Chapitre 23 : La Grande Mère

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A mon levé ce matin, je venais à peine de me souvenir des paroles de Andrew. Ses paroles étaient brute et froide. Comme répétés. Je le savais pourtant qu'un héritier ferait un excellent futur pour cette lignée. Mais quand vais-je pouvoir y arriver de m'y intégré ?

- Bonjour Irmina.

La Grande Mère, était assise sur une chaise en bois où se trouvant devant elle, une tasse de thé et quelques biscuits. Elle me scruta du regard telle un fauve. Péniblement, je prenais place.

- Mon fils vous a-t'il parlé hier ? elle prit une gorgée de son thé.

- Oui.

- Se serait bien si vous enfanter avant décembre. Au moins je serais encore vivante.

- Vous avez déjà prévu une date ? je la regardais ébétée.

Une date de prévu pour cette évènement ? Ce n'était pas possible. Ne me dite pas que ma vie ici en Angleterre seras régler comme du papier à musique. Je pris une grande respiration, fermais les yeux et j'imaginais juste un faux-semblant de réalité. D'un air hautain qu'elle prit, elle disait :

- Sachez une chose Irmina tout ici est prévue pour notre bien.

Pour notre bien ?

- Et le mien alors ? mon sang bouillonnait dans mes veines.

C'étais insencé de penser au bien d'autres personnes alors, que mon propre bien personne ne me l'avait demander. Sauf peut-être Enrick. Est-ce qu'il était au courant ?

- Voyons Irmina. Vous savez que votre bien ici c'est uniquement mon héritier.

- Et mon bien à moi ! criais-je cognant du poing sur la table.

Elle se leva faisant reculer la chaise dans un bruit à en faire fuire les domestiques.

- Vous n'en avez pas ! Vous êtes juste ici pour nous donner un garçon. Un héritier. Faites juste votre travaille de femme et d'épouse au lieu de batifoler dans une pièce.

Mes larmes me brûlaient les pommettes. Donc j'étais voué à ceci ? Moi qui suis venu ici pour souder une alliance entre mon pays et le leur. Juste pour un garçon. Un fils. Se n'était pas possible. Me levant de table, ma chaise tomba au sol suivit d'un bruit sourd. Je courais presque dans le couloir pour me réfugiais dans mon appartement privé. M'affalant dans mon sofa, mes mains sur mon visage, mon corps en rejeta toute l'armerthume de cetre méchanceté.

- Irmina.

- Je ne veux voir personne.

- C'est Enrick.

Je me redressa lentement en entendant ça voix. Ma robe était plissé que d'un geste de la main j'en arrangeais le tissu. Il se rapprochait de moi et s'y s'assit.

- Qu'avez-vous ?

- Je suis juste fatigué.

Il posa sa main sur ma robe trouvant entre-temps mon genou.

- Non vous ne l'êtes pas cela se voit. Qui a-t'il ?

- On me demande d'enfanter sans savoir mon avis. Sans savoir mon bien. Mais quand je serais ici apte à m'intégré ?

Il souriait avec son rictus aux coins des lèvres.

- Quand vous l'aurez décider.

Enrick s'approcha plus de moi. Mon coeur battait fort, mes jambes tremblaient doucement. Il posa ses lèvres sur les miennes. Elles sont douces comme dans mon souvenir.
Ce baiser était guérisseur. Cela m'avait apaisée. Doucement, je m'écartais malgré moi. Son regard étaient tendres.

- Qui à-t 'il ?

- Nous devons arrêter ceci. Je suis mariée avec Andrew. Je lui est déjà fait du mal une fois et me voilà que je recommence une seconde fois. Arrêtons ici.

Je toussais légèrement.

- Irmina vous êtes incompréhensible.

- Je n'ai pas le choix de l'être car ce n'est pas pour mon bien.

Je me retirais de cette pièce, sentant l'envie de prolonger ce baiser plus longtemps. Malheureusement, il y avait dans l'air un sentiment d'abandon et de trahison que je ne pouvais plus supportais.

La Comtesse De DunstOù les histoires vivent. Découvrez maintenant