Katelyn, une jeune fille déterminée va se rendre à la base où se trouve son meilleur ami, qu'elle considère comme un frère, elle va y rencontrer la bande de Thomas et les aider à s'échapper de cette base, en allant dans la Terre Brûlée.
Katelyn est...
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JE DÉPOSE lourdement mon sac sur le sol sableux, avant de m'accroupir pour récupérer une respiration normale. De la lumière apparaît, un des gars avait des lampes torches et en distribuait aux autres.
Je lui en prends une des mains sans le le lui demander. Je mets la lampe dans ma bouche pour la tenir alors que je m'aidais de mes deux mains pour fouiller mon sac et trouver mon carnet.
— Ah! Ah, m'exclamais je tout en marmonnant à cause de la lampe qui était dans ma bouche. He voi-à... alors, soupirais je après avoir libérée ma bouche.
Je tourne mes pages une par une pour retrouver celles où j'y avais trace une carte pour le retour. Mon plan de retour pour rentrer avec Aris, chez notre nouveau chez nous. En attendant les garçons du groupe A étaient en train de concerter Thomas pour connaître la suite de leur plan.
— Bon, c'est quoi ton plan Thomas? L'interroge Newt brisant le silence.
— Je... j'en sais rien.
— Tu veux dire que t'as pas de plans? S'exclame le blondinet dont la tension montait.
— Si... enfin, reprend Thomas, non.
Il était en train de perdre tous ses moyens. Il était tellement obnubilé à l'idée de sortir, lui et ses amis, d'ici qu'il n'a pas pensé au après. Plus précisément à ce qu'il ferait maintenant, en plein désert, et où ils pourraient se réfugier, voire vivre.
Même si ça me fait de la peine pour lui, je ne me mêle pas et consulte mon plan.
— Attends on t'a fait confiance, on t'a suivi jusqu'ici et tu nous dis que tu sais pas comment nous sortir de ce merdier! Crie Newt.
— Attendez, Janson a parlé d'une armée de résistants dans les montagnes, rétorque Aris.
Ça, c'est ce qui réussit à attirer mon attention et à me faire relever les yeux de mon carnet.
— Non, lâchais je à mon ami, assez surprise par sa naïveté. Me dit pas que t'y crois.
— Ouais... hum...le Bras Droit, continue Thomas en ignorant ma remarque.
Je commence à m'emporter dans un petit fou rire, ce qui attire tous les regards interrogés de la bande sur moi. J'en ai strictement rien à faire qu'ils me prennent pour une tarée, parce que clairement pour moi c'est eux qui sont fous pour croire à une légende urbaine pareille.
— Qu'est-ce qui te fait rire? Me demande Thomas.
— Tu sais pas de quoi tu parles Thomas, lui disais je en essayant de calmer mon rire. Tu parles d'un fantôme.
