question. J'ai trouvé une voie qui m'est disons ... Intéressante. Je n'imagine pas mieux. Je préfère me battre pour protéger les autres plutôt que faire la pute ou finir comme raider. 
- Alors on a qu'à se marrier !
- Bonne idée !

Les deux jeunes filles s'embrassèrent . L'aube se levant laissant apparaître un soleil radieux qui pour une fois n'annonçait pas une autre journée de folie.

Fin .

L'inconnue de la confrérie . Où les histoires vivent. Découvrez maintenant