Entre ces doux couloirs de notre capitale
Cet été d'orages les nuages sont noirs
Apparaît une femme, le début du soir
La Lune éclaire son visage souriant pâleJe regarde de travers ces somptueux dédales
Je passe mon chemin ne voulais pas les voir
Ces longs yeux égarés entre ces doux couloirs
Sa vie est devenue ce somptueux dédaleFranchissant la ville et accélérant le rythme
De ce coeur immense là où nous habitons
Les battements du coeur augmentent la pressionQuand tout à coup je vis résonnant comme un hymne
Ses millions de statues marchant comme des pions
Cette partie d'échec c'est nous qui la jouons
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Nébuleuse de verre
PoetryÉcrire c'est aussi apprendre à lire ses mots.. Jean tu devrais le savoir mieux que personne. Tu n'es plus un enfant qui cherche ses mots, tu peux écrire maintenant. Ne te cache plus, tente des styles, ne crains pas le jugement des autres.. Essaie de...