Une alliance temporelle [En pause]

Chapitre 1 : Une rencontre

Nous sommes en l'an 2530, dans la ville de Niertha. Celle-ci est calme, lors d'un vendredi après-midi. Les étudiants de cette métropole sont en cours, à la Fac Koltho. Les couloirs de l'établissement sont submergés d'élèves, qui viennent de sortir de cours. Parmi ces nombreuxétudiants, un quatuor marche dans les couloirs. Tous les membres appartiennent à la famille Hope. Ils portent une gemme bleue au niveau de leur torse.

(Je ne pouvais pas mettre de gemme bleue sur l'application)

Ces derniers discutent avec des amis. Autour d'eux, tout le monde s'active. A un moment, le groupe se sépare. Les amis de la fratrie tournent à droite, pour aller dans un amphithéâtre-tandis que les Hope continuent tout droit. Le quatuor marche et prend une succession de couloirs. Dans ces derniers, des robots gris prennent des cahiers rangés dans des casiers. D'autres marchent d'une allure vive, ou discutent avec des personnes.

Le petit groupe arrive au niveau d'une grande lignée de casiers. L'ambiance est calme, apaisante. Soudain, un bruit-à mi-chemin entre un klaxon et le cri d'un canard-vient la perturber. Surpris par ce vacarme, les Hope s'arrêtent. Ils se retournent.

Derrière eux, trois étrangers viennent d'apparaître. Ces derniers sont des hommes. Surprise par cette soudaine apparition, la fille aux cheveux noirs s'avance avec appréhension. Elle souhaite savoir d'où viennent ces individus. L'un des étrangers la regarde. Par peur ou plutôt par instinct, il ferme les yeux tout en lançant un : "Turbo-poing !". L'un de ses bras part vers l'avant et vient percuter la fille à l'épaule. Elle tombe par terre et masse son épaule touchée.

Le bras reprend sa place d'origine. A côté du propriétaire du membre, un garçon aux cheveux hirsutes regarde son ami, les mains posées sur les hanches. Il s'emporte :

- Enfin Henry, pourquoi avez-vous frappé cette fille ? Vous êtes complètement malade !

- Eh oh, c'est bon. Je me suis juste défendu par instinct. Ce n'est pas parce que je suis un simple robot, que je suis dénué de sentiment ! riposte l'homme à la blouse blanche, le visage crispé par la colère.

- Vous interprétez mal mes propos. Je ne remets pas en doute le fait que vous soyez un robot, mais le fait que vous venez de frapper une inconnue !