Dame d'un soir...

Eh oui je suis la dame d'un soir, du moins c'est comme ça que je me vois. J'ai enfin déménage chez moi. Je suis officiellement une adulte.  Je suis allée m'installer dans mon appartement avec ma petite soeur Magali. Très heureuse Magali me propose d'aller fêter ça
Magali: chouchou faut qu'on fête ça! Enfin nous avons quitté les parents vive la liberté !
Moi: tu as raison chouchou allons nous éclater en boîte
Mag: ehh je te connais tu ne finis pas dans le lit d'un inconnu promis
Moi: promis chouchou
Eh oui ma grande faiblesse, malgré mes 24 piges, je suis une grosse naïve et généralement je couche le premier soir avec le premier qui me promet monts et merveilles. En quelques sorte je suis une  femme facile. Dommage! Une rêveuse surtout .
Nous nous rendons en boîte de nuit du coin. Direct je me déchaîne sur la piste de danse. Derrière moi je ressent une présence masculine, torse grand et majestueux, fort. Je me retourne directement. Il était juste collé à moi... Cette peau d'ébène. Des yeux d'un noir profond. Ces bras si musclés. Un inconnu qui dansait.
Moi: euh... Excusez-moi on se connait?
X: pas encore, mais ça ne va pas tarder. Gilbert, enchanté
Moi: vous êtes trop proche
Gilbert: accorde moi un instant
Je me dirige hors de la boîte de nuit avec gilbert. Il est très beau. Je n'arrive pas à défaire mes yeux de son corps si beau si majestueux.
Gilbert: petit chocolat prend ton mal en patience, tu vas très bientôt dévorer ce chocolat noir
Moi: bonjour la modestie !
Il rigole et laisse voir ses merveilleuses fossettes et une dentition on ne peut plus blanche.
Nous sommes enfin dehors, derrière la boîte de nuit.
Gilbert: madame x tu est si belle. Tes lèvres pulpeuses, laisse moi les goûter. Laisse moi t'aimer. D'un élan je l'embrasse avec passion et fougue. Il ne résiste pas. Il me porte et met mes pieds autours de ces reins. Je veux résister, je me dis intérieurement " non ma belle, tu ne dois plus être la dame d'un soir".  Je parviens à détacher mes lèvres et lui dis
Moi: Qu'est-ce qu'on fais, on ne se connait même pas
Gilbert: laisse toi faire. Je t'observe depuis que tu es entrée si belle avec ta soeur ou amie. Avec ton sourire envoûtant, avec ta fossette si parfaite, avec tes lèvres roses et pulpeuse, avec ... Laisse moi faire. Il avait remarqué tant de chose en moi. C'est le bon. Je me laisse aller. Ce qui devait arriver, arriva. Oups! J'ai oublié magali. Après l'acte je rentre directement aux toilettes pour me nettoyer, puis je retrouve magali.
Moi: chouchou on dois rentrer
Mag: ou étais-tu ? Je me suis ennuyée à mourir
Moi: euh je discutais avec un vieil ami.
Mag: tu me le présentes
Moi: surtout pas. Allons y! Mais avant je dois dire au-revoir à mon ami.
Nous sortons de la boîte. Je cherchais gilbert. D'un coup le ciel me tomba sur la tête! Gilbert était juste en face de moi entrain d'embrasser une inconnu. Une fois de plus j'ai été très facile et dame d'un soir. Je ne pu retenir mes larmes qui se sont mis à couler
Mag: pourquoi tu pleures chouchou?
Moi: oh.. Euh.. Le sable.. Dans les yeux ... Désolée. Rentrons
Sans plus dire un mot, je nettoyais mes larmes, et pris la main de magali en me jurant de ne plus jamais me laisser aller face à un homme plus jamais. Cette nuit a été certainement la plus triste de ma vie... 
Le weekend est passé si vite, je ne voulais ni sortir ni voir quelqu'un. Il était lundi et il fallait que je me rende au boulot. Magali préparait sa licence donc s'est rendu à l'Université de bonne heure.
Il est 7h30, je suis au bureau. Ma patronne entre. Il s'agit de Madame Deguiset. Une belle femme noire à la peau d'ébène avec une forte poitrine et des formes généreuse. La femme africaine parfaite. Elle était mariée avec un français du  nom de Robert Deguiset d'où son nom. 
Mme Deguiset: bonjour mamezelle. Je vous attend en salle de conférence dans 15 minutes. Nous devons accueillir un partenaire très important. Il s'agit de M. Sophian L'Aurore. Vous allez présenter nos projets sur la protection de la faune et la flore marine. Je compte sur vous !
Moi: D'accord Mme.
Mme: Eblouissez moi, éblouissez nous!