Chronique de Ava - Pas le choix, je prends la relève - Suite -

Partie 1

Vous devez savoir qui je suis ? Vous devez surement connaitre mon histoire, savoir comment j'ai fait pour en arrivait là. Comment, ma mère, Shauna De Lavega m'a trouver ? J'étais si petite et innocente, faire partie de ce monde entre la guerre, la folie, la haine, l'amour, la joie, la peur m'a transformer, devoir déménager tous les 6 mois à cause des ennemis de ma mère, elle est tout pour moi, la seule que j'ai eu, et je ne lui en veut ni maintenant ni après de m'avoir kidnappé, ils ont suent être direct avec moi, dès l'age de mes 13 ans ils m'ont avouaient que je n'étais pas son enfant, à Shauna et Hatem, qu'elle m'avait kidnappé accidentellement, ils m'ont dit également qu'elle aurait pu me rendre mais elle a fait le choix de me garder, Hatem à toujours su gérer son temps pour s'occuper de moi, je me suis jamais sentis mise de coté malgré qu'il avait beaucoup de travail.

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Moi c'est Ava De Lavega, j'ai à présent 21 ans, je suis interne en tant qu'infirmière, je suis où maintenant ? Le fait que je déménage tous les 6 mois, Hatem, ses "hommes" et moi-même sommes retourner au Brésil, il dit que c'est mieux de retourner "là où tout à commencer" puis il veut devenir le chef de l'ancienne favela de ma mère Shauna, il à changer d'identité, ce n'est plus Hatem Bensaid, mais Hernando Hernandez, quant à moi, c'est toujours Ava, Ava Hernandez, enfin bon. Son gang s'appel toujours comme ma mère l'avait appeler Los Serpentes mais cette fois il à ajouter un nouveau tatouage c'est "H&S" pour Hatem et Shauna, il y a que moi et Mehdi qui le sait enfin bref.

J'ai pas finis mes heures il me reste encore 2 heures avant de rentrer chez moi, j'aime travailler en soignant les gens, ça me libère un peu de ce qu'il se passe dehors et chez moi, ça changes des règlements de comptes toutes les 5 minutes, façon de parler. Entendre des bruits de tires, des femmes ou même des hommes se faire violer à même la rue, des échanges de drogues, d'arme et pleins d'autre trafic, des gens innocent ou non se faire tuer à le vue de tous est devenu mon quotidien, à vrai dire, j'ai jamais connu les instants calmes, une journée ou je n'entends pas que tel ou tel est mort, que tel ou tel va mourir, que tel ou tel n'a pas rendu l'argent qu'il devait, cela me choque plus, à vrai dire cela ne m'a jamais vraiment choquer, est-ce ça le brésil ? Je ne sais pas, j'ai pas vraiment d'idée sur ça, je pourrais pas vous dire si le brésil c'est vraiment la violence car j'ai seulement connue ma favela et l'hôpital des pauvres pas très loin de celle-ci.

Dans deux jours je fais mes 22 ans, mon père, Hatem, m'a dit qu'il avait une très grande nouvelle à m'annoncer, j'ai hâtes de savoir qu'est-ce que c'est, parce qu'habituellement mon anniversaire on ne le faite par manque de temps à Hatem, mais il prend le soin de m'envoyer des cadeaux enfin bon, aujourd'hui comme chaque jours, je vois différentes personnes dans différents cas, pourquoi cela amuse les gens de tuer, de frapper les autres, comment m'a mère à pu entrer dans ce monde de la favela, mon père ne m'en a jamais vraiment parler, il n'a jamais voulu me raconter l'histoire de ma mère et leur rencontre, tant pis, je fais avec.

Plus que une heure avec de retourner chez moi, mon petit frère Saïd, il ce la joue trop, toujours dehors, Hatem m'a dit qu'il faisait pensée à un ami à lui qui s'appel Sebastian, il parle souvent de lui et d'une certaine Yasmine, qu'il aimerait les revoir et savoir ceux qu'ils deviennent. Maintenant c'est ma pause je n'est que 10 minutes, je vais en profiter pour aller fumer et appeler Saïd. Je sors de l'hôpital par la porte de derrière, je sors une cigarette je l'allumes puis j'appels mon frère

***Appel téléphonique***

Saïd : Olà ?

Moi : Saïd t'es où ?

Saïd : C'est bon owh, je suis avec mes amis

Moi : T'es amis ? T'es pas au travail ?

Saïd : J'y suis

Moi : Je fini dans pas longtemps t'as intérêt à être à la maison

Saïd : Oh ça va toi, après je vais avec papa, donc soul pas

Moi : SAÏD JE...

***Fin de conversation téléphonique***

Quel con celui-la, toujours à vouloir faire le beau devant ses amis, je lui ai trouvé un travail dans un garage, mais monsieur veut ressembler à papa, beh nique sa race je suis pas d'accord, les gangs c'est pas fait pour lui, il espère devenir chef et prendre la relève de ma mère, et puis quoi encore, les rêves c'est la nuit, il m'insupporte quand il veut ce la jouait grand devant tout le monde, 21 ans dans le cul celui-la, désoler hein mais je suis trop vulgaire.

Après ma pause, je vais reprendre le travail, enfin bon une journée comme toutes les autres, jusqu'à qu'au moment de partir j'étais dans le bureau des infirmière quand on toque à la porte

Amaria (une autre infirmière) : Ava dépêches toi quelqu'un demandes après toi

Moi *en me levant* : Quoi ? Comment ça ? Pourquoi moi ? Y'a pleins d'autres infirmières, puis j'ai fini ma journée moi

Amaria : Oui beh tu ferais mieux de remettre ta blouse et de venir

Moi *en remettant ma blouse* : Qui est-ce ?

Amaria : Euh *en regardant toutes les autres infirmières du bureau* viens

Je sors de la pièce, puis je regarde Amaria droit dans les yeux, je voyais la peur des ceux-ci

Moi : Amaria, qui est-ce ?

Amaria : C'est *avec une voix tremblante* c'est Luis

Je fis les gros yeux, je n'arrivais plus à parler, Luis, Luis qui est-ce ? C'est le nouveau chef de la favela, il fait tellement peur et est sans pitié, que je n'oses plus parler, après que ma mère est fait son parcours il a voulu devenir comme elle mais en pire, quel idiot, mais d'après ce que l'on m'a dit ma mère n'était pas vraiment méchante, enfin bon, pourquoi me vouloir moi ? Y'a pleins d'autres infirmière ici

Moi : Amaria je veux pas, je peux pas, tu sais très bien qui c'est

Amaria : Oui mais il a dit qu'il voulait toi et personne d'autre et très vite

Moi : Il a quoi ?

Amaria : Du moins il veut quoi ?

Moi : Comment ça ?

Amaria : Tu verras, dépêches toi, il m'a l'air énerver

Moi : Il est où ?

Amaria : Salle 11

Je ne parles pas plus, et me diriges vers la salle, arriver devant la porte, je n'osais pas l'ouvrir ni même toquer à la porte par peur, que veut-il ? Je prends sur moi et ouvre la porte et vois...

À suivre prochainement