Chronique de Ava - Pas le choix, je prends la relève - Suite -

Partie 14

Je n'ai pas eu le temps de finir ma phrase que plusieurs voitures se garent devant la maison et laisse sortir une dizaine d'hommes armés, tous habiller en noir, d'autres sont cagoulé, d'autres portes un masque sauf Lui.

Sont visage été à découvert, un grand homme costaud et musclé, une coupe bien coiffer. Un bel homme.

Nos regard se sont croisée...un sourire au coin s'affiche sur son visage, mais l'instant ne durera pas, car j'ai vite compris que ce n'était pas des invités.

Les hommes cagoulés font le tour de la villa, puis ceux masqués enfonce la porte d'entrée et tout commence par une fusillade.

Je cours dans la voiture me changer, j'ai bien de fait de prendre une tenue de rechange, je m'arme, puis je cours pour rejoindre Saïd, Lounes me coupe dans mon élan, il me tire le bras et me dit 

Lounes : Oh tu fais quoi là, tu vois ce qu'il se passe ou quoi ? 

Moi : Quoi ? Mais ça va pas ou quoi, mon frère est à l'intérieur tu crois que je vais les laisser faire ? 

Lounes : Ava, je sais mais tu peux pas y aller, ils sont trop et armée en plus, sa tire de partout, je veux pas qu'il t'arrive quelque chose, tu comprends pas ?

Moi : Lounes, je crois que c'est toi qui ne comprends pas mon frère est à l'intérieur peu importe qui s'y trouve et qu'est-ce qui se passe jamais je ne le laisserai

Lounes : Je viens avec toi 

Moi : Va dans la voiture Lounes, je reviens avec Saïd 

Lounes : Quoi ? tu m'as pris pour un fils de pute ou quoi jamais je vais te laisser te jeter dans des merdier pareil, on est venu ensemble ici on repart ensemble peu importe de quel manière je repars avec toi 

Moi : Lounes ? Arrête...

Lounes : Vas-y on y va

Il me sort une arme de nulle part 

Lounes : Moi aussi je suis équiper tu crois que quoi

Moi : Lounes !

Lounes *se dirigeant vers la maison* : On est pas dans un film Ava là c'est la réalité, on va chercher ton frère

On cours à la villa et la un massacre ! Des femmes et des hommes blesser d'autres sont mort, l'ambiance chaleureuse et élégante c'est transformer en un abattoir sanglant, les tires ne s'arrêter pas, j'étais à peine à l'entrée les hommes masqués n'étaient plus dans la pièce je regarde au loin et vois la porte noir où était Saïd je me dirige rapidement en prenant mes précautions...

Moi : SAID ! NOON SAID !

Said était tâcher de sang, il ne bouger plus, Paco n'était pas là, il n'y avait que Said et seulement lui, je venez d'entendre des bruits de tire ! c'est pas possible j'ai l'impression de rêver ! Je cours à Said, me met à sa hauteur et le prend dans mes bras j'étais tellement paniquer que j'en oublié presque la pratique des premier secours, je trembler tellement que j'avais l'impression de lui broyer le thorax

Moi : SAID ! NE ME FAIS PAS ÇA ! SAID JE T'EN SUPPLI SAID PENSE À PAPA PENSE À NOUS SAID PAR LA PUISSANCE DE DIEU SAID NE ME FAIS PAS ÇA TU N'AS PAS LE DROIT SAID NE ME LAISSE PAS SAID...SAID...SAID !

Lounes me poussa il vit dans mon comportement que je n'était pas dans la capacité de l'aider, puis d'un coup tout noir mes yeux se ferma lentement, puis plus rien...

À suivre prochainement.