La Malédiction De Storybrooke

Aussi fort qu'un sentiment

Émilie : J'avais bien vu que Charlie avait insisté pour qu'il accepte. Si Willy avait trop de travail, c'était libre à lui de faire comme il l'aurait souhaiter. Mais j'aurais du remercier Charlie de ce geste si j'avais su. Je fis un petit rire au geste de l'enfant.
- Je vous aurais bien recommandé un endroit qu'une amie à moi me recommandait mais.. elle m'avait pas préciser quel genre de personne pouvait y traîner...
Je leur avais fait un signe de la main pour leur dire de me suivre avant de me diriger vers un simple café non loin de là où je m'étais garé. Alors j'y entrais, très peu sur de moi sur le choix de l'endroit.

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Ichabod : Elle semblait si naïve.. comment pouvait elle aimer une personne qu'elle venait de rencontrer. Mais je ne me posais pas plus de question étant donné que je ressens pareil à son égard. Je fis simplement un sourire en posant délicatement ma main sur sa joue si rose et rebondi.
- Mélodie, ce que je voulais avant tout savoir c'est est-ce que mes sentiments pour toi étaient assez fort pour que j'abandonne l'idée d'y aller...
Je la regardais dans ses beaux yeux avant de continuer ce que j'étais entrain de dire.
- Savoir que je compte à ce point est très prometteur pour moi... et je suis totalement près à rester si c'est ce que tu souhaites au plus profond de toi.

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Willy : J'espérais que si elle remarquait les expressions de Charlie elle ne pense pas que j'acceptais de prendre un verre avec elle seulement pour lui faire plaisir. J'acceptais aussi parce que j'avais envie. Envie de discuter avec une personne comme elle. Je ne savais pas pourquoi mais j'étais presque sur qu'elle me comprendrais. Et que je le comprendrais en retour. Je lui faisais aussi confiance pour le choix de l'endroit où on devait aller. Je n'avait jamais mis les pieds dans les restaurants ou bars du coin. Je ne suis vraiment pas une personne qui aime manger en public. Je décidais de la suivre en laissant l'ascenseur au milieu du passage. Tant pis pour les gens mais je n'allais pas perdre mon temps à le garer autre part si c'est pour ne pas le retrouver. Charlie nous suivait avant qu'on entre alors dans le café où Émilie nous emmenait.
- Oh ça paraît mignon comme endroit c'est un bon choix
J'enlevais un chapeau remarquant une table au bout où il n'y a pas beaucoup de passage autour.

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Mélodie : Ce qu'il me disait était très beau mais je ne savais pas pourquoi je sentais des larmes me monter aux yeux en sentant ma gorge me faire mal le retenant de pleurer. Je mettais ma main sur la sienne qui était sur ma joue pour la caresser avec mon pouce en le regardant dans les yeux. J'avais vraiment peur qu'il ne m'aime qu'à un passage dans sa vie et qu'il pouvait tourner la page. Je me sentais tellement rejeté dans la société et enfin j'avais rencontré cet homme qui me faisait sourire.
- Ichabod... Tu m'aimes ? Vraiment ? Tu sais moi je t'aime et au plus profond de moi c'est vrai que j'ai vraiment envie que tu reste mais je veux pas que tu t'emprisonne ici à Storybrooke pour moi... Et j'ai peur que tu partes...

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Émilie : Je m'étais installé à une table non loin de la tranquillité. J'étais curieuse d'en apprendre plus sur lui même si d'ordinaire, j'étais plus solitaire. Je ne m'intéressais pas au autres mais ce n'était pas de l'égoïsme, si je m'intéressait aux autres, je montrais de l'attachement et je ne suis pas fan des coeurs brisé en amour ou amitié. Alors je m'étais forgée une armure. Je pris la carte ayant un petit creux. Rien de ce qu'il proposait n'étais avec de l'alcool, sauf peut-être un ou deux choix dans les boissons mais ça me plaisais bien.
- Tu as déjà bu de l'alcool ? Charlie... pour toi je n'espère pas étant donné ton âge mais... et toi Willy ?
Il ne savait pas que c'était le début d'une longue ligné de question plus ou moins débile. Mais quelque chose en lui me plaisais déjà, et je sentais que je devais creusé pour savoir si c'était bien ce que je pensais au fond de moi.