LE LIVREUR [TOME 2/BTS, V, LEMON]

#117

Chères Sucrettes Perverses,

Et oui, vous ne rêvez pas, c'est bien TulisMoname, aka author-nim, aka eonnie, aka Reine Des Sucrettes Perverses (et j'en passe) qui vous parle ! 🔥😱😱😱

Si vous pouvez lire ce chapitre maintenant, c'est que j'ai ENFIN réussi à faire marcher Wattpad sur mon PUTAIN DE TÉLÉPHOOOOOONEUH 🎉

Comme vous avez dû le voir sur la story insta (@tulismoname) ce chapitre était écrit depuis UN BAIL mais je n'arrivais pas à le publier !!

Vous pouvez pas savoir comme j'ai RAGÉ !! 👊😤😠💢

Pire que Suga quand je lui ai appris que je le trompais allègrement depuis un an !

Bref, Wattpad ne fonctionne plus sur mon téléphone, et il se trouve que j'étais en voyage doooooonc...

PAS D'ORDI SA MÈRE 👍

Et oui, je suis vénère ce soir 😂 même si c'est bon maintenant, je suis de retour chez moi et j'ai mon ordi 😍❤️

BREF.

Vous l'attendiez sans doute, peut-être même que vous en rêviez la nuit :

🔥VOICI UN TOUT NOUVEAU CHAPITRE 🔥

Celui-ci n'a jamais été publié auparavant, c'est la suite de l'histoire !

Enjoy, mes amours ❤️

Merci infiniment d'avoir patienté tout ce temps, votre soutien et votre amour infini sont les seules choses qui me donnent envie de continuer cette fiction à laquelle les haters ont fait tant de tort...

Je vous aime ❤️💙💚💛💜

MAINTENANT LISEZ !

***

DE SON POINT DE VUE À ELLE

Je suis une traînée.

Une pute, qui a laissé le plaisir sexuel qu'elle ressent dans les bras d'un inconnu, lui faire oublier ses devoirs professionnels... et moraux.

J'ai trahi Jungkook.

Maintenant que Taehyung a quitté le salon, je suis à nouveau capable de penser clairement.

Et je le réalise durement :

J'ai.

Trahi.

Jungkook.

Je fixe sans le voir, le carrelage blanc au pied du canapé sur lequel j'ai recroquevillé mon corps nu...

J'ai trahi cette main, qui a agrippé mon sac dix ans plus tôt, alors que je sautais d'un toit.

Une goutte éclate sur le carrelage, venant souiller le blanc d'une tâche rouge.

J'ai trahi cette voix, qui s'est élevée et a dénoncé pour moi le harcèlement dont j'étais victime, le faisant cesser.

Une seconde goutte rejoint la première, marquant à son tour le sol, sur lequel elle explose.

J'ai trahi ces lèvres, qui ont embrassé mon front, mes tempes, mes paupières, à chaque fois qu'un voile gris tombait sur la vie de l'enfant traumatisée ou de l'adulte fragile que j'étais.

Une pluie poisseuse à l'odeur métallique se met à tomber.

J'ai trahi ces bras, qui m'ont enlacés après chaque entraînement à l'Institut de Police, après chaque mission au travail, heureux de m'avoir à portée d'eux.