L'agent C [Tome 4]

Feu

Aucune égratignures, c'est génial.
Je me détacha de mon parachute avant de prendre mon Glock silencieux. Je parcoutu quelques centaines de mètres afin de rejoindre l'avion de Jérémy. Malheureusement pour moi, il s'était échappé avec les dossiers. Croyant la bataille déjà perdu, je pris mon téléphone et appella mon supérieur;
- Et puis?
- Aucune traces. Il a tué Kim et s'est enfui avec les dossiers.
- Je te capte mal. Est ce que...
Le communication entre moi et James stoppe net due au fait que mon téléphone n'avait plus de batteries.

De mieux en mieux...
Je sortit un fumigène bleu pour le craquer et le laisser à terre. Au moins, cela pouvait indiquer ma position à mes alliés.

Mais cette idée emmène aussi un inconvénient dans ma mission: Jérémy connaissait désormais la position exacte où je me situais.

Brillant Carl. Très brillant. Ce que je peux être bête des fois. Cela me fait penser à ma dernière mission avec Lucy. J'aurais due entrer à sa place. En repensant à cela, je me souviens aussi à quel point elle compte pour moi. Cette fille est la seule chose qui me garde en vie. J'ai hâte de la retrouver ce soir après la mission. Pour l'instant, je suis pris sous le poids de son pire cauchemard.

Eh oui. Jérémy qui m'a plaqué au sol et qui me pointe avec son arme de poing;

-Ca y est: le retour du petit Leboeuf. Tue-moi tant que tu y est.

-J'y compte bien mais tu me semble trop calme.

-Et moi, je te trouve très chaud.

-De quoi tu parle?

-De tes documents qui brûlent.

Moi qui ne fume pas, je transporte quand même un briquet dans mes poches afin de détruire les preuves. C'est ce que je venais de faire avec les plans du nettoyeur;

-Ta mission est un échec.

-Pas si je te bute.

Je lui envoya mon genou dans les parties afin de pouvoir me défaire de son emprise. Je pris par la suite la fuite tout en ramassant mon pistolet de combat. Oui j'aurais pue le tuer mais disons que cela vas mal sana chargeur dans l'arme. Eh oui. Il a pensé à enlever les balles de l'arme avant que j'essais de le tuer de revers comme ce que je venais tout juste de tenter.

Plus loin, je trouva un deuxième avion sans conducteur. Sans doute le mien.

J'entendit le coup de feu partir dans mon dos. En me retournant, je tira une balle du chargeur que je venais à l'instant de mettre dans l'arme qui envoya Jérémy six pieds sous terre. Non seulement il étai mort, mais Kim venais aussi de me sauver la vie;

-Kim! Ca vas?

-Appart que je vais mourir, oui ca vas.

La balle de l'ennemi avait pénétré le poumon gauche de ma collègue. Dans quelques minutes, ce serais déjà la fin pour elle;

-Carl, Fait-moi une faveur: Met fin aux manigances des nettoyeurs.

-Compte sur moi.