❋ Vingt-neuvième partie.

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— J'ai bien peur de ne pas réussir à me contrôler.


Sa voix devenue légèrement rauque me fit doucement sourire, alors qu'il démarre le chronomètre depuis son téléphone qu'il me montre.


Je soutiens son regard dans le mien alors que les secondes passent de plus en plus vite. Il lance un bref regard vers le chronomètre qui annonce qu'il reste vingt secondes. Je m'approche de ma robe au sol, soutenant le regard de Maël qui paraît déçu de me voir la récupérer. Alors qu'il pensait que j'allais l'enfiler, je la pose sur le canapé près du lit en attrapant l'agrafe de mon soutien-gorge en voyant qu'il reste seulement cinq secondes.


Qu'est ce que tu es en train de faire Sampaio ?

Lorsque mon soutien gorge tombe au sol, Maël se mord la lèvre en arrêtant le chronomètre tout en posant son téléphone sur le canapé.



— Donc tu sais ce que ça veut dire ? Demande t-il doucement.

— Fais le avant que je regrette rapidement ce que je suis en train de faire.


Et dans un élan, il plaque ses lèvres contre les miennes de manière brutale qui me fit doucement gémir alors qu'il attrape le dessous de mes cuisses pour me soulever. Il me pose délicatement sur le matelas en quittant mes lèvres, pour tracer une lignée de baisers dans mon cou et sur ma poitrine, sur laquelle il s'attarde alors que ma main vient empoigner ses cheveux lui arrachant un grognement.

Il revient jusqu'à mon visage et repose ses lèvres sur les miennes alors que je fais passer son t-shirt au dessus de sa tête. Je me sépare de ses lèvres, en passant le bout de mes ongles dans son dos et sur son torse alors qu'il enlève son jean me laissant un bon aperçu de son niveau d'excitation. Je lui lance un sourire moqueur alors qu'il rembrasse le bout de mes lèvres.


— On va sûrement nous chercher alors fais vite frenchie, on a pas tout notre temps. Chuchotais-je.


— Chut Ivana, apprécie simplement le moment.


Il sort de la poche de son jean un préservatif alors que j'enlève la dernière barrière qui me reste, laissant le sous vêtements tomber au sol. J'attrape la protection de mes mains sortant son membre de son boxer pour le lui enfiler alors qu'il me fixe, d'un regard mi surpris mi envieux.


— Tu caches bien ton jeu. Me chuchote t-il.

Dommage, tu aurais pu en apprendre d'avantage sur moi mais tu as préféré faire un pari-


Ma bouche et mes yeux s'ouvrent en grand lorsqu'il s'insère sans ménagement en moi.


— Désolé, mais tu parles un peu trop.

Je me mords la lèvre lorsqu'il effectue son premier coup de rein de manière brusque, mes mains viennent s'accrocher à ses larges épaules alors qu'il noue mes jambes autour de sa taille pour s'enfoncer un peu plus profondément. Je ferme les yeux la poitrine montant de plus en plus rapidement, plus ils enchaînent coups de rein sur coups de rein.














ıllıllı ıllıllı ıllıllı








— Vous êtes, mais, dégoûtants purée !


— Orh ça va, c'était un petit moment de flottement.


— Mais pas dans le lit dans lequel on dort !


Je lance un faux sourire à Athena à mon opposée, qui m'aide à mettre les nouveaux draps alors que je me remets peu à peu de mes émotions.

Irréel.


Je suis dans un rêve. C'est impossible.


Quatre heures auparavant on venait de se disputer, et une heure auparavant j'étais à la limite de crier son prénom.


Impossible. Ivana tu es la fille la plus facile possible, plus facile que moi en ce moment, il n'y a pas.



— Moi qui pensait que tu allais finir ta soirée avec Angel, je suis bien surprise que ça soit avec Maël. Même si vous auriez pu épargner ce pauvre lit.


— Bon Athena ça va, Léo et toi vous n'êtes pas mieux.


— On l'a jamais fais chez des gens nous ! Et surtout dans la maison de notre correspondant !


— Olala mais pourquoi vous criez autant ? Fit Bianca en rentrant dans la chambre vêtue de son pyjama les cheveux enroulés dans une serviette.



Ivana et Maël ont couché ensemble et dans notre lit ! Dit Athena sans retenue.

— QUOI ?!

— Athena ! Dis-je en la foudroyant du regard.


— Attend j'ai mal entendu ou Maël et toi, vous avez couchés ensemble ?

— Tu as très bien entendue. Fit Athena. Après une grosse dispute ils se sont réconciliés, en couchant ensemble sur LE lit, sur lequel j'ai dormis pendant deux semaines et sur lequel je vais dormir une dernière nuit.


— Mais... Comment ? Me fit Bianca choquée. Vous veniez de vous disputez et...


Tu veux un dessin Bianca ? Demandais-je en riant légèrement.


Tu as compris ce que je voulais dire Ivy, allez raconte.


— Je dansais, il m'a attrapé le bras et m'a enfermé dans la chambre. Donc au début, on c'est disputés et je l'ai défié de faire ce pourquoi il avait parié avec Terence.



— Et il l'a fait. Conclut Bianca un petit sourire moqueur aux lèvres. Plus facile que toi ce soir, il n'y a pas.


Disons que je l'ai aussi un peu cherché et je l'ai poussé à le faire. Dis-je tout bas.


Orh Ivana. Lève les yeux aux ciels Bianca.


Tu devrais t'appeler Peggy la cochonne vraiment. Athena sourit alors que je lui montre mon majeur.


Et comment vous avez eu les draps ?


— J'ai demandé à Chloé en lui disant qu'on avait vu deux personnes entrer dans la chambre en s'embrassant. Bien sûre, je n'ai pas dis que ces deux personnes sont son crush et sa propre correspondante, sinon elle aurait fait une crise cardiaque.


— Le jour où ça sera votre tour je vous ferrais pareille qu'aujourd'hui. Bibi aide nous pour la couette s'il te plaît.


— Bonne nuit les filles !


— Bianca, viens ici ! Criais-je en souriant.


Oh c'est bon, rabat joie.


















































1) ce retournement de situation 🤣
2) J'ai vraiment fais quelque chose de soft pour ce lemon, encore une fois, si ça gêne, manifestez vous et la prochaine fois je ne le décrirais pas
3) On est bientôt 6k et 800 votes
4) J'espère que ce chapitre vous a plu 😌🖤

𝐂𝐚𝐦𝐩𝐮𝐬 ; 𝟣𝗌𝗍 𝗌𝖾𝖺𝗌𝗈𝗇Where stories live. Discover now