On s'etait dis adieu, Mais le temps n'efface rien.

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PDV Elena

J'étais allongée sur la route, en pensant à ce que je faisais ici, et pourquoi.

Pourquoi j'étais revenu ? Si j'étais honnête avec moi même, je dirais sûrement que... Nan vous savez quoi ? J'ai pas envie d'être honnête avec moi même. J'ai envie de manger. Et la mon repas vient tout juste d'arriver...

"- Oh Mon Dieu ! Mike il y a un corps... " dit une voie de femme, horrifiée venant de la voiture.

"- Je... Heu.. Reste la ma chérie, je... Je vais voir." Répondit celui qui devait être Mike.

Il sorti de la voiture et s'approcha doucement de moi. Encore un peu, et la... Hmmmm délicieux. Ma victime criait et essayait de se dégager de mon emprise, mais bientôt il tomba à terre, vidé. Son amie sorti de la voiture en courant et se précipita vers Mike. Mais en me voyant, l'allure sauvage, et le visage en sang, elle pris peur et se mît a courir. Son sang battait contre ses poignets, ses tempes, mais surtout contre son long et délicat cou... Je lui laissait un peu d'avance et me mis à courir après elle. Je l'attrapais mais soudainement je fus rejeter en arrière.

"- Tu vas rentrer chez toi, oublier tout ce qui s'est passé. Mike a décider de partir en voyage, très loin et pour très longtemps. Tu va être triste. Mais tu comprends. " dit la voie de Damon, hypnotisant ce qui aurait du être mon repas.

"- Rentrer chez moi. Oublier. Mike loin pour longtemps. Je suis triste, mais je comprends." Répéta d'une voie monotone la jeune femme.

Puis Damon la relâcha et elle se dirigea vers sa voiture. Elle démarra, et partit.

Je me relevais péniblement, et m'apprêtais à me jeter sur DAMON, quand soudain, le noir complet...

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Je reprenais mes esprits tout doucement. J'avais affreusement mal a la tête, et j'avais affreusement faim. J'Ouvris un œil, puis l'autre et me rendis compte que je me trouvait dans la cave des Salvatore. J'essayais de me lever, mais des cordes imbibé de verveine tenaient mes cheville et mes poignets.

Je poussais un grognement de douleur, et essayait de détacher mes liens, mais une main m'en empêcha. Je levais les yeux, qui croisèrent deux pierres précieuse d'un bleu hypnotisant.

Damon. Encore lui.

PDV Damon

Elle était la, allongée, attachait, sûrement souffrant le martyr vu la quantité de verveine que je lui avais administré. Pourquoi c'est toujours moi qui fait le sale boulot hein ?

" - Eh Bien... Tu t'es enfin décidée à te réveillée ?"

"- Qu'est-ce que je fous ici ?! Damon joue pas avec mes nerfs, je t'assure que tu veux pas me voir énerv-aaaaaarghhhhhhh". Cria Elena avant de gémir de douleur.

"- Écoute Elena. Que tu revienne ? Ok. Que tu vienne squatter chez nous ? Ça passe déjà beaucoup moins, mais pourquoi pas ? Que tu tue le copain a Caroline ? Pas ok du tout. Mais alors tuer des innocents juste pour le plaisir ? Ca passera pas, et il y a aucune chance que Stefan, Caro, et moi te laissons faire."

"- Ma..."

"- Nan c'est moi qui parle. Je te l'ai demandé une fois, et t'as pas voulu répondre, mais la j't'avoue que j'ai besoin de réponse Elena.

Tu peux... Je... Tu nous as dit adieu Elena. Tu nous as écrit une grande et belle lettre qui au fond se résume à "C'était super, mais je dois y aller. Oubliez moi". Tu sais combien de fois Stefan, Caroline, Bonnie, Jérémy et moi on l'a lu cette lettre ? Combien de message on a laisser sur ton répondeur avec l'espoir que peut être tu nous répondrais ? Mais on s'y est fait. On a avancé sans cette personne qui était une sœur de cœur ou de sang, une amie, une alliée. On a essayé de passer outre les informations, les rumeurs qui t'accusaient une à une. Qui parmi nous aurait imaginé que les nouvelles qu'on aurait de toi serait celle de tes meurtres, de tes victimes, de ta descente au enfers ? Il nous a fallu près de 100 ans pour se remettre de toi, pour se remettre du nombre de fois ou on avait risqué nos vie pour une fille qui au final ne nous serait même pas reconnaissant.

Alors dis moi, la, ce que tu viens faire ici. Parce que la dernière fois qu'on s'est vu c'était pour des adieux et vu la personne que tu es devenu, j'aurais aimé que ce soit de vrais adieux." J'avais dit ça d'un trait, poussé par un élan de courage. Mais qu'est-ce qu'il m'avait prit de dire ça ?

J'avais vu les expressions d'Elena changer au quart de tour. Et je ne savais plus comment les interpréter, et dire qu'il fut un temps ou j'étais le seul à pouvoir sécher ses larmes, à la comprendre à la perfection, à la soutenir, à la pousser vers le haut... A l'aimer. Ah oui, je l'ai aimé à en crever, mais ce n'est plus le cas non ?

PDV Elena

Heu. Whaaaaaaat ? Il vient vraiment de dire tout ce que je viens d'entendre ? De la nostalgie. De la tristesse. De la peine. Vous savez cette peine qui vous noue la gorge, vous donne envie de pleurer, vous fait croire que le monde va s'écrouler et que votre vie est foutu ? Eh bien, j'aurais juré que tout ça il avait voulu me le faire ressentir en sortant son petit speech. Et peut être bien que j'avais fini par en ressentir. Un peu. Rhaa.

" ... Waw. J'avais oublié à quel point tu pouvais être... Touchant quand tu le voulais. Hum." Dis je avec une voie un peu tremblante.

" Ouai, c'est vrai que toi il t'as même pas fallu une semaine pour nous oublier." Cracha Damon avec rancœur.

" Hah. Mais tu crois que quoi ? Que j'ai oublié les deux fille avec qui j'ai vécu chacun des moments les plus important de ma vie ? Que j'ai oublié mes parents, que j'ai oublié Jenna, Alaric, Meredith et Jérémy ? Tu crois que j'ai oublier le garçon dont je suis tombé amoureuse et qui m'a aidé à me relever ? Ou encore celui qui me prenait dans ses bras quand je pleurais à cause de son propre frère, celui qui m'écoutait et qui aurait ou être mon journal intime qu'il y aurait pas eu de différence, celui qui me faisait rire quand j'avais envie de tout sauf rire, parce que parmi toute les personne qui comptait pour moi il était sûrement celui qui m'aimait le plus ? Eh bah non. Non j'ai pas oublié. Mais ça veut pas dire que ça vaut encore quelque chose à mes yeux. Et se faire de grand roman remplis d'émotions n'y changera absolument rien. Pourquoi je suis la ? Très simple, un autre plan diabolique a mettre en place. Content ?" Lâchais-je avec rage.

Une larme. Une seule. Unique.

La première depuis longtemps. Trop longtemps. Qu'est ce que je dis moi ? Pas assez longtemps oui ! J'ai assez endurer comme ça pour me coltiner encore une fois ces fichu émotions...

Damon me regardait avec surprise. Avec espoir. Ah ce fichu espoir, sa signature. Je dois dire que moi même je sais pas ce qui m'a pris de dire ça. Il ne dit pas un mot. Il me regarde juste avec cette incompréhension, cette sorte d'admiration... Cet amour. Encore et toujours cet amour au quel je ne saurai jamais répondre comme il faut. Puis il reprends son masque froid, insensible, et il part. Il ferme la porte, et encore une fois je suis seule, dans le noir. Seule avec ma tristesse, mes doutes, et les fichus sentiments.

Il m'aura suffis d'une seule discussion avec lui, une seule, pour avoir envie de retrouver mon meilleur ami, mon confident.

Mon Damon

100 ans plus tard... A Delena StoryМесто, где живут истории. Откройте их для себя