chapitre 4

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Je ne savais pas quoi lui dire c'était la première fois que je me séparais de mes parents et ça ne me plaisais pas, alors là pas du tout. En dix-huit ans d’existence, jamais je n’aurais pensé être loin de mes parents. Je n’avais  pas d’amis, je n’avais  personne d’autre qu’eux dans ce pays. Mon oncle paternel, Claude, vivait en Egypte, ma tante paternel, Antoinette, vivait en Espagne, mon oncle maternel, Cédric, vivait au Maroc. Mais ils sont tous d’originalité française, comme mes parents et moi.

« Pourquoi tu ne me le dis qu'aujourd'hui ? » lui demandais-je.

« Ma chérie, ton père ne voulait pas te le dire tu n’aurais cessé de penser à ça toute la journée ! » s'exclama-t-elle.

Sa voix étais douce je voyais qu’elle ne voulait pas me laisser. Elle avait les larmes aux yeux elle était à deux doigts de pleurer. Je me jetais sur elle et lui fit un câlin.

« Merci ma puce » reprit-t-elle

« Et vous allez où ?... pourquoi ?... Pour combien de temps ? » Demandais-je

« Je te l’ai déjà dit, non, en Espagne, nous avons un contrat à signer, c'est juste pour deux mois » répondit-t-elle avant de prendre ses affaires.

« Mais attends vous ne m’attendez pas ?... enfin je veux dire je peux vous accompagner à l’aéroport ? » demandais-je

« Oh non tu n'es pas prête  nous sommes presque en retards. » Me sourit-elle avant de sortir de ma chambre.
Quelque minute plus tard, j’entendais mon père démarrer le moteur de sa voiture.
« Ils partent déjà » soupirais-je

Je terminais ma douche de trente minutes, et pris mes vêtements dans mon armoire. Je portais un t-shirt blanc, une jupe bleue jeans des bracelets couleur or et une barrette verte qui mettait mes cheveux bruns en valeus.

Je descendais les escaliers prendre mon petit déjeuner, et regarder la télévision mais on je ne voyais rien d’intéressant à regarder.

Je soupirais un instant, puis commençais à regarder le plafond. Il était peint de couleur blanche et au milieu il y avait un énorme lustre de cristal suspendu au plafond.

« Quelle idée de me laisser seul à la maison » pensai-je.
Je me levais du canapé et allais dans ma chambre pour m’allonger quelques temps…

15h45 

...
« Wow j'ai énormément dormie ! » m'exclamais-je.

Il était presque  seize heure, mes cheveux étaient en bataillent, ma bouche était pâteuse, j’avais faim je me levais de mon lit en direction de la cuisine, mais arriver dans la cuisine, je ne voyais rien ; pas de nourriture, rien. Sauf l’argent que trouvais sur la table de la cuisine.

« C’est pour moi ? » pensais-je avant de prendre l’argent.
Je ne voulais pas sortir de la maison, mais je le devais, j'avais faim et il y avait une boutique pas loin de la maison.

Je me décidais enfin de sortir sans oublié d’emporter mon sac avec moi et je voyais déjà la boutique à quelques mètres de chez.

« Bonjour je voudrais trois œufs et un sachet de riz. » 

« Oui tout de suite mademoiselle » dit-il avant de me tendre la marchandise dans un paquet 

Je sortais de la boutique en direction de la maison, une fois arrivé je déposais tous ce que j'avais sur la table de la cuisine et je me mis à
cuisiner

17h40

Une fois le diner avaler, je remontais dans ma chambre lire, quand une pensée fit apparition dans ma mémoire.

Le carton.

Je pressais les pas en direction de ma chambre, une fois arrivé je prenais la boite sous le lit, je l’ouvris  et sortis un billet d'avion. Une idée me vint à l’esprit.

Un voyage en Belgique.


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Queen_D_360

À La Recherche De La Vérité  [Pause]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant