11.

2K 199 25
                                    

Alexis

Brasserie, 21:17

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou télécharger une autre image.

Brasserie, 21:17

— Tu finis à quel heure ce soir Aloïs ?

— Dans une heure, c'est Simon qui fait la fermeture.

— Tu peux même partir avant, il n'y plus grand monde ici.

— Merci patron. j'enlève mon tablier et me dirige dans les vestiaires.

Comment j'ai trouvé un autre job aussi rapidement ? Ce connard de blondinet me devait un taff et de l'argent et il a comme prévu rempli sa part du marché. Je travaille maintenant dans un bar super cool, avec un patron assez flexible sur les horaires et incroyablement gentil. Bon j'aime pas trop mes collègues mais je ne suis pas ici pour me faire des amis donc je m'en fiche.

Je salue le patron et sors du bar en mettant mon écharpe au cou, j'allais enfiler mes écouteurs et choisir une playlist fraîchement préparé quand on m'interpelle.

— Ça fait un bail Fatoumata.

— On avait un deal François. je roule des yeux.

Je suis plutôt doué dans le non-respect des règles tu devrais le savoir pourtant.

— Non, non, non je ne sais rien du tout. Je ne sais rien de toi et tu va me foutre la paix comme ce qui était prévu Alexis.

— Ce n'était pas prévu. il dit en arquant un sourcil. C'est toi qui a fait un speech d'une heure et qui a décidé de me next, mais j'ai pas signé pour ça moi.

— Orh, ça fait bientôt un mois tourne la page mec. il m'agace.

Tu n'a pas tourné la page toi, je sais que tu penses tout le temps à moi, que j'obsède tes pensées et même les plus intimes. il s'approche.

Bouge de là.

Il ignore mon commentaire et m'entoure de ses bras, je loge mon visage dans son cou, il sent vraiment bon, encore son parfum de riche qui coute la peau du cul. Je n'ai pas envie de le dégager alors je ne bouge pas et profite du moment en caressant son dos. Sa présence m'apporte réellement du bien, je ferme les yeux afin de profiter amplement du moment, mais bon il faut toujours qu'il vienne tout gâcher.

— Et ton deal alors ?

— Pourquoi tu gâches tout Alexis là. je souffle en me dégageant de ses bras.

Aloïs.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant