Bresson (Fini)

Chapitre 8

-Madame samras d'après les nombreux examens que nous vous avons fais subir tout au long de la semaine, vous n'avez rien vous êtes en parfaite santé.
Rien n'explique votre perte de mémoire malheureusement.

-Mais comment sa ? Je suis censé faire comment moi ? Je ne me souviens plus de 3 années de ma vie, je fais quoi ?

-Je n'est malheureusement pas de réponse à vous offrir mademoiselle, le seul espoir que nous ayons c'est espéré que votre mémoire revienne subitement. Quelqu'un souhaiterais vous voir.

-Qui sa ?

-Une certaines Havane sarsse.

-Je ne la connais pas.

PDV Havana.

Ellipses 3 jours auparavant.

Je me met à courir dans la forêt, je suis trempé, jai froid, mais je suis heureuse.

Je souris rien qu'à l'idée de revoir ma famille, mes amies, mon violon, ma moto.

Je me retrouve dans une rue.

Je dois complètement avoir l'air d'une folle dans cette tenue, mais je m'en contrefout, je ne suis plus Nina, tous le monde m'auras oublier ce soir, personne ne va venir m'interpeller.

Alleluya !

Point de vue Deen.

Un petit café sa fais toujours du bien.

Même si il fais 30 degrés dehors, sa fais du bien.

La sonnerie de mon appartement retentit dans toute la pièce.

Je me lève de mon canapé et me dirige vers la porte.

J'ouvre et découvre avec étonnement une dame.

-Bonjours je peux vous aidez ?
Demandais-je intrigué.

Peut-être une fan..

-Bonjour, je me présente Sophia Sarsse, la maman d'Havana.

Je ne sais plus quoi pensé du tout, je ne l'ai vue qu'à l'enterrement d'Havana, la voir me fais un choc, je ne comprend pas pourquoi elle viens me voir.
Puis elle ressemble tellement à Havana sa me met mal.

-Havana est de retour !
Me dit-elle heureuse.

Je pense qu'elle est folle.
Si sa se trouve c'est même pas sa mère.
Cest une folle qui ressemble un peu a havana qui a décider de venir me faire chier.

-C'est sa..
Dis-je ironiquement en refermant la porte.

-Non, Deen..
Crit une petite voix qui me fais frissonner.

Voix que je n'avez pas entendu depuis des années.

Je reste figée ma main sur la poignée.

C'est un mauvais rêve.
Je vais me réveiller.