Chapitre deux. { V.ISI }

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La peur est ce que notre imagination pense prédire de terrible. - Inconnue


Charlie Thomson.



Elle m'aimait.

C'était la seule qui me le disait. Je n'avais jamais ressenti sa puis-ce que les femmes ne me regardaient pas autrefois. Elle s'appelait Elina. Elina Cray. Je l'avais rencontré dans la boîte de mon père, il y a seulement quatre mois. Elle passait tout son temps à me regarder de son bureau. C'était assez déstabilisant par moments...

Et puis son teint foncé rendait ses yeux hypnotisants. Si seulement vous saviez à quel point elle était séduisante... Elle avait fait le premier pas à sa façon sans même que je m'aperçoive réellement de ses attentions. Pendant longtemps je niais car ma phobie me manipulait. Il était hors de question pour moi, que je tombe amoureux. Car je ne connaissais pas son quotidien. Et c'était justement sa qui me rendait malheureux.

Je ne connaissais pas son quotidien....

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Mon téléphone s'était mis à vibrer sur le siège passager à ma gauche. Il pleuvait des cordes dehors. Et le son de la pluie qui tombait comme de violent coup de billes sur le rétroviseur était parfaitement audible. Je m'étais garée non loin de mon lieu de travail. Mes doigts gesticulaient sur mon volant en harmonie avec la pluie qui claquait sur mon rétro. J'étais nerveux. Nerveux comme un élève qui entrait en classe avec des camarades turbulents. Pourtant ce n'était pas mon cas. Mais je devais encore me montrer froid envers les autres employers parce que je ne supportais pas les contactes physique. Je me disais que plus désagréable je serai, mieux ils s'éloigneront de moi et me laisserons juste faire mon job. Je fouillais dans la poche de ma veste pour m'assurais que mon gel était toujours à sa place. Je m'étalais la substance sur mes mains puis m'affala sur mon siège pris d'un profond coup de bien-être. Finalement je sortis de mon véhicule et ouvris mon parapluie. Je me dirigeais d'un pas pressé vers l'immense gratte-ciel de la société Thomson&Co. Arrivé au pied de l'immeuble, je franchissais le tourniquet vitré automatique puis la chaleur intérieure me fit sentir mal.
Il y avait trop de monde à l'intérieur.

Environ quatre personnes.

Deux à l'accueille et deux autres assis sur un sofa en cuir noir. Ils sirotaient leurs boissons goulûment et discutaient en tête à tête. L'homme en costume bleu avait des cheveux bruns et gras. De vu, - mais de très très loin - je le connaissais. Il se grattait constamment la tête et faisait toujours tomber quelque peau morte ainsi que pellicules blanches sur son colle. C'était dégoûtant. Cependant à cause de lui, j'imaginais le nombre de bactéries qui flottait dans l'air. Je me sentais pâlir. L'air ne semblait plus passé dans mes poumons. Il fallait que je sorte d'ici au plus vite mais j'étais déjà en retard. Je me suis donc engagé dans les escaliers. Je montais les marches deux pars deux. L'étage où l'ont m'avait attribué était au cinquième. Chaque jour à cause de ma claustrophobie, je montais les escaliers jusqu'au cinquième étage. C'était une très bonne manière de se faire les jambes.

Je poussais enfin la porte à l'aide de mes gants en cuir que j'avais enfilé dans ma Mercedes. Les gens savaient qui j'étais. J'étais le fils du directeur principal. Le patron de l'entreprise V.ISI. C'était pour ça qu'ils me regardaient à distance mais se montraient serviables si j'avais le malheur de travailler en groupe. Des centaines de personnes réunies dans ce même espace pianotaient sur leurs ordinateurs attribués. Cette immense entreprise travaillait pour des paires de chaussures de ville à sophistiqué. Récemment, ils se sont aussi engagés pour travailler dans les deux différents model.  Nous avions longtemps été les rivales de l'entreprise de la marque Gucci jusqu'à ce que quelque des célébrités se mettent à plonger leurs bouts du nez dans l'un de nos meilleur œuvre. V.ISI a basculé dans l'une des marques tendances les plus achetées au monde. Mon père n'avait jamais baissé les bras. C'était ce genre d'homme ambitieux qui avait toujours de t'as de chose à montrer pour satisfaire ses clients.

- Salut, Thomson. Lança un gas sans décrocher ses yeux de son écran.

- Salut. Répondis-je impassible.

Je me montrais comme quelqu'un qui ne partageait pas son point de vue en ce qui concernait ma vie sociale. Cependant je détestais quand on m'appelait par mon nom de famille. J'avais l'impression d'être la cible numéro deux passant après le patron. Ils avaient tous tendance à m'envier. À m'admirer comme si l'entreprise marchait à merveille grâce à moi. Je n'étais pas du tout comme mon père. J'avais l'habitude de me faire discret. Les histoires de managers ne m'intéressaient pas. Je ne donnais pas d'ordre à ceux que je ne côtoyais pas dans ma vie. Malgré tout, ce job me plaisait dans cette entreprise, ils recherchaient le sens créatif des employés. C'était mon fort. Mon unique talent était le dessein, la peinture... L'art de s'exprimer à travers des formes et des couleurs.

Mon père ne comptait plus me voir m'affaler et regarder les heures passer tout en se remplissant les poches de son argent. J'échouais stage après stage, il m'était impossible de tenir plus d'une semaine dans la même société.
Dans mes autres petits boulots ils me demandaient toujours plus de contact, de place, de temps, de tout ce que je déteste!. J'avais besoin de respirer. Je n'aimais pas les gens, le monde, les gosses, le contact, les maladies, l'inconfort et surtout...
les mi-cro-bes.

Mon père était le directeur de l'entreprise. Le bosse de tous les managers de V.ISI. J'avais toutes mes chances pour ne plus jamais être viré. L'opportunité était immense. Je n'étais pas si bête pour refusé. J'ai donc accepté volontiers. 



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Je tenais à m'excusais pour le chapitre. IL EST UN PEUX ENNUYANT??!
S'il vous plaît soyez tolérant avec moi, j'assemble tout juste mes idées pour donner un caractère réel et unique à Charlie. N'oubliez pas que ce n'est que LE DÉBUT DE L'HISTOIRE. 😏

Donnez moi vos avis.

Comment trouvez-vous le comportement de Charlie?

Auriez-vous voulu un peu de mauvais comportement de sa pars où un gentil gas qui en faite essaie de recoller les morceaux à chaque fois qu'il enfoncera quelqu'un?

Pensez-vous qu'il est toujours en couple avec Élina?

⚠️Important.

Voulez-vous des pdv d'autres personne pour les prochains chapitres?

Tu peux te rendre heureux Charlie.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant