le solitaire

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La pluie tombe en cadence en dehors de la tanière. La vive lumière du feu de bois éclaire le fond de la tanière avec de splendide couleur digne d'un soleil couchant et réchauffe la caverne avec son aura réconfortante. Je jette très souvent un regard cers le fond de mon nid en direction de mon dernier trésor. Ce dernier est tout ce qu'il me reste de mon ancien compagnon décédé il y a peu. Cette pensé me fend le cœur mais je dois rester fort pour protéger le futur petit qui ne connaîtra que son porteur. Si seulement les tribu local n'avait pas une dans contre les solitaires qui vivent pacifiquement sur leur terre. Comme Korado n'est plus de ce monde pour protéger ces deux bien aimé, c'est à moi que reviens la lourde tache de protéger notre enfant. Du bruit au loin, une odeur imposante et uniforme mais surtout menaçante. Un bref regard dehors me permet de distinguer cinq individu imposant, des guerriers et un plus petit un peu frêle, peut être un chasseur ou un jeune apprenti. Comble de l'ennuie, ils sont entraînés au combat contrairement à ma personne et leur proximité ne me permet plus de fuir. Je me réfugie au fond de la caverne en espérant qu'il s'agit du simple patrouille territoriale. A mon grand désespoir, ils rentre en grognant dans mon petit espace. Quitte à mourir autant le faire héroïquement. Je bondit sur le mâle le plus imposant, toute griffe dehors et l'abat en lui tranchant involontairement l'arrière du cou. Surpris par ma tentative, les cinq tribales tente de m'attaquer mais ce qu'ils ne savent pas c'est que je maitrise la légendaire technique du je fais n'importe quoi car j'ai jamais appris a me battre. Dans ma tentative de rester en vie, je tue sans comprendre par quelle chance les autre guerriers par l'avantage que ceux qui sont en pleine couvé ont une peau dure à abîmer. Le plus jeune de la patrouille s'en sort avec une vilaine entaille au né et une plaie bien plus profonde et sanglante à l'arcade et au ventre.  Je prends la décision de l'achever mais je ne parvient pas à mettre en œuvre mes sombres dessein, peut être une once de compassion pour son âge sans doutes proches de mes seize ans ou simple peur de tuer volontairement l'un de mes confrères. Je retire à la hâte les bandes de tissu me permettant de ne pas être nu et je prépare rapidement un cataplasme d’argile et de lotus que j'applique sur la faille pour la colmater avant de la protéger de la saleté avec les bandes déjà taché de sang. Il semble avoir perdu connaissance mais il respire à intervalles réguliers. Dans le but de le protéger, je lui attache les poignets puis les chevilles suivi des jambes. Je le décale près des flammes pour qu'il ne refroidisse pas.

Pendant trois longue journée et deux nuits, je n'ai pas cessé une seconde de veiller sur lui. Lors de la troisième nuit, il à enfin ouvert les yeux. Sans surprise, sa première demande fût à boire et à manger. Comme il était encore trop faible pour le faire lui-même, je prenais soins de ma cher la nourriture moi-même avant de la recracher dans la bouche comme le font les couveurs avec leur petit. Pour l'eau je du voler d'étranges cailloux transparents facilement ouvrable au humain. Je dus utiliser le même stratagème que pour la nourriture pour éviter de le noyé. En seulement deux semaines, il fût de nouveau capable de parler et de manger lui-même sauf pour l’eau qui restait le seul problème car boire en étant sur le flanc est un difficile exercice. L'avantage de sa convalescence était le rait que cela me servait d'entraînement pour les cinq mois a venir. Pour ce qui est des petits besoins, les truc que les humains appelle sac à mains lui permit de se vider la vessie. Cependant, ça blessure au ventre ne lui permettait pas de bouger mais au moins celle si cicatrise plutôt bien et n'est pas douloureuse. Son moral semble au plus bas, sans doute l'incapacité de bouger et l'éloignement vis-à-vis de sa tribu qui semble ne plus avoir envie de revenir. Une idée vient chatouiller mon occipitale. En vengeance pour la mort de mon compagnon, mon prisonnier prendra sa place à mes côtés pour donner à mon enfant la figure paternelle dont il aura besoin. Je décide d'engager la discussion :《 Comment va tu ?
- Mal car je me sens loin des miens et je suis gardé par un solitaire mystérieux qui brise le silence quand ça l'arrange.
- Je vais te raconter une  histoire qui a eu lieu il y a environ trois an. Un jeune démon-aigle de quatorze ans nommé Korado c'est fait bannir par la tribu d'une dénommé d'une dénommé Valaza. Cette chef assoiffés de pouvoir à banni son propre fils sous prétexte qu'il était dangereux. Se dernier en fuyant c'est réfugié dans une caverne au nord de son camp natale. Dans cette grotte vivait l'un de ses congénères du nom de Mikayl qui avait connue exactement le même sort dans une autre tribu. Très vite ils ce sont bien entendu et son devenue très proche. Deux ans et huit mois Après leur rencontre, les deux jeune mâle décidèrent de fonder une famille. Mais un mois après la ponte, Korado fût abattu par une patrouille commandée par sa propre mère. Mais bon la fin de l'histoire tu ma connais puisque nous l'écrivons actuellement. En guise de réparation pour la mort de mon Korado, j'aimerais que tu deviennes mon compagnon.
- Pourquoi devrais-je trahir ma tribu pour un vulgaire solitaire.
- Je t'ais sauver la vie et j'aimerais que mon enfant est une figure paternelle pour le guider.
- Ce n'est pas mon enfant pourquoi je me casserai les burnes pour lui.
- Alors va t'en .》
Le jeune blessé se leva lentement et péniblement. Il s'en alla ans doute rejoindre les siens tandis que je me met en boule avec l'œuf dans les bras. Des larme tombe sur la coquille. Je finie par m'endormir hypnotisé par les petits battements de cœur de ma progéniture.

Le soleil se lève, mais je n’ais pas envie de faire le moindre mouvement. Ma seul motivation est celle que tout couveur ressent pendant une couvé, vivre pour voir son descendant grandir. Je part chasser. Je trouve immédiatement la trace d'un lapin. Je le piste jusqu'à son terrier où il crèche au même moment. Je pace ma mains dans le trou pour attraper la bestiole. Celle si se débat mais mes griffes transperce son crane la faisant ainsi trépasser. Je tire la carcasse hors du trou. Tout à coup mes oreilles se lève d'un coup et se dirige vers ma tanière, cette odeur, non ils ont osé. Je lâche la proie et pars au quart de tours. Pour gagner du temps, j’escalade la paroi rocheuse pour gagner du temps. J'arrive devant l'entrée en grognant comme un orage breton. Personne se manifeste. J'avance rapidement vers le fond. Un démon-aigle touche à l'œuf, mon œuf. Le salopard se retourne et je me retrouve frappé d'une vision d'horreur. Devant moi se trouve un souvenir brisé dans un bain de sang. Je devient fou est la seul solution expliquant sa présence. Il vient vers moi. La peur me pétrifie. Ses lèvres se collent au miennes me prouvant leurs existences. Je fond en larme et me blotti contre lui comme il y a encore quelque mois de cela. J'embrasse chaque parcelle en tremblant son torse nu. Il sèche mes larmes avec sa langue rugueuse avant de me laisser m'évanouir dans ses bras.

