La Maudite... [Levi x Fem!Reader]

Chapitre 1 : La Maudite...

Re bonjour bonjouuuuuur.

C'est toujours Fatou.

Comme d'habitude, je dois prévenir de la probable violence verbale de cette fiction !

Et voici le code d'écriture des xReader :

(T/p) -> Ton Prénom
(T/n) -> Ton Nom de famille
(I/p) -> Initiale de Prénom
(T/s) -> Ton Surnom
(C/c) -> Couleur de Cheveux
(L/c) -> Longueur de Cheveux
(C/p) -> Couleur de Peau
(C/f) -> Couleur favorite
(C) -> Couleur
(B/c) -> Boisson chaude
(B/f) -> Boisson froide
(B/p) -> Boisson préférée (chaud ou froid)
(P/c) -> Plat chaud
(P/f) -> Plat froid
(P/p) -> Plat préféré
(G/p) -> Gâteau préféré

Allez, bisou bye ciao mes bébés.

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(T/p), dans les rues de la ville souterraine.
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Cette enfant est dégoûtante !

Elle amène la maladie et la misère à quiconque croise son regard...

Tuez la !

Elle nuit à notre survie !

Abattez la ! Elle est maudite et nous donne sa malédiction !

À force d'entendre tous ces commentaires, ça en deviendrait presque une berceuse. Les gens qui me jetteraient des pierres deviendraient des masseurs et ceux qui essaient de me brûler seraient les couvertures de mon enfance.

C'est un train de vie mouvementé mais en même temps très monotone. Les habitants des Bas-Fonds me haïssent, je me réveille dans un endroit, je me fais insulter, je m'endors dans un autre quand je ne sens pas l'odeur de brûlé vers moi.

On s'y fait.

Je marche tranquillement dans la rue commerçante. Je regarde un magasin, bavant légèrement sur les quelques vivres qu'il propose. Je soupire et regarde combien j'ai.

Quelques centimes. Je vais pas faire grand chose avec.

Je subtilise à manger d'un stand et avance. Ma longue cape me couvre la tête et le corps. On ne vient pas me voir. Mais dès qu'on aperçoit mon visage, c'est fini. Les habitants m'évitent, m'agressent.

Pourquoi ? Pour rien du tout.
J'ai juste pas de chance. Je suis toujours au mauvais endroit au mauvais moment. Je ne sais pas si quelqu'un essaie de me blesser depuis petite en me suivant et prévoyant mes moindres mouvements mais, en tout cas, il est particulièrement doué.

Je Je soupire et sors de la rue principale. J'évite le groupe de caïds qui m'appelle. Leur leader m'attrape par la cape. Ma capuche tombe. Mes (l/c) cheveux (c/c), ma peau (c/p) et mes yeux (c/y) apparaissent devant eux. Je le regarde en terminant de manger mon pain au lait sucré. Il recule.

— Qu'est-ce que tu veux ? Lui demandé-je.

— Tu souffres pas d'être traitée comme une merde depuis ta plus tendre enfance...?