Hugo et Lionel : Jour 28

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Les deux frères passent maintenant la majeure partie de leurs journées à coucher ensemble. Enfin, Lionel demande quand même des pauses, il faut ménager son petit cul, déjà bien irrité.

– T'as envie de me prendre ?

– Non, Hugo. Dans tous mes fantasmes, je suis toujours le soumis, c'est ce que je préfère.

– T'aimes vraiment ça ?

– Ouais, et je pense que tu ne te laisserais pas prendre, t'aimerais pas.

– J'en ai aucune envie, en effet.

– C'est normal, et tu dois comprendre que ça ne me dérange pas du tout.

Ils ont eu le temps de tester toutes les positions. Celle qu'Hugo préfère est lorsque son frère reste sur le dos. C'est ce qui se rapproche le plus de la position qu'il adopte quand il fait l'amour avec sa femme.


Lorsqu'il en a envie, Hugo va voir son frère. Quand il est déjà en érection, il n'y a aucun suspense.

– Sur le lit !

– Non.

– Comment ça, non ?

– J'ai pas envie de baiser.

Lionel décoche un clin d'œil à son frère qui, tout aussi vicieux que lui, comprend le signal.

– T'es ma petite pute, à me disposition, je te dis d'aller sur le lit.

Il prend Lionel par le bras et l'oblige à se lever. Ce dernier lui envoie un coup de poing sur le torse.

– Tu veux te battre ?

Les deux frères commencent un combat dans la chambre. Ils luttent de toutes leurs forces, jusqu'à ce qu'Hugo arrive à immobiliser son frangin sur le lit.

– Tu fais moins le malin.

Lionel attrape les couilles de son frère et tire de toutes ses forces.

– Salope.

– Tu vas lâcher prise ?

– Pas de chance, frangin, j'adore ce genre de torture, t'es juste en train de me mettre en rut.

– Pousse-toi.

Lionel tente de se débattre, mais vu la corpulence de son frère il n'a aucune chance.

– Tu vas pas me violer quand même !

– Ta gueule, écarte les cuisses.

– Non.

Brutalement, Hugo oblige son frère à écarter les cuisses. Il plante son sexe entre ses fesses.

– T'aimes ça.

– Non, je ne veux pas.

La résistance de son frère rend Hugo encore plus fou. Tout en le maintenant fermement plaqué contre le matelas il le sodomise de toutes ses forces.

– Ouais, continue à te débattre.

– Arrête !

– Crie, personne peut t'entendre.

Lionel joue le jeu et tente de se défaire. Les muscles bandés, Hugo est plus excité que jamais.

– T'es mon vide couilles.

À peine a-t-il dit ça qu'Hugo jouit entre les fesses de son frère.


Après ce combat viril et sexuel ils reprennent leur souffle.

– Je ne sais pas lequel de nous deux est le plus pervers.

– On est devenu des bêtes.

– C'était un bon ce scénario.

– On peut en imaginer plein d'autres. N'hésite pas à me dire ce que tu aimes.

– On pourrait prolonger la partie torture.

– Pas de souci.

– Et si j'achète des petites culottes, tu vas jouer la femelle ?

– On a le temps de réaliser tous les délires.

– Tu vas morfler.

– Et tu sais que j'aime ça.

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