Près de moi, un feu. Dehors, une forte agitation. Autour de moi, une douce odeur inconnu  Contre moi, un gros truc chaud. Sur moi, un regard bienveillant. J'ouvre délicatement mes yeux sur mon précieux tandis qu'une personne se rapproche de moi avec de la nourriture dont émane l'odeur. Je lève les yeux et je me remet à pleurer en voyant son visage. Il me réconforte avec des mots doux et ses puissants bras rassurant :《 Calme toi Mikayl c'est fini. Tu n’a plus avoir peur, je suis la maintenant et pour toujours.
- Pourquoi tu n'est pas revenu me voir plutôt ? Pourquoi ? Pourquoi tu n'est pas revenue plutôt Korado ?
- J'ai du effectuer un long voyage pour revendiquer mon titre de chef. Les guerriers qui étaient venue à notre tanière venait m'annoncer que ma mère était morte et que c'était moi leur nouveau chef. J'ai envoyé une patrouille te chercher mais tu les as massacré jusqu'au dernier sauf mon apprenti qui je cite ma dis que tu lui a demandé de prendre ma place car tu me croyais mort. Quand il est revenu et qu’il ma raconter se que tu avais fais je venais de revenir de la colonne d'âme et je suis partis immédiatement te voir. Maintenant je serais à tes côtés pour toujours.》
Mieux que des mots je lui répondit par un baiser un peu sauvage mais j'avais tant besoin de ces lèvres. Korado retira doucement mes bandes de tissus pour me mettre à nu. Mon amour sortit d'une petite boite un bout de tissus qui à en juger l'odeur est fait à base de fibre de gracias lona. Il passe le bout de tissus sur tout mon corps retirant ainsi toute les impuretés bloqué dans les pores de ma peau. Ensuite, avec de grand coup de langue, il nettoya mon corps dans son intégralité. Pour finir, il sort d'une autre boite un objet en bois long de trois centimètres de la forme d'un trognon de pomme au extrémités plate dont l'une est orné d'un petit anneau de la taille d'un gros doigt. Il m'explique brièvement que ce truc empêche le sperme d'entré dans la matrice. Sans surprise, il insère son bras dans mon canal reproducteur très élastique sans difficulté et place le petit objet protecteur dans l’anneau de muscle servant d'entré de la matrice. Ce petit soin préventif fait naître en moi un désir de chaire que je n’ai pas connue depuis longtemps. Pour répondre à ce besoin intime, je déshabille mon compagnon pour lui faire le même traitement. Cependant, je termine mes coups de langues au niveau de sa raie ou j'insiste beaucoup sur le petit anneau encore vierge. Il semble comprendre mes intentions et il me donne son accord avec un rire enfantin qui lui va si bien. Je n'est encore rien insérer que la glande matricale a déjà déversé son lubrifiant naturelle. Sans le faire attendre plus longtemps, je dépose délicatement mon gland contre son intimité. Pour ne pas le brusquer, je pouce par petit coup ma pointe vers ses entrailles qui s'écartent progressivement face à l'envahisseur. Mon Korado pouce un petit cri peu viril mélangé à de la surprise quand je rentre enfin dans son corps de mâle dominant. Je commence les vas et viens en douceur mais le coquin m’ordonne d'accélérer. Je m'exécute volontiers et je le vois se crisper puis planter ses griffes dans le sol meuble. Le voyant ainsi, je me retire et je le retourne pour le mettre sur le dos. Après avoir repris ma place, je reste immobile le temps qu'il s'adapte à ma physiologie. Le voir trépigner d'impatience me fend le cœur et me pousse à reprendre notre activité. Mon compagnon ce met à grogner discrètement à cause du mélange de plaisir et de douleur. Sans faire exprès je lui met un coup de boutoir qui lui arrache un râle de plaisir peu viril. Je fais une pause pour que nous puissions admirer le visage de notre partenaire. Son front et ses cheveux blond mi-long sont trempés de sueur. Tout naturellement, nous nous embrassons pendant de longue minute avant d’éclatée de rire. Nous reprenons le coït pour la seconde fois. Je constate que ma capacité à voir son visage semble le gêné, mais qui peu le blâmer pour sa virginité qui est entrain de s'effacer. Sans que l'un de nous deux ne s'y attende, Korado pousse un soupir de plaisir accompagné d'une nouvelle crispation à cause de son éjaculation. Je ralentit immédiatement pour ne pas abîmer ses chair qui viennent de se contracter. Je ne tarde pas à jouir à mon tour dans son canal devenue brulant à cause du désir. Je reste encore en lui le temps de reprendre mon souffle. Je me retire enfin avant de me poser dans ses bras et de m'endormir. Avant de sombrer dans les bras de Morphée, je le sens se mettre en boule pour nous protéger du froid. La vie que j'ai toujours craint est sur le point de devenir un lumineux projet.

Après la Pub, le YaoiWhere stories live. Discover now